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01/09/2017

Musique (462)


Jack Dylan Martin

Flight

Uppermost

Mistakes

Valotihkuu

Fall Asleep in a Trees Lounge

31/08/2017

Milk-shake (2)

La bande-annonce finale de Sky Sharks de Marc Fehse dont je vous ai déjà parlé dans un billet précédent :

30/08/2017

Lee est revenu !

"Partant rendre visite à sa grand-mère, Lucy accompagnée de son petit-ami sort du métro à Bushwick. Ce quartier de Brooklyn, plongé dans un véritable bain de sang, est le théâtre d'affrontements séparatistes entre les habitants et les milices texanes voulant envahir New York, pour en faire leur base d’opérations sur la Côte Est. Dans cette pagaille, Lucy parvient à se réfugier dans le sous-sol d'un dénommé Stupe. Ce robuste vétéran de guerre va l'aider, bien que réticent, à traverser les quelques blocs de Bushwick pour retrouver sa grand-mère."

Bushwick de Jonathan Milott et Cary Murnion

Après les Rouges, les Arabes et les extraterrestres ce sont les milices indépendantistes américaines qui attaquent les USA. Ce ne sont peut-être pas les adversaires les plus crédibles...

29/08/2017

Je plussoie (17)

Peut-être tous les dragons de notre vie sont-ils des princesses qui attendent, simplement, de nous voir un jour beaux et vaillants. Peut-être tout l’effroyable est-il, au plus profond, ce qui, privé de secours, veut que nous le secourions.

Reiner Maria Rilke

 

L'Occident s'est sacrifié en tant que civilisation particulière pour s'imposer comme culture universelle.

Le Comité Invisible

 

L’essentiel est sans cesse menacé par l’insignifiant.

René Char

 

La peur c’est quand l’âme ne fait plus confiance au corps.

Sylvain Tesson

 

Si vous n’êtes pas vigilants, les médias arriveront à vous faire détester les gens opprimés et aimer ceux qui les oppriment.

Malcolm X

 

Il y a plusieurs façons d'être con, mais le con choisit toujours la pire !

Frédéric Dart

27/08/2017

La théorie de la dégénérescence (2)

Une vidéo en lien avec le sujet du précédent billet ; intéressante mais gâchée par une vision angéliste qui induit une conclusion opposée et bien sûr plus conforme à la mentalité actuelle :

La vie domestique des animaux sauvages d'Anna Fitch

 

24/08/2017

La théorie de la dégénérescence

La théorie de la dégénérescence* de Lorenz inscrit dans la nature biologique de l'homme les problèmes de décadence des civilisations. Cette constatation vient de la comparaison entre les caractéristiques de l'homme civilisé et des animaux domestiqués. En cela, Lorenz remarque que les animaux domestiques se caractérisent souvent par :

  • des problèmes alimentaires et un manque de contrôle des mécanismes de l'appétit pouvant entraîner l'obésité ;

  • des problèmes de régulation de la sexualité et une hypersexualisation ;

  • une régression infantile des individus, les adultes se comportant comme des individus immatures (dépendance parentale et activité ludique).

Selon Lorenz, l'homme civilisé, n'étant plus contraint par l'environnement sauvage, a été forgé par la sélection artificielle produite par la civilisation elle-même. Ainsi, l'espèce humaine s'est auto-domestiquée. Toujours selon Lorenz, sans un système social de valeurs fortes imposées et régulatrices des mœurs, la nature «domestique» de l'homme civilisé prendra le dessus. Nous obtiendrons alors une civilisation d'obèses, hypersexualisés, immatures et passant leur temps à se divertir. [...]

Les Huit péchés capitaux de notre civilisation (1974) ; (orig.: « Die acht Todsünden der zivilisierten Menschheit », 1973)

Source : L'article "Konrad Lorenz" sur Wikipédia

23/08/2017

Saleté

L’Afrique et la saleté, une histoire d’amour ?

 

C’est terrible et choquant à le dire, l’Afrique noire est sale ! De nombreuses capitales africaines se sont érigées en chantre de l’ordure en putréfaction et des odeurs pestilentielles, témoins d’une insalubrité quasi-culturelle. Et la saleté s’épanouit allégrement partout : au cœur des ménages, dans les restaurants, le long des rues, aux abords des lieux de culte, etc. Il est hallucinant de voir comment les Africains vaquent avec insouciance à leurs occupations autour d’une flaque d’eau nauséabonde ou d’un tas de détritus. Certes, on retrouve des localités où les populations, avec ou sans l’État, tentent d’assainir le cadre de vie, mais, fondamentalement, l’insalubrité prédomine.

Il est impossible de mettre de la propreté la où les hommes ne sont pas organisés et disciplinés. Dans des villes comme Conakry, Freetown, Khartoum, Kinshasa, Monrovia,…des habitations spontanées défient les normes les plus élémentaires de salubrité et de sécurité, sous le regard nonchalant des autorités. Dans d’autres comme Abuja, Cotonou, Ouagadougou,…les restaurants spontanés sur la voie publique et la floraison des vélos-taxis vrombissants et polluants entretiennent une pagaille devenue routinière. Dans certains pays, les autorités sont occupées à ériger des monuments pour épater les électeurs plutôt qu’à rétablir l’ordre public dont la salubrité publique est une composante essentielle. C’est ainsi qu’à Dakar, on s’emploie à construire une des plus belles corniches du continent, alors qu’à quelques mètres de là gisent des quartiers comme la Médina, temple des odeurs incommodantes où des eaux insalubres stagnent même en saison sèche, mais aussi Reubeuss, siège d’un chaos souverain.

La malpropreté du cadre de vie est un signal de la conduite des hommes qui y vivent. Au-delà de la défaillance des services de ramassage des ordures, elle est révélatrice de l’indiscipline, de l’incivisme et de la désinvolture des populations. Les gouvernants des pays sales n’ont pas assez de temps pour relever le défi, car eux aussi se sont volontairement embourbés dans une insalubrité politique caractérisée par la rapacité financière, la décapitation des opposants, les tueries puériles pour un morceau de pouvoir, la gestion familiale du pouvoir de l’État.

Cette saleté s’exporte allégrement hors des frontières de l’Afrique. En France par exemple, les Africains ont transformé Barbès et Château Rouge en une pétaudière où la cacophonie et la confusion se prélassent le long des rues commerçantes. En banlieue parisienne, des immeubles horriblement délabrés sont pris d’assaut par des Africains qui dorment comme des sardines dans des pièces exiguës. La pauvreté est assurément un facteur explicatif, mais elle reste irrecevable comme fait justificatif. Si le tapage et la pestilence persistent dans les milieux africains, c’est moins en raison de la pauvreté que du refus de l’ordre. Il est parfaitement possible d’être pauvre et de rester propre et digne.

Si on veut contribuer, sincèrement, au développement de l’Afrique, ce sont ces vérités qu’il faut oser soulever. Il n’y a aucune honte à reconnaître ses tares lorsqu’on se propose de les combattre. La critique est sublime lorsqu’elle est constructive.

Rosnert Ludovic ALISSOUTIN

Consultant international

29 août 2010 mise à jour 27 avril 2016

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Source : Dakar-Info.com