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20/11/2013

Récréation (63)

Ce qui suit sont des propos véridiques tenus en salle d'audience :

...ça fuse au prétoire !

 

Dialogue entre le président et un homme accusé d'avoir volé du champagne dans un supermarché :

- Comment avez-vous procédé ? demande le magistrat.

- J'ai glissé les bouteilles dans mon blouson.

- Les huit bouteilles ?

- C'était un grand blouson...

***

Une victime :

- Quand mon mari est à jeun et qu'il regrette ses insultes et ses coups, je lui explique qu'il est con comme ses pieds. Et ce n'est pas rien : il chausse du 46 !

***

L'avocat de l'accusé défend son client, soupçonné de vol :

- Son père n'était pas là. Il a perdu les pédales.

Mais le client n'a pas tout compris :

- Mon père c'est pas une pédale ! Et je l'ai pas perdu, il est à l'étranger en ce moment. Faites très attention à ce que vous dites !

***

- Mon ADN était peut-être sur les lieux du braquage. Ok, pas de souci. Mais moi, je n'y étais pas.

***

- Quand je dis au policier qu'un jour je lui péterai la gueule, vous appelez ça une menace ? Moi, j'appelle ça une promesse, lance l'accusé.

Source : Le Nouveau Détective

19/11/2013

Un peu d'Hepatoum ?

L'ancien champion de boxe Brahim Asloum a visité l'exposition "Albums, BD et immigration 1913-2013", il résume :

« La France a toujours été une terre d’accueil sur laquelle chacun a de réelles possibilités de s’élever. L’exposition le montre bien, comme elle montre que l’immigration est bénéfique dans les deux sens : elle permet à des immigrants de se réaliser, et à la France de bénéficier de nouveaux talents qui contribuent à son rayonnement international. C’est du gagnant gagnant »

Mais notre sociologue du dimanche est aussi acteur, il joue dans Victor Young Perez de Jacques Ouaniche :

Ça sort demain.

Pour patienter, vous avez toujours le documentaire tout en nuances Hitler Apocalypse d'Isabelle Clarke et Daniel Costelle diffusé ce soir. J'en disais déjà le plus grand bien ici.

Encore une petite faim ? Il reste encore La traque des nazis réalisé par la même fine équipe. C'est en suivant, même pas besoin de zapper. Voilà ! Mais n'y revenez plus !

Récréation (62)

Ce qui suit sont des propos véridiques tenus en salle d'audience :

...ça fuse au prétoire !

 

Une femme victime des coups de son mari :

- Entre ses accès de violences, mon mari n'arrête pas de me répéter que je suis une princesse. Mais le seul palais où il a réussi à m'emmener, c'est au palais de justice.

***

L'accusé :

- Je suis kleptomane, c'est pour cette raison que j'allume des incendies un peu partout où je passe.

***

L'accusé :

- Avec ma femme on a des goûts simples. On vit d'amour et de bières fraîches.

***

À la lecture des faits par le président, l'accusé proteste :

- Non, je n'ai jamais dit à ma femme qu'elle était habillée comme une pute. Je lui ai seulement dit de ne pas s'habiller comme une gamine de 18 ans.

Il réfléchit et ajoute :

- Enfin, vous allez me dire : c'est pareil.

***

- Ma femme a raison, reconnaît l'accusé. Parfois je m'emporte et je gueule beaucoup, surtout après mon fils qui est complètement immature.

- Quel âge a-t-il ? demande la présidente.

- Deux ans...

Source : Le Nouveau Détective

18/11/2013

Ainsi soit-il

Très longtemps, le pouvoir arrivait du Ciel. Le chef de la communauté était le représentant terrestre de la divinité et devait faire au mieux pour gouverner ceux qui n'avaient pas eu la même chance que lui et ceux-ci lui devaient le respect dû à ses accointances avec les puissances surnaturelles. Les plus hautes marches se gravissaient-elles parfois à coups de glaive ? Rien de contradictoire là-dedans, le succès final prouvait que des forces supérieures étaient aux côtés du vainqueur. Ça fonctionnait mais c'était injuste.

La démocratie à ses origines avait bien supplanté ce type de pouvoir par celui des hommes mais l'ensemble de ceux-ci constituait encore une entité, la cité ou la nation, qui transcendait toujours le simple mortel. Il y avait du mieux par rapport au premier système mais l'être humain restait inféodé à un lieu, des chefs et une culture.

La première tentative de libération totale et universelle de l'individu a été expérimentée avec la révolution soviétique. Plus d'état, plus de frontières, plus de propriété, plus de riches ni de pauvres, le bonheur pour tous sur toute la planète et autres chimères qui ont accouché du strict contraire. Le tout s'achevant comme on a l'a vu dans les ruines et le sang. L'idée a tout de même plu bien que faussée au départ par trop de théories irréalistes.

Aujourd'hui, nous sommes en train de vivre la deuxième tentative ; après l'extinction brutale et massive de l'homo sovieticus, voici venu le temps de l'homo consumericus. Lui ne croit plus en dieu parce qu'il est trop intelligent pour ce genre de superstition (même s'il en a d'autres), se contrefiche de sa Cité puisqu'il est citoyen du monde et n'a pas besoin de goulag ni d'asiles psychiatriques pour le tenir sage parce qu'il soutient ce système de toutes ses forces car il a bien compris que pour lui c'est le système idéal. Tout ce qu'il veut c'est la pérennité et la prospérité de la société pour qu'il puisse entrer dans la caste des favorisés, l'aristocratie des bobos. Aérien, il sera partout chez lui et migrera au gré d'un job plus lucratif, d'une mode ou de ses envies, et accessoirement de troubles locaux.

17/11/2013

Le jeu des deux images (196)

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.

196a.jpg

196b.jpeg


Musique (329)

The Civil Wars

Dust to dust

Poliça

Warrior Lord

Noosa

Walk on by

13/11/2013

« T'es rigolo ; mais c'est que j'ai des crédits, moi ! »

Ainsi les Français en auraient plein le dos de la clique au pouvoir et nous serions même à la veille d'une bonne grosse révolte, certains rêvent déjà d'une révolution. Mais qui donc a voté pour les grotesques malfaisants de Mitterrand à Hollande, qui donc a voté pour Maastricht, qui donc a voté pour s'enchaîner eux-mêmes les rares fois où ils pouvaient exprimer librement leur opinion ? Et pour quoi ? Juste parce qu'on leur a fait miroiter un peu plus de pouvoir d'achat. Oh ! ce n'était pas qu'ils étaient malheureux, mais il leur restait tellement de trucs inutiles à acheter. Le pays, l'avenir, l'honneur, les principes, on verrait plus tard. Et aujourd'hui, c'en est trop, on en appelle aux Bonnet rouges, aux Jacqueries et à 1789 ; bientôt peut-être à Robin des Bois ou à Zorro. Mais les erreurs, parfois ça passe ni vu ni connu et parfois on les paie le prix fort, et là on est en train de passer à la caisse. D'ailleurs, trouverait-on miraculeusement quelques millions d'euros pour renflouer les caisses et améliorer la situation des Français qu'ils retomberaient illico dans les mêmes travers délétères.