13/06/2025
Pépiements (371)
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Commentaires
@Pharamond : Pour compléter cet utile rappel, un équivalent humain des tailles et distances :
http://hist.science.free.fr/storie/OGGI/Distances.htm
Écrit par : br | 13/06/2025
br > Merci, pour cette échelle qui donne une idée des distances intersidérales et conséquemment de notre insignifiance.
PS : Elle doit dater un peu car Pluton y figure, d'ailleurs comme une crotte de mouche ;-)
Écrit par : Pharamond | 13/06/2025
@Pharamond : Si Jean Meuus estime que Pluton reste une planète, tant pis pour l'Union astronomique internationale ! ;-)
(Vrai que l'auteur aurait pu trouver un autre équivalent : le cerveau d'une ministricule de foutriquet 2.0, par exemple.)
Ton rappel de notre insignifiance me rappelle la conclusion d'une courte nouvelle de S.F. lisible ici :
http://literary.erictmarin.com/archives/Issue%206/upstart.htm
Écrit par : br | 13/06/2025
br > Ce genre de nouvelle parle-t-il encore à quelqu'un aujourd'hui ? En tout cas, j'ai bien aimé.
Écrit par : Pharamond | 13/06/2025
@Pharamond : Merci. C'est une chance d'avoir trouvé en ligne le texte, jadis découvert dans une anthologie de "short short stories" de S.F. ; je m'attendais à être obligé de résumer, ce qui aurait été dommage.
Écrit par : br | 13/06/2025
br > J'avoue ne pas aimer les textes un peu longs sur un écran.
Écrit par : Pharamond | 13/06/2025
@Pharamond : Dans les années 80 déjà, on avait noté la difficulté à lire et retenir les textes lus sur un écran. De nombreux universitaires ricains admettent qu'ils sont aujourd'hui incapables de se concentrer assez pour lire un vrai livre, surtout un peu difficile.
Me semble que c'est le sujet d'une récente vidéo de "momotchi" -- j'ai vu la référence.
Écrit par : br | 13/06/2025
Qu’une personne aussi importante, nécessaire, egocentrée, que moi, puisse exister au centre d’un univers aussi vaste me remplit d’admiration.
Écrit par : Brindamour | 14/06/2025
À l’échelle du monde, que dis-je, de l’univers, notre présence est un point presque oublié dans la marge du réel. Nous existons comme des fourmis sur une sphère perdue, balayée de lumière et d’ombre, incapables de saisir l’ampleur de ce qui nous dépasse.
Ce paradoxe – être à la fois insignifiant et porteur d’une conscience capable de contempler l’infini – est fascinant. Il me semble que cette tension entre notre petitesse et notre capacité à rêver l’univers, c'est ce qui rend l’expérience humaine si unique.
Écrit par : Amal Djebbar | 15/06/2025
@Pharamond
devriez nous mettre quelques vidéos de bombardements iraniens. Je vous jure ça détend. ça n'ira pas bien loin okay mais ça détend.
Écrit par : Dia | 15/06/2025
br > Je n'ai pas vu la vidéo de momotchi.
Brindamour > Vous avez bien de la chance.
Amal Djebbar > Exactement.
Dia > Je vois ce que vous voulez dire, mais je risque de finir au commissariat pour apologie de terrorisme, antisémitisme, discours haineux et autres déviances pénalement condamnables.
Écrit par : Pharamond | 15/06/2025
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