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26/07/2012

Urbs

 

Dans la série Out of Egypt, réalisée par Chaz Gray et présentée par Kara Cooney, l'épisode Sins of the city nous relate les débuts de l'urbanisation humaine. Documentaire instructif malgré la vision boboïsante sinon écolo-marxiste du traitement. La vie sédentaire serait donc infiniment plus malsaine (inégalités sociales, maladies, exploitation, guerres, stress...) que celles des nomades et les villes seraient toutes condamnées à disparaître. Certes la cité a exacerbé les différences de statut entre les puissants et ce qui ne l'étaient pas, cependant si les plus pauvres sont restés à l'ombre des murailles ce n'est pas parce qu'ils avaient oublié les techniques de chasse et de cueillette (les urbains de l'époque étaient beaucoup plus proches de la nature que ceux d'aujourd'hui) mais parce que le système malgré ses défauts et ses excès les protégeait des voleurs, des pillards et des ennemies. Les conditions d'hygiène devaient bien sûr être plus que perfectibles mais les famines et les accidents dû au mode de vie nomade ne valaient guère mieux que les maladie inhérentes à la promiscuité des villes. Les guerres ne sont pas nées avec la sédentarisation comme le sous-entend le documentaire, les peintures rupestres, les guerres des Indiens des Plaines ou les conquêtes mongoles, par exemple, nous prouvent le contraire. Enfin le stress des travaux répétitifs ne m'apparaissent pas pires que celui engendré par la peur de ne pas arriver à nourrir les siens à cause d'un hiver plus long que d'habitude ou d'une raréfaction même passagère du gibier. Surtout n'oublions pas que la technologie qui permet de faire ce genre de documentaire avec les nombreuses balades de l'équipe technique à travers le monde est issue de la ville, de même que la philosophie, la sophistication des arts, les loisirs etc. La cité est ce qui sépare une culture d'une civilisation.

24/07/2012

N.O.M.

Les organisations du pouvoir planétaire :

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Pour plus d'informations sur son fonctionnement supposé voir le site Syti.net où le plausible côtoie le grotesque. Par exemple, sur le magnifique organigramme reproduit plus haut on trouve les réseaux nazis mais pas le CRIF ou le B'nai B'rith, cherchez l'erreur.

Vases communicants

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Source  : ?

23/07/2012

Désarmement

 

Un enfant de 3 ans a pris un pistolet automatique, pensant que c’était un jouet et a tiré sur son père, qui est mort sur le coup. Un drame qui relance le débat autour de la détention d'armes aux États-Unis.

Source : Quelque part sur le Net

Ok, c'est dramatique, mais quand un homme politique s'en met plein les poches, parle-t-on de supprimer la démocratie ? Quand un étranger tue quelqu'un, débattons-nous du bien fondé de l'immigration ? Quand un ivrogne percute un piéton en voiture, réfléchissons-nous aux conditions de possession d'un véhicule ou de la libre circulation de l'alcool ? Non ou un peu pour la forme.

Par ailleurs, renseignements pris, on apprend que dans le triste fait divers cité plus haut l'arme était chargée avec le cran de sûreté ôté et laissé sans surveillance sur la table de chevet. Il s'agit simplement d'un drame du à l'irresponsabilité des adultes.

20/07/2012

Miracle de l'évolution

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Source : ?

Récréation (55)

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Source : reçu par e-mail

19/07/2012

Affreux braillements fascistes aux paroles insoutenables à écouter à vos risques et périls

 

Massimo Morsello

Canti assassini

 

CHANTS ASSASSINS

 

Nous entrâmes dans la vie par la mauvaise porte
A une époque lâche, avec le visage en sueur,
Nous nous entendîmes appeler, toujours plus fort,
Nous nous sentîmes mourir mais ce n'était pas la mort
Et la vie en riant nous pris par la main,
Ôta nos chaînes et nous porta au loin,
Mais en entendant parler de femmes et de vin,
D'un amour corrompu qui tuait un enfant
Et de vieux marchands et d'acomptes payés
Et d'usines nouvelles et d'oreilles affamées

Et nous priâmes la vie de ne pas nous faire mourir
Avant d'avoir un coucher de soleil dont on puisse se souvenir
Et le coucher de soleil était déjà là, il faisait nuit depuis un bon moment
Et le soleil en se levant nous refusa le mépris
Mais en entendant parler d'une femme au miroir
D'un garçon de 20 ans qui mourait comme un vieux
Et d'un vieux souvenir remontant à 20 ans,
Et d'occasions manquées et de trains loupés
Nous découvrîmes l'amour, nous découvrîmes la rue,
En défendant l'honneur avec le sourire et l'épée

Et nous oubliâmes la maison et comme il y faisait chaud
Pour la chaleur plus froide d'une froide prison
Et nous tuâmes l'ennui en ennuyant la mort
Et nous vainquîmes seulement en chantant plus fort
Et à présent nous sommes loin, nous sommes tous proches
Et nous lançons vers le ciel nos chants assassins
Et à présent nous sommes loin, nous sommes tous proches
Et nous lançons vers le ciel nos chants enfantins.

 

Source de la traduction : Le Coq gaulois