31/12/2015
2016
Meilleurs vœux à ce qui reste de notre pauvre nation !
Meilleurs vœux à "notre camp" !
Meilleurs vœux à celles et ceux qui passent (sans animosité) par ici ainsi qu'à leurs proches !
The Nebelwerfer in action
23:38 | Lien permanent | Commentaires (18)
Et m..., je crois je deviens dubitatif !
"Je suis Charlie"? Et Wolfgang Fröhlich, en prison depuis 10 ans pour délit d'opinion...
15:44 | Lien permanent | Commentaires (6)
Histoire... (131)
« Le 5 août 1936, Jesse Owens, un jeune athlète noir, était sacré champion olympique du 200m à Berlin devant un parterre de nazis et leur chef suprême, Adolf Hitler. Lors de ces Jeux, il obtint 4 médailles d’or (100m, longueur, 200m, 4x100m), devenant un mythe et un exemple pour le monde entier. »
Le film Race de Stephen Hopkins qui sortira prochainement nous raconte donc les exploits sportifs de Jesse Owens. Je me demande quel traitement sera réservé à la vérité historique, la bande-annonce ne me disant rien qui vaille. Si la réalisation insiste sur la ségrégation aux USA, elle se devra d'utiliser les grosses ficelles pour le IIIe Reich afin de faire tout de même la différence en faveur de la démocratie.
Un extrait de l'article consacré à l'athlète sur Wikipédia, qui n'est pourtant pas contrôlé par les sbires du Dr Goebbels, loin s'en faut, nous rappelle que les années 30 n'étaient pas vraiment ce qu'on croit généralement :
« Une des légendes qui entourent la participation d'Owens aux Jeux raconte qu'Hitler, furieux de voir un Noir triompher, aurait refusé de lui serrer la main.
En fait, le 2 août, Hitler reçoit dans sa loge des athlètes allemands vainqueurs des épreuves du jour pour les féliciter, puis il quitte le stade avant que l'Afro-Américain Cornelius Johnson, qui a remporté le concours du saut en hauteur, ne reçoive sa médaille. Les officiels font alors savoir au chancelier allemand qu'il doit, soit féliciter tous les vainqueurs, soit n'en féliciter aucun. Hitler choisit de ne plus en féliciter aucun et rien n'indique que cette décision ait pu viser Owens en particulier.
Owens, pour sa part, affirma dans ses mémoires qu'Hitler ne l'avait pas snobé et lui avait fait un signe de la main lorsqu'il était passé devant sa loge : « Quand je suis passé devant le chancelier, il s’est levé, a agité la main vers moi, et je lui ai fait un signe en retour. Je pense que les journalistes ont fait preuve de mauvais goût en critiquant l’homme du moment en Allemagne » (« When I passed the Chancellor he arose, waved his hand at me, and I waved back at him. I think the writers showed bad taste in criticising the man of the hour in Germany. »). Et Jesse Owens ajoute à ce propos : « Hitler ne m'a pas snobé, c'est Roosevelt qui m'a snobé », ajoutant également « Après ces histoires d'Hitler qui m'aurait snobé, à mon retour aux États-Unis, je ne pouvais pas m'asseoir à l'avant des autobus, je devais m'asseoir à l'arrière, je ne pouvais pas vivre là où je le voulais », pointant du doigt la ségrégation raciale aux États-Unis de l'époque.
En 2009, le journaliste sportif allemand Siegfried Mischner affirme que Jesse Owens avait en sa possession une photo de lui-même serrant la main à Adolf Hitler, et dit par ailleurs avoir assisté en personne à la poignée de main, mais que la presse avait alors décidé de ne pas publier la photo pour ne pas donner une image positive du dirigeant du Troisième Reich. »
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30/12/2015
Go East, old man!
Hier, je jette un coup d’œil aux infos du jour et un titre attire mon attention « Jacques Attali : les prédictions (catastrophiques) pour 2016. » Je regarde, histoire de me préparer, et que vois-je insérée dans l'article ? Une image du Generalfeldmarshall von Rundstedt avec Barbarossa inscrit dessous. Bigre ! Alors comme ça les Boches ou plutôt les fachos (à part la bande à Merkel c'est un peu la même chose) remettent ça ! Je savais le gourou socialiste successeur version mondialiste de Paco Rabanne prolixe en divinations tous azimuts ; mais là, quand même ! Je parcoure rapidement l'article pour découvrir par quel immonde procédé occulte le côté obscur que l’insouciance générale sous-estime toujours trop était parvenu à faire revenir le vieux stratège prussien d'entre les morts (la lance de Longinus, le Nécronomicon, un concert de Heavy metal scandinave...), s'il y avait des précisions sur ses capacité intellectuelles (plus de 60 ans sous terre ça doit laisser des traces), de la raison de ce choix plutôt qu'un autre, de l'explication d'avoir pris Moscou comme objectif... Mais rien. L'omniscient Jacques ne nous révèle que des banalités pour qui sait lire l'actualité : guerres généralisées, maladies, catastrophes naturelles, affaiblissement de l'Europe etc. Mince ! Je reviens à la première page et là plus d'invasion de la Sainte Russie mais une info sur le prochain marathon de Jérusalem. Y aurait-il un rapport ? Aurais-je tout simplement halluciné ? En y regardant mieux je constate qu'il ne s'agit en fait que de pubs incrustées censées cibler mes centres d’intérêt (?). Comment ai-je pu me laisser berner de la sorte ? Mon enthousiasme naïf et primesautier me perdra.
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Des armes et hommes
00:03 | Lien permanent | Commentaires (13)
29/12/2015
Il me semble (62)
Concevant la fugacité et la vacuité de l'existence certains s'efforceront d'être humbles et sobres, mais pour précisément la même raison d'autres se voudront fastueux et intempérants.
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28/12/2015
Histoire... (130)
Hellstorm, le documentaire de Kyle Hunt sur le calvaire de l'Allemagne pendant et après la Seconde guerre souffre de quelques défauts : il pêche par son excès d'enthousiasme dans la dénonciation, les images ne semblent pas toujours coller à la narration et celles qui sont issus de film de fiction ne sont pas clairement indiquées. Il n'en constitue pas moins une œuvre courageuse et à voir en attendant la traduction du livre éponyme de Thomas Goodrich dont il est tiré.
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