Beauté

Dans le court métrage Beauty l'artiste italien Rino Stefano Tagliafierro anime une centaine de tableaux et nous fait partager une large palette de sensations. C'est assez impressionnant.

Mélissa en Tanzanie

Pour l'émission Rendez-vous en terre inconnue Mélissa Theuriau est allée passer une quinzaine de jours chez les Maasaï. Bien entendu, je m'en contrefiche et je ne regarderai pas l'émission mais c'est dans mon journal gratuit et sur le net alors j'ai jeté un oeil sur les interviews éclairées de notre aventurière qui, rappelons-le, est aussi journaliste.

Sur Métro elle nous explique que l'excision et la polygamie ce n'est pas bien grave tout compte fait parce que ces gens sont bien meilleurs que nous et qu'ils s'aiment beaucoup, ou un truc du genre :

Le pognon c'est pas bien non plus, il vaut mieux cultiver son jardin dans la joie et la bonne humeur, et les Ferrari ça sert à rien :

Sur 20minutes elle confirme, c'est bon d'être fauché et prendre le temps de vivre, sans doute comme les SDF :

 

 

Et que tire-elle comme leçon de ces "Maasaï qui n'avait jamais vu un Occidental" (j'ai un peu de mal a y croire mais puisqu'elle le dit...) ? Qu'il faut entrer en décroissance en étant autosuffisant... ou peut-être que je m'avance un peu, le tri séléctif c'est sans doute déjà pas mal :

 

 

J'en suis maintenant convaincu Djamel est avec elle pour sa conversation et si t'es pas comptant c'est que t'es mauvais.

Les heures les plus bouffonnes (4)

Dans les commentaires de certains de mes billets, on me reproche parfois mon pessimisme. Mais est-ce vraiment du pessimisme que de décrire la situation telle qu'on la perçoit ? Est-il obligatoire d'inventer quelque motif d'espérance pour ne pas déprimer ceux qui nous lisent ? Je reste persuadé du contraire. Ceci dit, je peux me tromper et les lendemains chanteront peut-être à gorges déployées sous un soleil rose bonbon devant mes yeux éberlués. Personnellement, je le répète, j'en doute. Par contre, je crois que nous ne commençons à chercher les moyens de nous évader qu'uniquement après avoir admis que personne ne viendra nous délivrer.

 

J'ai pu lire à propos de la quenelle que personne ne pouvait avaler que c'était un salut nazi déguisé ni que Dieudonné, au vu de ses origines, puisse être un nostalgique du IIIe Reich. Que le procédé avait atteint ses limites et allait se discréditer par ses excès. Perdu ! L'endoctrinement a été si efficace, le rejet réflexe du nazisme si bien implanté que ça marche. C'est énorme, ridicule, inepte mais ça marche. Les Anglo-Saxons appellent ça la chutzpah.

 

J'ai en tête deux exemples de discussions récentes.

1. Une femme se plaignant de son nouveau directeur un peu dictatorial :

- On va se retrouver en camp de concentration si ça continue.

Moi :

- N'exagère pas.

Elle :

- On dit ça, mais faut faire attention, t'as qu'à voir Dieudonné et son salut nazi ! Qui aurait cru que ça reviendrait ?

2. Un professeur d'histoire-géographie :

- J'ai discuté de Dieudonné avec mes élèves. Je leur ai expliqué que l'on ne pouvait pas accepter ça. Quelque chose dont les Français avaient tant souffert, qu'ils avaient combattu.

Musique (337)

VV Brown

Leave !

Neko case

Ragtime

Angelo Branduardi & Franco Battiato

Il sultano di Babilonia e la prostituta

Les heures les plus bouffonnes (3)

Les trois "personnalités" à suivre en 2014, de la plus médiatisée à la plus confidentielle :

Dieudonné, humoriste antiraciste qui a trouvé le salut de son âme en faisant un faux pas et en refusant de s'amender. Il est de gauche, a des amis chez les islamistes, est populaire en banlieue mais il arrive à faire chanter la Marseillaise à des Blacks-Blancs-Beurs face à des groupes d'auto défense juifs venus en découdre. Après tout c'est peut-être ce qu'on peut espérer de mieux pour la France du futur ? Il est aussi l'instigateur du mouvement de la quenelle qui, je le crois et je l'espère, n'est pas encore mort.

Alain Soral, essayiste venu du communisme qui s'est trouvé la fibre patriote. Narcissique au point d'être courageux, il analyse, peut-être de manière un peu trop systématisée, le délitement de notre société capitaliste. Transfuge de l'ultra gauche, il en connaît parfaitement le fonctionnement.

Vincent Reynouard, révisonniste national-socialiste et catholique qui, à longueur de vidéos, dit sans haine ce qu'il a à dire. Ingénieur de formation, il a été exclu du corps enseignant pour ses opinions peu conformes avec la vérité officielle. Faurisson désormais à la retraite, il a repris le flambeau et se sert avec brio de l'outil internet pour diffuser ses idées.

Le point commun entre ses trois hommes est de déplaire très fortement à ceux qui ont la main mise sur le système et d'être menacés d'aller faire un tour en prison dans les mois qui viennent. On constatera que ce ne sont pas les théoriciens à la Alain de Benoist, trop frileux, trop abscons ou trop peu connus, ni les manifestants du Printemps français ou des Bonnets rouges, sans leader ni réelle notoriété, qui épouvantent nos maîtres mais ceux qui ébranlent le système dans ses fondements en se servant avec habileté des outils de communications modernes et encore libres pour contourner les canaux officiels entièrement contrôlés et de nous fournir ainsi de quoi pouvoir réfléchir. Pour voir qui fait réellement peur aux puissants, regardons sur qui ces derniers tapent le plus fort.

Les hussards bariolés du mondialisme

 

12 years a slave de Steve McQueen sort le 22 janvier prochain. Ce film conte la dramatique histoire d'un Noir américain libre qui sera enlevé et réduit en esclavage pendant 12 années. Je ne sous-estime pas le malheur de cet homme et ne présume en rien de la qualité de l'oeuvre mais pourquoi diable un site a-t-il été créé pour l'occasion avec dossier pédagogique à télécharger et proposition d'avant première à la clé pour les enseignants ? Parce que c'est de l'histoire. Oui, mais alors pourquoi trouvons-nous seulement ce genre de site quand il s'agit de Shoah, de racisme ou de sciences bobo comme l'inénarrable Ao ? Parce qu'il correspond au programme scolaire, et c'est tout le problème d'une Éducation nationale consacrée à la valorisation de l'autre et au dénigrement de l'Occidental avec toutes les caricatures et les approximations, tous les amalgames et les mensonges que l'on peut imaginer.

 

Parce qu'elle est belle

Il était une fois en France par Pierre Orégon