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29/06/2018

Et pendant ce temps...

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Source : JDN via un billet de Paul-Emic

28/06/2018

La menace

La présentation de Boulevard Voltaire :

"Le criminologue Xavier Raufer décrypte pour Boulevard Voltaire le coup de filet au sein d'une mouvance de l'ultradroite qui préparerait des attentats."

Projet d'attentat de l'ultradroite : "Une conspiration de branquignols"

Relais (3)

Pétition : Libérez Luc Fournié, le buraliste du Tarn !

27/06/2018

Bilan et perspectives

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Un pays vaincu ?

Que peut-on espérer d'un pays où les victimes couvertes de plaies et de bosses n'ont aucune autre hâte que de trouver des excuses à ceux qui viennent de les agresser et de les dépouiller ?

Rien. Ou en tout cas plus grand-chose…

Que peut-on attendre d'un système dans lequel un délinquant multirécidiviste sous le coup d'un arrêté d'expulsion peut vivre plus de 20 ans sans être inquiété et compter sur la mobilisation de multiples associations « citoyennes » au cas ou sa criminelle impunité serait remise en cause ?

Rien. Ou en tout cas plus grand-chose…

Que peut-on penser d'un peuple qui, pourtant si fier d'une certaine résistance mythifiée, accepte si complaisamment de baisser les yeux et de renoncer peu à peu à tout ce pourquoi ses pères se sont battus ?

Rien. Ou en tout cas pas grand-chose…

La France n'est pas en danger, elle est en phase avancée d'extinction. Nul pessimisme excessif ou catastrophisme débridé dans cette affirmation, juste le froid constat d'une démission absolue. La France meurt car elle ne croit plus en elle, car elle est vidée de toute force et ne discerne pas l'utilité de sa propre survie, ne sachant plus très bien ce qu'elle est vraiment.

D'un côté des hordes néo-barbares avides et revanchardes, de l'autre soit des idéologues gauchistes désincarnés qui voit dans ce néo-tribalisme ultra-violent la possibilité (enfin !) d'une victoire contre ce monde occidental porteur de valeurs et de qualités dont ils seront toujours dépourvus, soit des cohortes de consommateurs atomisés n'ayant plus d'autre identité que leur pouvoir d'achat.

Or on ne se bat pas pour un pouvoir d'achat, on se borne à trembler pour lui.

On avale les insultes et on encaisse les coups avant de tout oublier sur internet derrière sa porte blindée 15 points.

Après tout il suffit de ne pas être au mauvais endroit au mauvais moment… d'avoir les moyens d'éviter les plus mauvais quartiers… de ne pas rentrer trop tard… et puis surtout de ne pas répondre aux insultes et aux crachats… de ne pas « faire de provocation », d'être discret, de faire semblant de ne pas entendre et de ne pas voir, de ne pas s'occuper des « problèmes des autres », de multiplier les signes de soumission et de partir toujours un peu plus loin : la banlieue chic, la province, la campagne, bientôt la grotte…

En se cachant, en rampant, en fuyant, en trichant, en oubliant, en mentant, il est encore possible d'y échapper… Tout n'est donc pas perdu. A part l'honneur bien sûr… Mais ce n'est pas grave, il s'agit là d'un vieux truc qui ne sert à rien.

Source : Zentropa

26/06/2018

Industries

La présentation par TV Libertés :

"Le Samedi Politique : Industrie, énergie et scandales, 40 ans dans les coulisses du pouvoir avec Loïk Le Floch-Prigent

Edition Spéciale du Samedi Politique : Après 40 ans dans les coulisses de la République, Loïk Le Floch-Prigent a dirigé quelques unes des plus grandes entreprises françaises telles que Elf et la SNCF. Pris dans un des plus célèbres scandales français, il connaît les rouages les plus secrets du fonctionnement de l’Etat profond. Avec nous, il revient sur l’évolution catastrophique de l’industrie française, et sur son parcours unique, du jeune breton marqué à jamais par son identité régionale rythmée par les marées à son ascension fulgurante jusqu’à la tour Elf.

Avec son dernier ouvrage, En finir avec les idées reçues, il dresse un constat accablant de la gestion de l’industrie et livre sa vision : une vision pragmatique, scientifique et empirique."

PS : La vidéo est hébergée par Dailymotion ce qui veut dire de nombreuses coupures de publicités. Déjà pénibles en soi, celles auxquelles j'ai eu droit étaient très marquées ethniquement. Curieux, non ?

25/06/2018

Ou comment rendre ce blog moins sinistre grâce au foot

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24/06/2018

Histoire... (144)

"Il y a d'un côté ceux qui veulent le bonheur d'un homme abstrait, qui poursuivent la chimère d'une formule de portée universelle. De l'autre côté, il y a les réalistes. Le national-socialisme ne s'intéresse qu'à l'humanité allemande, ne cherche que le bonheur de l'homme allemand.

Les universalistes, les idéalistes, les utopistes visent trop haut. En promettant un paradis inaccessible, ils trompent tout le monde. Quelle que soit leur étiquette, qu'ils prennent le nom de chrétiens, de communistes, d’humanitaristes, qu'ils soient sincères et stupides ou tireurs de ficelles et cyniques, ce sont tous en fait des fabricants d’esclaves. J'ai toujours envisagé, dans l'ordre des choses possibles, un paradis à notre portée. Cela signifie une amélioration du sort du peuple allemand.

Je me suis borné à promettre ce que je pouvais tenir et ce que j'avais l'intention de tenir. C'est là une des raisons de la haine universelle que j'ai suscitée. En ne faisant pas, comme tous mes adversaires, des promesses impossibles, je faussais la règle du jeu. Je me tenais à l'écart du syndicat des meneurs de peuples dont le but, tacite et inavoué, est l'exploitation de la crédulité humaine." 

Adolf Hitler, le 21 février 1945

Le Testament politique de Hitler

Notes recueillis par Martin Bormann

Éditions Kontre Kulture