Lieux en déshérence (3)

Promyshlennyi, une des localités abandonnées par ses habitants après la fin de l'URSS.

Un sondage qui fait plaisir à voir

Composition

Je n’aurais jamais cru que ça finirait comme ça. Quoi ? Oui, bien sûr, il faut expliquer, partir du début. Donc, au commencement de mon histoire… En fait, c’est pas si simple, si je vous raconte le début vous n’aurez que les faits bruts. Ce qui est important,  c’est comment je me suis retrouvé dans cette situation. Donc reprenons. Ce matin j’ai…Non, non et non. Pour tout vous dire, cela a commencé la veille. Et même, pour ne rien vous cacher, il y a quelques semaines. Nous y sommes. Donc il y a deux mois environ… euh… non, c’est pas ça non plus. À vrai dire, si je me suis retrouvé dans cette situation c’est…c’est à cause de mon enfance, je dirai même : de ma petite enfance. Évidemment si je vous raconte mon enfance il faut que je vous parle de mes parents. Bon, commençons par ma mère. Pardon ? Je dois arrêter d’écrire, le temps imparti est écoulé. Mince alors. Je n’aurais jamais cru que ça finirait comme ça.

Le tour de France des monuments (choix absolument arbitraire) : France

Les Chemins de mémoire

Le modèle

Adrian Martinez

White bull

SIDA

Sur le site de l'association AIDES ont peut trouver ce petit film d'animation de prévention (?). Je ne vois pas trop en quoi il apporte quelque chose sur le sujet ; par contre, on y a la confirmation que les femmes sont romantiques, que les hommes ne pensent qu'à ça et que les Noirs sont bien pourvus par la nature. Si cela vous intéresse, la version gay existe.

Le joug et les masques

Il n'y a pas si longtemps, les maisons arboraient bien souvent dans leur salon des objets - hérités ou achetés dans une brocante - issus de notre passé paysan ou ouvrier. Ainsi, sabots, outils de tonnelier, fourches en bois, jougs de boeufs et autres reliques rustiques décoraient sans complexe les intérieurs des foyers français. Or, depuis quelques années, les choses changent ; jumbés, masques africains, dinanderie marocaine et autres produits de l'artisanat du Tiers-monde se sont mis à peupler les intérieurs de nos concitoyens. On pourrait y déceler les signes d'une plus grande mobilité, sauf que leurs possesseurs ne les ont pas tous ramenés, loin s'en faut, de leur terre d'origine ; en attendant le voyage exotique, nombre d'enseignes fournissent des souvenirs par anticipation. Doit-on y voir une marque supplémentaire de la dictature de la mode boboïsante tiers-mondiste et de l'amnésie volontaire d'un peuple qui rejette un passé qu'on lui a appris à trouver ringard et honteux, sinon haïssable ?