14/10/2012
Dans le port de Saïgon
Opium
(Chant militaire)
Dans le port de Saïgon
Il est un jonque chinoise
Mystérieuse et sournoise
Dont nul ne connait le nom.
Et le soir dans l'entrepont,
Quand la nuit se fait complice
Les Européens se glissent
Cherchant des coussins profonds.
Opium, poison de rêve
Fumée qui monte au ciel,
C'est toi qui nous élève
Au paradis artificiel.
Je vois le doux visage
Les yeux de mon aimée.
Parfois j'ai son image
Dans un nuage de fumée.
Et le soir au port falot
Les lanternes qui se voilent
Semblent de petites étoiles
Qui scintillent tour à tour.
Et parfois dans leur extase,
Au gré de la fumée grise,
Le fumeur se représente
Ses plus beaux rêves d'amour.
Puisqu'on dit que le bonheur
N'existe pas sur la terre
Puisse l'aile de nos chimères
Un jour nous porter ailleurs
Au paradis enchanteur
Plein de merveilleux mensonges
Où dans l'ivresse de mes songe
J'ai laissé prendre mon coeur.
20:25 | Lien permanent | Commentaires (10)
12/10/2012
Kyrie eléison
Humiliés, insultés, battus, mutilés, volés, leurs familles et leurs biens menacés, des “profs” tentent désespérément de trouver une explication plus rationnelle à leur malheur. Vieux réflexe marxiste, ils incriminent la société « qui concentre les immigrés dans des ghettos pour ne pas avoir à s’en occuper, laissant à la drogue et aux armes à feu le soin d’anéantir, comme aux États-Unis, les plus excités ». Analyse primaire que contredisent, en France sociale-démocrate, les centaines de milliards lourds dilapidés en expertises, assistantes sociales, grands travaux de réhabilitation et construction de collèges aussi vite saccagés qu’édifiés. Ces jeux du cirque, ce déferlement des barbares dans l’Empire (les “rodéos” en voiture et le modèle afro-américain célébré par Lang et les médias) évoquent irrésistiblement la décadence romaine que la « saine réaction populaire » naguère évoquée par Pie XII suffirait à endiguer. Mais les Français n’ont plus la force de réagir. Ils redoutent plus encore d’être traités de racistes que de se faire voler ou tuer. Terrés comme des zombies, ils ne craignent rien tant que d’être arrachés au sommeil hypnotique qui constitue leur ultime défense, dérisoire et mortelle, contre les agressions du monde. A ceux qui croient encore la résistance possible, il ne restera bientôt plus, contre les possédés, que l’exorcisme de la prière. Nicolas Bonnal |
Source : Zentropa
20:24 | Lien permanent | Commentaires (2)
Le jeu des deux images (167)
Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.
07:00 | Lien permanent | Commentaires (9)
10/10/2012
Le jeu des deux images (166)
Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.
22:00 | Lien permanent | Commentaires (10)
Gentil comme un mouton
Entendu à la fin du mandat de Sarkozy : « Il me fait pitié, tout le monde est contre lui. » et après la prestation chaplinesque de Hollande passant en revue les troupes allemandes : « T'es vache de te moquer, ça doit pas être facile quand on fait ça pour la première fois. » Il n'y a pas à dire les Français sont sympas, trop. C'est quoi l'expression au fait ? Ah oui ! « Trop bon trop... » Est-ce que Sarkozy avait pitié des "petits blancs" obligés de rester dans un quartier ethniquement différent parce que trop pauvres pour déménager, des familles de chômeurs engendrés par l'UE et la mondialisation, des victimes du racisme anti-blancs dont les agresseurs se trouvent toujours en liberté malgré les preuves ? Est-ce qu'il avait pitié d'eux quand il se dorait la pilule sur le yacht de son pote avec sa Rolex et sa bimbo botoxée. Et Hollande ne vaut pas mieux avec sa fiscalité qui pressure les classes moyennes au profit des sans-papiers et des grands capitaux. Je vous avoue que je pourrais voir les neuf dixièmes de la classe politique agoniser devant moi que je ne lèverais pas le petit doigt pour les aider. Si je suis de bonne humeur.
20:18 | Lien permanent | Commentaires (3)
Dans le mur
Avant il y avait plusieurs routes, elles n'étaient pas toutes bonnes mais au moins on avait le choix. Mais ça c'était avant. Aujourd'hui, il n'y en a plus qu'une, à deux voies, en légère pente, et comme nous sommes dans un pays libre on peut y rouler tantôt à gauche tantôt à droite comme bon nous semble. Ah ! j'oubliais : les demi-tours y sont interdits.
18:52 | Lien permanent | Commentaires (2)
09/10/2012
BANG ! (2)
J'ai mon guide pour la préparation à l'examen du permis de chasser (théorie) et le DVD (pratique) qui va avec, commandés pour 25 €. Il ne reste plus qu'à potasser tout ça. En attendant de les recevoir, j'ai fait une vingtaine de tests en ligne. Il faut avoir plus de 15 bonnes réponses sur 21 et ne donner aucune réponse fausse aux questions éliminatoires. Mes scores variaient entre 15 et 18, j'ai espoir.
20:39 | Lien permanent | Commentaires (9)