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01/03/2011

Trésor in love

 

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La dernière affiche publicitaire pour le parfum Trésor in love de Lancôme me plait. Le joli minois d'Elettra Rossellini Wiedmann (fille d'Isabella Rossellini et petite-fille d'Ingrid Bergman) y est évidemment pour beaucoup mais pas seulement, la robe et les gants ont aussi un délicieux charme presque suranné. La première fois que j'ai vu cette image, j'ai immédiatement songé aux films d'Audrey Hepburn des années 50-60. Ça nous change des actrices passées par Photoshop et des mannequins exotiques anorexiques.

Récréation (35)

 

Le bêtisier des forces de l'ordre (1) 

  • À notre arrivée, l'homme faisait le mort dans le but de nous faire croire qu'il n'était plus vivant.

  • Âgé de 92 ans, l'homme avait encore l'air d'un jeune adolescent.

  • Après avoir déjà enfilé deux sens interdits, l'homme s'en est pris à la conductrice.

  • Après identification, le corps fut rendu à sa famille dont personne n'a pu retrouver la trace.

  • Arrêté par les gendarmes, le voleur les a menacés d'appeler la police.

  • Arrêté par nos soins, l'homme fut enfin libre de parler.

  • Aucun dégât n'est à déplorer à l'exception de la seule et unique victime.

  • Aux dires des témoins, si la victime était restée chez elle, l'accident n'aurait pas eu lieu.

  • Aveugle de naissance, la femme n'avait rien vu venir.

  • Ayant perdu les deux bras, le conducteur faisait de grands signes pour attirer l'attention des autres automobilistes.

  • Bien que nous étions 5 à ceinturer l'homme, celui-ci réussit à s'enfuir sans difficulté.

  • Bizarrement, la collision entre les deux véhicules avait bien eu lieu au même endroit, ce qui attira notre attention.

  • C'est à l'intersection des deux routes que le mur a violemment heurté la voiture.

  • C'est alors que le suspect a eu l'audace de s'endormir pendant que nous l'interrogions.

  • C'est en urinant que l'homme se blessa aux yeux.

  • C'est en voulant sortir ses papiers que l'homme se rendit compte qu'il était bien mort.

  • C'est la pluie qui empêcha le brigadier de s'apercevoir qu'il s'était mis à neiger.

  • Cinq des trois suspects ont été relâchés.

  • Comme d'habitude, le chien avait sauté sa maîtresse avant de divaguer.

  • Comme il devait être pris en charge au plus vite par un asile d'aliénés, il a été conduit à la gendarmerie.

  • Contrairement à ce qu'il prétend, nous n'avons jamais abusé de violences sur l'homme, puisque quelques claques n'ont jamais été des violences chez un délinquant.

  • Dans ce conflit, le rôle des forces de l'ordure a été déterminant.

  • De deux choses l'une, c'était soit notre version, soit la sienne, mais c'était la nôtre bien sûr.

  • Dès l'ouverture du magasin, les portes avaient été solidement verrouillées.

  • Dès que l'homme fut abattu, nous avons pu procéder à son interrogatoire.

  • Du corps de la victime, il ne restait sur les lieux qu'une chaussure de taille 41.

  • Elle avait réussi à prouver qu'elle n'avait pas pu tuer son amant en se tuant juste avant lui.

  • Elle prétendait être encore vierge mais son casier judiciaire disait le contraire puisqu'elle se prostituait.

  • En nous priant d'accepter ses excuses, l'homme nous affirma que ses injures étaient bien l'expression de sa pensée et que l'incident était donc clos.

  • Enfermés 24 heures sur 24 dans le noir total, les animaux ne voyaient pas la vie en rose.

  • Excellent nageur lui-même, l'homme se noya comme les autres.

  • Face à face avec son adversaire, l'homme le prit en traître par derrière.

  • Force est de constater que le concubin de la femme était bien son mari.

  • Hier soir, seuls deux accidents mortels, sans victimes heureusement, étaient signalés.

  • Il avait le tort de n'être pas de nationalité française.

  • Il est à noter que les deux véhicules sont entrés en collision l'un avec l'autre exactement le même jour.

  • Il est probable que la suicidée a été lâchement assassinée.

  • Il était cloué sur son lit d'hôpital par deux coups de couteau au bras.

  • Il habitait en chair et en os à son domicile.

  • Il quitta la gendarmerie avec l'air innocent de quelqu'un qui n'a pas la conscience tranquille.

  • Il rédigea lui-même par écrit son témoignage oral.

  • Il s'était servi du cric de sa voiture pour lui donner gentiment plusieurs coups à la tête.

  • Interrogé par l'inspecteur Nicole F..., l'interpellé a déclaré devant nous qu'il refusait de "parler à une gonzesse idiote", ce que nous avons dû constater.

  • Interrogé par nos soins, l'homme a alors menacé de nous répondre si on continuait à l'interroger.

  • Jusqu'au bout, l'homme répondit aimablement à toutes les questions par un grand silence.

  • L'accident qui avait provoqué sa mort était bien un accident mortel.

 

27/02/2011

Le tour de France du patrimoine (choix absolument arbitraire) : Crosville-sur-Douve (50)

Le Château

25/02/2011

La plage

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Aldo Balding

Breeze

L'étincelle

Le Proche et le Moyen-orient sont en rébellion, l'Égypte autorise le passage de navires de guerre iraniens dans le Canal de Suez, Israël se prépare au pire, la Libye est en état de quasi guerre civile, des vagues de réfugiés commencent à arriver sur les côtes européennes, l'UE (comme d'habitude) ne sait pas trop quelle attitude adopter... qui sait quand tout cela finira ? et comment ? Imaginons que ces événements nous entraînent jusqu'à une 3me guerre mondiale (supposition absurde, je sais) l'Histoire retiendra que tout a commencé le 17 décembre 2010 par l'immolation d'un jeune Tunisien, Mohammed Bouazizi, à qui on refusait le droit de vendre des fruits et légumes pour nourrir sa famille.

24/02/2011

Faut-il brûler les journalistes ? (3)

La critique cinéma qui suit vient du site du journal Libération, elle concerne les films Harry Brown de Daniel Barber (je n'ai pas vu) et Le dernier des Templiers de Dominic Sena (triste navet). Les thèmes, l'autodéfense et la chevalerie au service de Dieu, les faisaient déjà partir perdants pour un journaliste (?) de l'Officiel du politiquement correct, mais qu'est-ce qui peut pousser un individu à écrire dans ce charabia ? La prétention ? la haine ? les écoles de journalisme ? la volonté d'être drôle ? une crise de jeunisme ? la bêtise ? un AVC ? une possession démoniaque ? Mystère. 

Chronique | 19 janvier 2011

Michael Caine & Nicolas cage

Par BAYON  

Michael Caine est royal. Plus que son film de saison Harry Brown, certes ; kenloacherie socio-thriller où l’antijeunisme primaire remplacerait l’anticapitalisme rouge, apparentable en insanité paranoïaque au récent Que justice soit faite. «Justice sur la ticy», en quelque sorte.

Caine y joue terriblement la vieillesse, qui est la sienne mais pas tout à fait tant. Lenteur essoufflée, vie blafarde, cafard vermeil, vacuité de fin des choses… Mais dès qu’on sait que le type fut marine naguère, on voit de quoi il retourne…

Total : d’une part, le corps de Caine, des yeux vitreux à l’anglais dans le texte, en passant par le smart, jusqu’au gore ; d’autre part, le sordidisme zonard en descente de Last Exit du cru, avec effets spéciaux émeutes de quartiers à capuches.

Le reste, en écrin d’idéologie sale, de laideur complaisante, fâcheusement («fachosement» ?) gênant.

Avec Nicolas Cage, autre tête d’affiche du jour, cette séquence «Bobines» devrait se rebaptiser : Boules - à zéro. D’un nanar à l’autre, en effet, le sens et l’attrait du neveu Coppola, depuis Sailor et Lula en fait, tiennent à un fil, de ses états pileux.

Comme Samuel Jackson, Elton John, Berlusconi, Dick Rivers ou Jude Law et 98% d’entre nous les gars, Cage vit mal le cap du déplumage viril, qui le défrise et qu’il maquille du coup à tort et à travers, jamais en retard d’un postiche.

Ici, dans la farce hirsute le Dernier des Templiers, sa perruque flottante aux allures de dernière des iroquoises inversée, pendouillant sur ses traits non moins flapis de McCartney ayant trop repris de pilpil au tofu, est un bonheur assez mystique. Grands dieux.

Ne ressemblant strictement à rien, le toupet monastique qui l’auréole résume Cage en soi, perdant la tête depuis qu’il a perdu l’unique Patricia Arquette pour l’anonyme Lisa-Marie Presley (ex Michael Jackson…) et le film décoiffant afférent.

Fausse saga de grands espaces teutoniques, c’est un sous-road-movie statique en charrue de pérégrination visiblement démarquée de… Maupassant (telle la Chevauchée fantastique de ressortie), à huis clos cahoté commode, où les loups médiévaux du Miracle, entre autres garous de prétoire, jouent le rôle des Cosaques, et le Malin travesti celui de Boule de suif.

Dans ce grand-guignol d’une crétinerie toute chrétienne (pléonasme), à s’arracher les cheveux entre deux danses gondolées de Saint-Guy poilantes, Nicolas «Ghost Rider» Cage qui n’en est plus là, comme encagoulé de la touffe hippie de Depp dans The Tourist, chevalier errant parmi les bubons pesteux aux airs de mérule, dit : «La sorcière est inconsciente, on lui a administré un sédatif», au XIVe siècle, retour de croisade.

Tout étant bien qui finit bien, Baphomet ne l’emportera pas en Paradis, Armageddon une nouvelle fois déjoué, amen (ma cagoule est pleine). Mais il s’en sera fallu d’un cheveu.

 

22/02/2011

Où en sommes-nous ?

Une synthèse en image du mouvement de contestation dans le monde arabo-musulman :

 

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Source RTL.fr