Majesté

 

 

Simon Combes

Facing the wind

Ricard

Matthieu Ricard est le fils de Jean-François Revel et accessoirement moine bouddhiste et porte parole du Dalaï Lama en France. Le moins qu'on puisse dire c'est qu'il ferait mieux de retourner dans ses montagnes enneigées pour agiter son moulin à prière au lieu de s'occuper de géopolitique et de proférer des niaiseries.

Trois petits points

Si on s'informe par les canaux habituels, les francs-maçons seraient d'aimables philosophes oeuvrant pour la paix dans le monde, évidement respectueux des lois de la République, et, à l'heure de l'individualisme triomphant, leur nombre diminuerait comme celui de la plupart des organisations. La journaliste Sophie Coignard qui a publié Un Etat dans l'Etat sur le pouvoir maçonnique n'en est pas convaincue.

J'oubliais : les frères ayant été persécutés par les nazis ils y ont gagné un sauf conduit contre toute critique qui conduirait immanquablement leur adversaire à être assimilé à la bête immonde.

 

Survivants

publilcde :

The Road est un film d'anticipation tiré d'un best-seller pas franchement guilleret : un père et son fils essaient de survivre dans un monde en ruine.

Le tour de France du patrimoine (choix absolument arbitraire) : Ain

Les associations de valorisation du patrimoine

 

Voie

 

 

Teresa Lapayese Puebla

Calle nocturna

Palmipèdes

Personnellement je me contrefiche du Festival de Cannes, mais ses Palmes d'or sont des bons indicateurs de la déliquescence d'un certain microcosme supposé éclairé. Cette année, j'aurais bien vu les GI scalpeurs de nazis de Tarentino* rafler la mise, après la mauvaise foi et les mensonges anti Bush de Michael Moore** et l'hymne au métissage et les approximations de Laurent Canet***, je me suis dit que ça faisait bien depuis 2002 et Le Pianiste**** que l'on avait pas eu du nazi en plat de résistance, c'est-à-dire une éternité. Eh bien j'ai perdu, c'est Le Ruban blanc***** qui a eu la Palme. De quoi ça peut bien parler ? D'un village du début du XXme siècle où, malgré les apparences bourgeoises et policées (ou à cause d'elles), tout n'est que frustration et cruautés. L'histoire se déroule en Autriche à la veille de la Première guerre et on devine peu à peu que cette société répressive porte en elle les germes de... Vous ne devinez pas ? Faîtes un effort, zut ! Je dirais seulement que même si les pitreries sanglantes de Tarentino n'ont pas été récompensées, la Vigilance anti nazi fonctionne toujours à plein régime. Nous sommes sauvés.

 

* Inglorious bastards de Quentin Tarentino

** Fahrenheit 9/11 de Michael Moore

*** Entre les murs de Laurent Canet

**** Le Pianiste de Roman Polanski

***** Le Ruban blanc de Michael Haneke