29/03/2020
Histoire... (160)
En juillet 1953 des civils Sud-coréens pris dans la débâcle des premiers mois de la Guerre de Corée sont bombardés et mitraillés par l'armée américaines alors qu'ils fuient l'avance des troupes communistes.
La bande-annonce (en allemand) du film A little pond de Lee Saang-woo sorti en 2009 :
À lire :
L'article Wikipédia Massacre de No Gun Ri
L'article de Libération L'Amérique hantée par les fantômes du pont de No Gun Ri de Patrick Sabatier
13:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
Robe
Je crois que le confinement commence à agir sur ma raison ; cette nuit j'ai fait un rêve plutôt insolite. Après quelques hésitations et même si je vais peut-être perdre en conséquence des habitués du blog je raconte :
"Je suis chez un tailleur pour essayer une robe sur mesure (oui, vous avez bien lu !) que j'ai commandée. Il me confie à sa vendeuse-couturière pour faire les dernières retouches et nous allons dans la pièce du fond puisque la boutique n'en comprend que deux et qu'elle ressemble, en fait, à un simple appartement avec des piles de tissus et de vêtement en désordre. J'enlève mon pull et mon pantalon que je pose sur une chaise libre et j'enfile la robe. Elle est rose, évasée et s'arrête à la hauteur des genoux (heureusement il n'y a pas de miroir) et je constate que les manches sont très serrés aux poignets. Je fais remarquer que si je ferme les poings cela risque de les déchirer. La couturière me répond mi-figue mi-raisin que je n'ai qu'à pas le faire. Tout à coup je me rends compte que je ne lui ai pas demandé le prix. Elle me répond : « 2 000 € ». Je répète : « 2 000 € ! » (je suis sûr que j'ai dû crier en dormant). Je rajoute que c'est très cher et elle hausse les épaules. Comprenant que je ne peux plus refuser puisque c'est du sur-mesure je commence à paniquer et j’essaie de trouver un moyen de ne pas la payer tout en cherchant mes vêtement pour me rhabiller. J'ergote qu'elle ne m'avait pas donner le prix lors de la commande, que je n'ai rien signé... Elle part me faire un paquet en disant agacée et un peu dédaigneuse « Tout de suite... » Je propose même de régler en quatre fois, ce à quoi elle répond négativement. Résolu à ne pas payer cette robe hors de prix dont j'ignore toujours la raison de l'achat je cherche une solution et j'en viens à envisager de la laisser et de partir que la couturière soit d'accord ou non."
C'est à ce moment que je me suis réveillé. Je n'ai aucune explication pour un tel rêve sinon que j'ai regardé hier soir des sites sur la mode dans les années 50 avant de me coucher.
09:34 | Lien permanent | Commentaires (18)
28/03/2020
Carcasses
En faisant du tri dans les photos stockées dans mon mobile, j'ai retrouvé cette photo prise mi-février à trois rues de chez moi, à peine à quelques centaines de mètres de l'hyper-centre de Bordeaux. Cela faisait plusieurs semaines que ces deux carcasses calcinées encombraient les trottoirs sans perturber ni la municipalité ni la police, semble-t-il. Celle de gauche a fini par disparaître peu après ; pour une raison mystérieuse la seconde était toujours là il y a dizaine de jours.
17:32 | Lien permanent | Commentaires (8)
C'est vu (37)
Confinement oblige je regarde plus de films que d'habitude. Et grâce au streaming c'est possible non seulement d'avoir un choix certain mais aussi de découvrir des films étrangers mal ou non distribués en France. J'ai ainsi visionné récemment :
Prince of Texas de David Gordon Green
La première demi-heure passée le film se perd en remplissages et scènes convenues. C'est dommage, les personnages et le décor étaient prometteurs.
Acusada de Gonzalo Tobal
Un film au thème classique dont l’intérêt principal réside dans l'ambiance argentine et l'interprétation de l'actrice principale.
Guns Akimbo de Jason Lei Howden
C'est stupide, racoleur, incohérent et malhonnête – notamment pour son message « vous êtes tous de vilains voyeurs amateurs de violence gratuite » alors que le film est destiné à ce genre de public. On sourit au début en voyant le héros déambuler en peignoir, chaussons pattes d'ours et pistolet dans chaque main mais pas longtemps.
Blown the man down de Bridget Savage Cole et Danielle Krudy
Un petit thriller original qui a le mérite de montrer des personnages ni tout noirs ni tout blancs sans tomber dans le relativisme et le cynisme à la mode.
13:07 | Lien permanent | Commentaires (5)
27/03/2020
Bribes d'Occident (61)
Pendant son règne Louis Ier de Bavière constitue la Galerie des Beautés (Schönheitengalerie) demandant au peintre de cour Joseph Karl Stieler de portraiturer les plus jolies de ses contemporaines présentes ou de passage à Munich, sans distinction de classe sociale ou de rang : les portraits de sa sœur l'archiduchesse Sophie, mère de l'empereur François-Joseph Ier et de sa fille la duchesse Alexandra de Bavière côtoient ceux de Charlotte von Hagn, comédienne, d'Hélène Sedlmayer, fille de cordonnier et de Lola Montez, danseuse et aventurière. Ces œuvres peintes entre 1827 et 1850 sont visibles au château de Nymphembourg.
D’après les articles Wikipédia : Galerie des Beautés et Louis Ier (roi de Bavière)
15:56 | Lien permanent | Commentaires (2)
Chronique du temps de la Covid-19 (9)
Ce matin j'ai eu une grosse frayeur : mon ordinateur ne voulait plus démarrer ! Rester confiné sans lui pour une durée indéterminée, mais assurément de plusieurs semaines au minimum, me paraissait une perspective assez terrifiante. J'ai donc jeté un œil à l'intérieur. Bien que n'y connaissant rien dans domaine je voulais vérifier si je pouvais apercevoir un câble débranché ou un composant grillé. À part de la poussière je n'ai rien constaté de particulier. J'ai donc fait une tentative sans les panneaux latéraux ni la façade et là, miracle, il est repartit. Il s'agissait juste d'un dysfonctionnement du bouton interrupteur en plastique, sans doute dû à l'usure. J'ai remonté le tout sans la façade et les choses sont rentrées dans l'ordre... sauf sur le plan esthétique.
09:17 | Lien permanent | Commentaires (32)
26/03/2020
Musique (527)
Goataholic
The Desert Fox
Goataholic
Banzaï
Pour ceux qui apprécieraient la musique de Goataholic : d'autres morceaux.
19:06 | Lien permanent | Commentaires (13)