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11/02/2011

Hors saison

 

Antonio Cazorla Sunset.jpg

Antonio Cazorla

Sunset

 

10/02/2011

Et parfois, un heureux fait divers...

 

L'ancien légionnaire sauve un bébé qui s'asphyxie

Un bébé de deux mois l'a échappé belle mardi dans un supermarché de Castelnaudary dans l'Aude. Il était en train de succomber à la mort subite du nourrisson quand le vigile, un ancien légionnaire, a réussi à le sauver in extremis. "J'ai du mal à me rendre compte de ce que j'ai fait", a témoigné le héros Laurent Viateur au micro d'Europe 1.

La scène s'est jouée en quelques minutes. Quand il s'est rendu compte que sa fille Roxanna, les yeux exorbités, écarlate, ne respirait plus, le père s'est précipité en criant vers l'accueil du magasin. Là, Laurent Viateur, agent de sécurité de 37 ans, lui a fait un massage cardiaque avec deux doigts et a pratiqué sur elle le bouche à bouche.

"Un ange était là"

Conservant tout son calme, il s'est soucié de rassurer le frère de Roxanna, 7 ans, qui, inquiet, demandait: "Qu'est-ce qu'elle a, ma petite soeur", a témoigné Laurent Viateur sur Europe 1.

Les pompiers arrivés sur place peu après ont salué l'intervention du vigile. Les examens médicaux qui ont suivi étaient bons et ont conclu que Roxanna avait échappé à la mort subite du nourrisson, cause importante de décès entre un mois et un an.

Le lendemain, les parents, qui avaient cru leur enfant morte, sont retournés au magasin avec Roxanna et son frère pour remercier l'ancien légionnaire. "Quand elle sera grande, je lui dirai qu'un ange était là, qui lui a sauvé la vie", a dit la mère, citée par La Dépêche.

Source : SFR Info

09/02/2011

Le jeu des deux images (84)

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.

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08/02/2011

Musique (220)

 

Crystal Castles

Untrust us 

The National

Fake Empire 

Stalingrad

I stood beside your mothers

Faut-il brûler les journalistes ? (2)

 

Les Infiltrés : première justice.

Pour les calomniés de Bordeaux.

mardi 25 janvier 2011, par Abbé Philippe Laguérie

Dans le délire de haine qui s’est abattu notamment sur la paroisse Saint-Eloi et l’école saint-Projet à Bordeaux lors de la scandaleuse émission des « infiltrés » du 27 avril 2010, le JDD (Journal Du Dimanche) avait cru bon d’y aller de son petit couplet. Sur le site internet du journal, Gaël Vaillant avait osé écrire : « L’Institut du Bon-Pasteur, dirigé par le sulfureux abbé Laguérie ; filmé, à son insu, ce dernier avait lancé, devant les enfants, des propos violemment antisémites ». Et vas-y de bon cœur !

De la même manière que les Infiltrés avaient inventé la désormais fameuse cave de Saint-Eloi, qui n’a jamais existé mais qui était nécessaire à leurs diffamations, le JDD m’avait inventé des propos antisémites que je n’ai jamais tenus. En outre, je n’ai jamais donné de cours aux enfants de Saint-Projet, si ce n’est, en 2007, de leur apprendre la suavité et la douceur du chant grégorien. Voilà la véritable histoire, revisitée par le JDD suite au délire médiatique engendré par l’émission des Infiltrés.

Ces gens-là auraient dû savoir - ils le savent maintenant - que j’ai de bons avocats et même, disons-le, d’excellents. J’ai gagné, jusqu’à présent, tous les procès que j’ai intentés, y compris contre la LICRA en 1987. Maître Jérôme Triomphe, encore lui, prend ma cause en main, fait constater les faits par voie d’huissier et assigne le JDD au tribunal pour diffamation. Et voilà le travail, moins d’un an après : le communiqué du JDD me présentant ses excuses. Un texte officiel intitulé « Précisions » mis en ligne sur leur site. Il n’y restera peut-être pas longtemps, le passage judiciairement attaqué ayant été supprimé. Je l’ai donc fait dûment constater et je vous le livre :

« Le 4 juin 2010, le jdd.fr a mis en ligne sur son site un article intitulé « Une école pas assez ouverte » évoquant un reportage sur les conditions d’enseignement au cours Saint-Projet de Bordeaux, diffusé dans le cadre de l’émission « Les Infiltrés » sur France 2.

En relatant le contenu de ce reportage, l’article du jdd.fr a relayé les commentaires de l’auteur de l’émission diffusée sur France 2 évoquant des propos qui auraient été tenus en classe par des professeurs qualifiés dans l’émission de « ouvertement antisémites ».

En tout état de cause, c’est par une très regrettable erreur que nous avons imputé de tels propos à l’abbé Philippe Laguérie. En aucune manière, la rédaction du jdd.fr n’a cherché, de près ou de loin, à nuire à la réputation de l’abbé Laguérie, encore moins à inventer des propos qu’il n’a pas tenus ».

A tout péché miséricorde. Le JDD, certes sous la pression d’une action judiciaire, a cependant reconnu son erreur et a présenté ses excuses. Je me suis donc désisté de mon action. L’aveu me paraît plus important qu’une condamnation judiciaire.

Pourquoi ? Tout simplement parce que le JDD n’a fait que « relayer » l’émission des Infiltrés. La diffamation commise (et aujourd’hui réparée) n’a été qu’une conséquence de l’émission des Infiltrés qui a entraîné le torrent de haine et de délire que l’on sait, répercuté par les plus grands médias, qui, hier encore, dénonçaient les Infiltrés pour ses méthodes, indignes de journalistes, celles-là même qu’ils ont utilisées contre nous !

Il serait trop long de rappeler ici les montages, amalgames et manipulations, sur la base notamment des délires de deux garçons exogènes, dont l’un milite aujourd’hui à l’extrême-gauche. Cela viendra en son temps.

Mais il faut dénoncer les préjudices subis : des prêtres qui se font insulter et cracher au visage dans la rue, une école en partie fermée, des familles entières calomniées et montrées du doigt, des personnes menacées dans leur travail, des maisons taguées, une vitrine de librairie catholique vandalisée par deux voyous qui venaient de voir l’émission, une famille obligée de se mettre à l’abri et qui a failli perdre un enfant en gestation, des menaces de mort etc.…

Et puis, ce sont des dizaines de gardes à vue et des centaines d’auditions – dont votre serviteur – par la section anti-terroriste de Bordeaux, s’il vous plaît, pour calmer une agitation médiatico-politique entièrement fomentée. Cela ne débouchera sur rien faute d’avoir trouvé la moindre infraction pénale.

Il faudra en rendre compte et réparer ce qui peut l’être. Plusieurs procédures ont été engagées contre les auteurs, producteurs et présentateur des Infiltrés, par mon avocat et les avocats des victimes diffamées par les Infiltrés. Elles sont en cours d’instruction à Bordeaux et à Paris.

La force éphémère de ces méchants, c’est la faiblesse qu’ils ont présumée de nous. Ils ont pensé qu’ils pourraient nous calomnier sans que nous ayons la capacité de réagir contre le délire médiatique ainsi créé. Nous avons contre-attaqué et ils ne s’en doutaient pas. Ils le savent désormais et ont quelque raison de craindre.

Le JDD est le premier à avoir rendu justice. Je lui en sais gré et lui pardonne à présent.

A moins que, par miracle, les Infiltrés en fassent de même, que ses manipulateurs n’attendent aucune faiblesse de notre part. Ecoutez Beaumarchais sur l’air de la calomnie :

"La calomnie, Monsieur ? Vous ne savez guère ce que vous dédaignez ; j’ai vu les plus honnêtes gens près d’en être accablés. Croyez qu’il n’y a pas de plate méchanceté, pas d’horreur, pas de conte absurde, qu’on ne fasse adopter aux oisifs d’une grande ville, en s’y prenant bien ; et nous avons ici des gens d’une adresse ! ... D’abord un bruit léger, rasant le sol comme hirondelle avant l’orage, pianissimo murmure et file, et sème en courant le trait empoisonné. Telle bouche le recueille, et piano, piano, vous le glisse en l’oreille adroitement. Le mal est fait, il germe, il rampe, il chemine et, rinforzando de bouche en bouche, il va le diable ; puis tout à coup, ne sais comment, vous voyez Calomnie se dresser, siffler, s’enfler, grandir à vue d’œil ; elle s’élance, étend son vol, tourbillonne, enveloppe, arrache, entraîne, éclate et tonne, et devient, grâce au Ciel, un cri général, un crescendo public, un chorus universel de haine et de proscription. Qui diable y résisterait ?"

Depuis le Barbier de Séville, les calomniateurs ont cessé de susurrer. Ils écrivent et ils filment, c’est plus rapide, plus efficace. Au nom de la Vertu, s’il vous plait ! Ils ne vont pas tarder d’apprendre que la calomnie fait rapidement plus de tort à celui qui la profère qu’à celui qu’elle dénigre. « Qui se sert de l’épée, périra par l’épée… ».

 

Source : le blog de l'abbé laguérie

 

C'est chouette d'être journaliste : on ment, on invente, on exagère, on calomnie, on appelle au meurtre en gros titres ou à l'heure de grande écoute et si jamais on se fait prendre la main dans le sac on fait quelques excuses rapides et on continue son job comme si rien n'était arrivé.

 

05/02/2011

Note très suspecte

 Les Juifs (quand je dis Juifs il s'agit de ceux qui parlent en tant que tels et au nom de leur communauté) sont curieux. Il est entendu qu'entreprendre de les compter ou de les désigner est très mal interprété sous prétexte qu'ils souhaitent être considérés comme tout un chacun – et que la dernière fois que certains l'ont fait cela s'est mal terminé. Soit. L'intention paraît louable et justifiée, mais paradoxalement eux-mêmes n'hésitent pas à mettre leur judéité en avant en cas d'agression ou de ce qu'ils considèrent ainsi - et ils sont très susceptibles.

L'humour sur les Juifs, ils se le réservent mais se permettent d'en faire sur les autres communautés. Quand un Juif est attaqué on se doit de chercher s'il n'y a pas de l'antisémitisme là-dessous – et on finit très souvent par en trouver. On ne peut parler d'eux que favorablement. Ils leur arrivent aussi de faire prendre en compte leurs racines dans certains domaines autre que victimaires, sur le plan artistique notamment sans paraître imaginer que des caractères propres ne peuvent, logiquement, être que positifs.

Encore une fois il convient de revenir à la Seconde guerre mondiale : si quelqu'un y a tué des civils c'est un crime de guerre s'il y avait des juifs parmi eux c'est un crime contre l'humanité et peu importe de savoir si leur mort est issue d'un dramatique hasard ou d'une intention délibérée du fait de leur naissance, leur identité suffit. Partant de telles bases le débat est faussé et comme il est toujours impossible de se poser certaines questions sur ces faits pourtant anciens on continue a vivre sur ces fondations plus que douteuses qui entretiennent différentes formes d'antisémitisme et entraînent une aliénante autocensure chez les uns et une certaine paranoïa chez les autres. On en viendrait presque à se demander si cette situation viciée ne satisferait pas certains...

04/02/2011

Il me semble (40)

On néglige trop souvent de prendre en compte chez autrui cette part d'irrationnel présente dans chaque être humain et imperméable à toute logique.