10/10/2016
Musique (432)
Gidge
Norrland
Ziu & Nyanara
Unforgettable
Wasaru feat. Graciellita
I let go
23:19 | Lien permanent | Commentaires (15)
Entre l'ascète et l'esthète.
J'aime les jolies choses et pourtant il m'importe peu de les posséder. Il suffit de savoir qu'elles existent, qu'elles perdurent et que je puisse les contempler même indirectement me suffit amplement. On me dira que le beau est souvent onéreux et qu'il est facile de jouer les dédaigneux et les indifférents quand on a des moyens limités. Peut-être, mais posséder c'est craindre de perdre, c'est devenir matérialiste, parfois mesquin. Conséquences paradoxales alors que la grâce et l'élégance doivent transcender, justement. Puisqu'il faut logiquement des propriétaires et qu'heureusement les volontaires ne manquent pas et je leur laisse bien volontiers les savoureux tourments de ceux qui détiennent.
21:14 | Lien permanent | Commentaires (13)
09/10/2016
Encore un peu de Venner
"En tant qu'archétypes, le masculin et le féminin sont les deux pôles opposés et indispensables de la vie. Indispensables parce que complémentaires. Si l'un des pôles disparaît, tout se détraque. Le masculin seul engendrerait un monde de brutalité et de mort. Le féminin seul, c'est notre monde : les pères ont disparu, les enfants sont devenus de petits monstres capricieux, mous et tyranniques. Les criminels ne sont pas des coupables, mais des victimes ou des malades qu'il faut dorloter. Les psys se multiplient tandis que des psychopathes monstrueux narguent leurs victimes et ricanent au nez des juges."
Dominique Venner
Un samouraï d'occident
19:14 | Lien permanent | Commentaires (2)
06/10/2016
En attendant
Une fin du monde sans importance de Xavier Eman
19:43 | Lien permanent | Commentaires (2)
05/10/2016
Humains
"Toujours les hommes se sont posés la question entre toutes fondamentale de ce qu'ils sont. Ils y répondent en invoquant le lignage, la langue, la religion, la coutume, c’est-à-dire leur identité, leur tradition […] Il n’y a que des hommes concrets, fils d’une hérédité, d’une terre, d’une époque, d’une culture, d’une histoire, d’une tradition qui forment la trame de leur destin.
Un groupe humain n’est un peuple que s’il partage les mêmes origines, s’il habite un lieu, s’il ordonne un espace, s’il lui donne des directions, une frontière entre l’intérieur et l’extérieur. Ce lieu, cet espace ne sont pas seulement géographiques, ils sont spirituels. Pourtant le site est d’ici et non d’ailleurs. C’est pourquoi l’identité d’un peuple s’affirme notamment dans sa manière de travailler le sol, le bois, la pierre, de leur donner une forme. Sa singularité se manifeste dans ce qu’il bâtit, dans ce qu’il crée, dans ce qu’il fait. Chaque peuple a une façon personnelle de se relier à l’espace et au temps. L’instant de l’Africain n’est pas celui de l’Européen ni de l’Asiatique."
Dominique Venner
Source : L'esprit français (Fascism is sexy) via A toi l'honneur !
20:12 | Lien permanent | Commentaires (16)
Peut-être
Le plus terrifiant dans le projet mondialiste, je dis "projet" car c'est la mise en œuvre d'une théorie et non une fatalité historique comme certains le croient, est qu'en cas d'échec à nous imposer sa nouvelle vision du monde il aura tout de même irrémédiablement brouillé l'ancienne. Il reste à chacun de nous d'en conserver une part, si infime soit-elle, afin, peut-être, de reconstruire quelque chose un jour, de protéger pendant l’obscurité qui vient une flammèche pour allumer les futurs bûchers.
19:06 | Lien permanent | Commentaires (12)
La fille de Freyr
La complémentaire santé Myriade change de nom et prend celui, fort poétique, d'Eovi Mcd mutuel. Je m'en contrefiche, ce n'est pas la mienne et même si c'était le cas cela ne me ferait ni chaud ni froid que ma mutuelle obligatoire s'appelle dorénavant Ouistiti, Parpaing ou McDonald. C'est le prénom de la conseillère illustrant la publicité/info affichée en ville qui m'a beaucoup plu.
Merci d'excuser la médiocre qualité de la photographie prise de nuit avec mon portable qui n’excelle guère dès qu'on lui demande autre chose que d'accomplir sa mission téléphonique.
16:18 | Lien permanent | Commentaires (18)