28/02/2017
Musique (446)
Marcus Warner
In the end
Jessica Sweetman
I'm on fire
Essáy
State of mind
17:52 | Lien permanent | Commentaires (2)
Dresde, mon amour
Dresde 1945 : chronique d'un amour Réalisé par Roland Suso Richter (2006) Avec Felicitas Woll (Anna Mauth) , John Light (Robert Newman) , Benjamin Sadler (Alexander Wenninger)... Synopsis En 1945, après le débarquement, les Alliés pilonnent les grandes villes allemandes, annihilant tout reste de confiance dans le régime hitlérien. La ville de Dresde, appelée la «Florence de l'Elbe», fait partie des cibles. Anna Mauth, une jeune infirmière allemande, s'occupe comme elle peut des blessés, qui arrivent par dizaines tous les jours, à l'hôpital Martin-Luther de Dresde. C'est là qu'elle fait la connaissance d'un médecin, Alexander Wenninger. Les jeunes gens, qui ressentent très rapidement une attirance réciproque, envisagent de se marier. C'est alors qu'Anna recueille Robert Newman, un pilote britannique blessé. Elle en tombe amoureuse. La jeune femme est alors confrontée à un choix déchirant... |
J'ai trouvé cette présentation du téléfilm allemand Dresden sur Télérama. Résumons, en 45 les Alliés bombardent l'Allemagne pour faire prendre conscience à sa population insouciante que le nazisme c'est mal. Le procédé peut paraître légèrement brutal, mais les exorcismes sont toujours un peu traumatisants pour les victimes. Dans la ville de Dresde transformée en crématorium géant une infirmière, Anna, et un médecin s'aiment. Cependant, Anna qui commence à se libérer des sortilèges hitlériens grâces aux effets magiques du phosphore soigne aussi un pilote britannique qui se cache dans une cave, sûrement par modestie afin de ne pas être acclamé trop tôt en libérateur. Et patatras ! voilà que notre héroïne s'entiche de lui. Là, ça m'échappe, je sais que les sentiments amoureux ont leurs bizarreries, mais trouver du charme à un des tortionnaires des siens dont elle voit quotidiennement les épouvantables exploits me laisse perplexe. Si on supprime la possibilité d'une maladie mentale chez notre infirmière on peut y voir plus raisonnablement la soumission au Système d'un réalisateur allemand qui condamne l’annihilation des grandes agglomérations du Reich par les bombes anglo-saxonnes, mais qui se doit de rajouter obligatoirement un édulcorant, soit une invraisemblable bluette pour expliquer que l'amour transcende les frontières et les conflits. Belle idée dont les tondues de la Libération constituaient sans doute la malheureuse avant-garde. Bref, l'idylle germano-britannique occupe l'écran et le bombardement devient anecdotique comme une invasion de fourmis lors d'un pique-nique en amoureux. Le procédé évite aussi que le spectateur en ne restant qu'avec des personnages allemands finisse par compatir à leur sort et condamne leurs bourreaux anonymes ; ici, l'adversaire à un visage dont on peut tomber amoureux. Je me demande si parmi toutes les bombes lâchées sur le Reich il y a eu des essais de bombes émasculatrices.
L'affiche où l'on peut constater que la destruction de Dresde a l'air de mettre de fort bonne humeur notre infirmière. Le pilote qui a endossé un uniforme allemand est plus dubitatif, en bon professionnel.
10:48 | Lien permanent | Commentaires (16)
27/02/2017
Encore un peu de Xavier Eman
21:18 | Lien permanent | Commentaires (0)
Carte blanche (9)
Spirolatères
Par Blumroch
En 1920, Hanns Heinz Ewers publiait *Vampir* ("Un roman tout en couleurs et en lambeaux"), comportant quelques réflexions étonnantes sur les liens secrets que l'auteur voyait ou croyait voir entre l'Israël éternel et l'Allemagne. D'étrange manière, cette idée (ou lubie, comme on voudra) d'Ewers se retrouve dans les constructions géométriques appelées spirolatères ("spirolaterals" en anglais). Inventés en 1973 par un certain Frank Odds et popularisés par le célèbre Martin Gardner, les spirolatères permettent de créer des figures complexes à partir de paramètres simples (nombre de répétitions, angle de rotation, segments : on en trouvera la définition dans le *Dictionnaire Penguin des curiosités géométriques*). Ainsi, un ensemble de paramètres permet d'obtenir une étoile de David. Or, en modifiant progressivement la valeur de la rotation, on aboutit à... une croix gammée. Étonnant hasard, quand même ! Qu'en aurait pensé Ewers ? ;-)
17:39 | Lien permanent | Commentaires (9)
25/02/2017
Bribes d'Occident (38)
Les mystères des Cathédrales de Jean-François Delassus
19:05 | Lien permanent | Commentaires (0)
24/02/2017
Las
Comme certains l'ont peut-être noté, ces jours derniers je publie avec moins d'assiduité ; la cause en est une certaine lassitude. Que mes visiteurs veuillent bien m’excuser : cela m'arrive de temps en temps et c'est passager.
21:39 | Lien permanent | Commentaires (10)
22/02/2017
HP (4)
Déjà mis en ligne sur ce blog, mais devenu invisible sur You Tube le fascinant Toute marche mystérieuse vers un destin (Le cas Howard Phillips Lovecraft) de Patrick Mario Bernard et Pierre Trividic :
...et la chaîne d'un passionné : Howard p. Lovecraft.
12:25 | Lien permanent | Commentaires (9)