27/02/2011
Le tour de France du patrimoine (choix absolument arbitraire) : Crosville-sur-Douve (50)
22:37 | Lien permanent | Commentaires (0)
25/02/2011
La plage
11:40 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'étincelle
Le Proche et le Moyen-orient sont en rébellion, l'Égypte autorise le passage de navires de guerre iraniens dans le Canal de Suez, Israël se prépare au pire, la Libye est en état de quasi guerre civile, des vagues de réfugiés commencent à arriver sur les côtes européennes, l'UE (comme d'habitude) ne sait pas trop quelle attitude adopter... qui sait quand tout cela finira ? et comment ? Imaginons que ces événements nous entraînent jusqu'à une 3me guerre mondiale (supposition absurde, je sais) l'Histoire retiendra que tout a commencé le 17 décembre 2010 par l'immolation d'un jeune Tunisien, Mohammed Bouazizi, à qui on refusait le droit de vendre des fruits et légumes pour nourrir sa famille.
10:47 | Lien permanent | Commentaires (7)
24/02/2011
Faut-il brûler les journalistes ? (3)
La critique cinéma qui suit vient du site du journal Libération, elle concerne les films Harry Brown de Daniel Barber (je n'ai pas vu) et Le dernier des Templiers de Dominic Sena (triste navet). Les thèmes, l'autodéfense et la chevalerie au service de Dieu, les faisaient déjà partir perdants pour un journaliste (?) de l'Officiel du politiquement correct, mais qu'est-ce qui peut pousser un individu à écrire dans ce charabia ? La prétention ? la haine ? les écoles de journalisme ? la volonté d'être drôle ? une crise de jeunisme ? la bêtise ? un AVC ? une possession démoniaque ? Mystère.
Chronique | 19 janvier 2011 Michael Caine & Nicolas cage Par BAYON Michael Caine est royal. Plus que son film de saison Harry Brown, certes ; kenloacherie socio-thriller où l’antijeunisme primaire remplacerait l’anticapitalisme rouge, apparentable en insanité paranoïaque au récent Que justice soit faite. «Justice sur la ticy», en quelque sorte. Caine y joue terriblement la vieillesse, qui est la sienne mais pas tout à fait tant. Lenteur essoufflée, vie blafarde, cafard vermeil, vacuité de fin des choses… Mais dès qu’on sait que le type fut marine naguère, on voit de quoi il retourne… Total : d’une part, le corps de Caine, des yeux vitreux à l’anglais dans le texte, en passant par le smart, jusqu’au gore ; d’autre part, le sordidisme zonard en descente de Last Exit du cru, avec effets spéciaux émeutes de quartiers à capuches. Le reste, en écrin d’idéologie sale, de laideur complaisante, fâcheusement («fachosement» ?) gênant. Avec Nicolas Cage, autre tête d’affiche du jour, cette séquence «Bobines» devrait se rebaptiser : Boules - à zéro. D’un nanar à l’autre, en effet, le sens et l’attrait du neveu Coppola, depuis Sailor et Lula en fait, tiennent à un fil, de ses états pileux. Comme Samuel Jackson, Elton John, Berlusconi, Dick Rivers ou Jude Law et 98% d’entre nous les gars, Cage vit mal le cap du déplumage viril, qui le défrise et qu’il maquille du coup à tort et à travers, jamais en retard d’un postiche. Ici, dans la farce hirsute le Dernier des Templiers, sa perruque flottante aux allures de dernière des iroquoises inversée, pendouillant sur ses traits non moins flapis de McCartney ayant trop repris de pilpil au tofu, est un bonheur assez mystique. Grands dieux. Ne ressemblant strictement à rien, le toupet monastique qui l’auréole résume Cage en soi, perdant la tête depuis qu’il a perdu l’unique Patricia Arquette pour l’anonyme Lisa-Marie Presley (ex Michael Jackson…) et le film décoiffant afférent. Fausse saga de grands espaces teutoniques, c’est un sous-road-movie statique en charrue de pérégrination visiblement démarquée de… Maupassant (telle la Chevauchée fantastique de ressortie), à huis clos cahoté commode, où les loups médiévaux du Miracle, entre autres garous de prétoire, jouent le rôle des Cosaques, et le Malin travesti celui de Boule de suif. Dans ce grand-guignol d’une crétinerie toute chrétienne (pléonasme), à s’arracher les cheveux entre deux danses gondolées de Saint-Guy poilantes, Nicolas «Ghost Rider» Cage qui n’en est plus là, comme encagoulé de la touffe hippie de Depp dans The Tourist, chevalier errant parmi les bubons pesteux aux airs de mérule, dit : «La sorcière est inconsciente, on lui a administré un sédatif», au XIVe siècle, retour de croisade. Tout étant bien qui finit bien, Baphomet ne l’emportera pas en Paradis, Armageddon une nouvelle fois déjoué, amen (ma cagoule est pleine). Mais il s’en sera fallu d’un cheveu. |
09:42 | Lien permanent | Commentaires (3)
22/02/2011
Où en sommes-nous ?
22:16 | Lien permanent | Commentaires (2)
21/02/2011
Musique (221)
Nest
Call of the wild
Agnes Obel
Riverside
Various Productions
Hater
18:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
AFP pas contente
Votre blog a fait l'objet d'une plainte de l'AFP concernant des articles que vous avez publié sans en avoir l'autorisation et listés ci-dessous. Ces articles ont été retirés de la publication et sont à présent en mode brouillon. Vous ne devez pas remettre en ligne ces contenus faute de quoi nous serons amenés à fermer l'accès à votre blog, conformément aux CGU. Articles retirés : http://guerrecivileetyaourtallege3.hautetfort.com/archive/2008/08/18/robot.html, |
J''y avais rapporté un article sur un robot auquel on avait ajouté des neurones de rat. Je citais ma source mais cela n'a pas l'air d'avoir suffit, tant pis, je m'incline. Je note tout de même que j'ai plusieurs autres articles reproduisant des dépêches AFP. Celui que je dois effacer traite peut-être d'un secret d'état : la transplantation des neurones de rongeur.
18:11 | Lien permanent | Commentaires (2)