17/06/2011
Un test d'école maternelle
Dans quelle direction roule l'autobus ci-dessous ? Vers la gauche ou vers la droite ?
Pas évident, hein ? Regardez de nouveau l'illustration, bien attentivement, cette fois ! Vous ne savez toujours pas ?
Cette même question a été posée, dans le cadre d'une étude, à des enfants de maternelle. 90 % d'entre eux ont répondu : « L'autobus va vers la gauche. » Et lorsqu'on leur a demandé d'expliquer pourquoi ils pensaient que l'autobus allait vers la gauche plutôt que vers la droite, ils ont répondu : « Parce qu'on ne voit pas la porte pour sortir de l'autobus ! » Vous vous sentez comment, là ? |
Il faut croire que les enfants ont une logique que nous avons perdue à chercher des complications et des pièges là où il n'y en a pas.
09:25 | Lien permanent | Commentaires (6)
15/06/2011
Le jeu des deux images (111)
Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte. Cette fois j'ai un peu corsé l'affaire...
22:57 | Lien permanent | Commentaires (22)
14/06/2011
À bicyclette...
Une note lue sur A moy que chault ! (que je recopie ici, son auteur ne m'en voudra pas je l'espère) me rappelle une des miennes écrite il y a plus de quatre ans.
Donc la sienne :
Sociologie des nuisibles Au coeur de cette vaste matière, le vélocypédiste parisien occupe une place non négligeable. Fièrement assis sur son destrier métallique, porteur de toutes les valeurs citoyennes et éco-responsables, héros et héraut du transport alternatif, il file dans les rues, fier comme un paon protégé par WWF et persuadé de n'être pas assujetti aux règles du code de la route ou même de la simple civilité. Rien ne doit venir freiner la noble course du cycliste urbain, aristocrate du bitume, tellement en rupture avec la tyrannie du beauf en voiture et la banalité moutonnière du piéton. De gauche mais rétif à la promiscuité olfactivement et parfois physiquement agressive des transports collectifs, rebelle sélectif à la modernité dont il voudrait conserver l'Iphone mais pas les embouteillages, ami du peuple mais pas des pue la sueur aux camions de livraison scandaleusement garés sur les pistes cyclables, le vélocypèdiste parisien jette des regards haineux à ceux qui pensent pouvoir traverser au vert sans devoir affronter sa roue-avant comme à ceux qui osent contester ses rodéos sur le trottoir. N'ont-ils pas compris qui il était? Ne voient-ils pas qu'il est l'Exemple? Celui qui, vivant à Bastille et travaillant dans une boite de com' du Marais, crache sur la « civilisation de la bagnole » et conspue « l'oppression du métro », le mec trop cool qui a tout pour faire un parfait figurant du prochain long métrage de Cédric Klapisch, la mauvaise conscience incarnée du prolo venant de Pierrefitte-sur-Seine avec son break Peugeot même pas aux normes européennes de respect de l'environnement... Bien sûr, la petite fiotte à mèche et écharpe blanche est un peu moins flamboyante lorsque, à la sortie de son bar à cocktails, elle ne retrouve qu'un pneu solitaire piteusement attaché au panneau de signalisation du coin de la rue mais ce n'est pas ce genre de petit aléa qui va freiner son épopée urbaine et dès demain elle aura retrouvé une nouvelle monture car le vélocypèdiste parisien n'est pas à 300 euros près (ce qu'on aurait pourtant pu croire au moment de régler l'addition du bar...)... |
Et la mienne, qui paraîtra sans doute bien fade, mais tant pis :
Kill bike Je dois confesser qu’en ville les vélos m’ennuient. Loin de moi l’idée de leur interdire d’y circuler, d’ailleurs je compatis sincèrement à leurs difficultés dues à l’incivisme de nombreux automobilistes qui rend leurs déplacements pénibles sinon dangereux, mais une partie non négligeable d’entre eux se croit tout permis. Elle prend les sens interdits, roule sur les trottoirs, emprunte les voies piétonnes, passe quand le feu est rouge, oblige voitures et piétons à les éviter, se dispense de tout éclairage etc. Encouragé par la mode actuelle toujours prompte à culpabiliser l’automobiliste, potentiellement criminel, évidemment pollueur et supposé nanti (l’oppresseur dans toute sa splendeur) le vaillant cycliste oppose la magnifique figure du déshérité. La ville ne lui a pas fait de voies adéquates, les voitures ne le ménagent pas, ils respirent la pollution des autres alors que lui roule écolo. Qu’il circule à bicyclette par goût (gloire au brave qui risque tant pour ne pas salir la planète) ou par obligation (respect pour l’exclu qui symbolise tous les damnés de la terre) il prend les libertés que lui permet son statut, celui d’appartenir à une minorité. Peu importe que le piéton se voit obligé de l’éviter pour ne pas être bousculé et l’automobiliste surpris de faire un écart pour ne pas le percuter : le cycliste est moralement intouchable. |
22:18 | Lien permanent | Commentaires (13)
13/06/2011
Toujours plus forts !
Vous vous souvenez peut-être de Mamadou N'guéyé qui répare les PC par télépathie ? Mais connaissiez-vous Monsieur N'guélé qui est spécialiste en tout, ce qui permet de gagner du temps, et le Professeur Nounoursin qui s'occupe, entre autres choses, des stades hantés, problème, il est vrai, auquel bien peu de monde s'intéresse ?
18:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le tour de France du patrimoine (choix absolument arbitraire) : France
Le site Patrimoine de France.com
18:05 | Lien permanent | Commentaires (0)
Nénuphars
09:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
11/06/2011
Le jeu des deux images (110)
Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte. Cette énigme nous est proposée par L. Chéron.
J'ai ma petite idée mais je laisse les autres jouer puisque que j'ai une longueur d'avance au niveau du temps de réflexion.
23:26 | Lien permanent | Commentaires (28)