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17/10/2011

Inspiré de faits réels

La bande annonce du jeu vidéo Brothers in arms ; Furious 4 :

Je me demande si on peut jouer les Allemands.

14/10/2011

Service compris (6)

Dans cet article d'ACRIMED on peut découvrir à travers les propos d'Ivan Levaï sur l'affaire DSK toute la répugnante complicité de certains puissants, une complicité de classe, de clan pour ne pas dire autre chose que les lois françaises m'interdisent. Que cet ignoble individu soit considéré comme un grand nom du journalisme en dit long sur la qualité et l'objectivité des médias français.

13/10/2011

Les âges farouches

 

Je discute avec une collègue des méfaits de l'Union Européenne, elle semble globalement d'accord avec moi. Dans le conversation je lui dis que de toute façon je ne me sens pas responsable ayant toujours été contre, et je l'entends rétorquer, un peu gênée : « Moi, j'ai voter pour Maastricht, faut dire qu'à l'époque tout le monde était pour et on avait vraiment l'impression que si on votait "non" on était des hommes préhistoriques. » À quoi tient la chute de l'Occident...

12/10/2011

Musique (248)

Dev

Monster 

Kodo

Shake 

Maria Carta

Vexilla regis prodeunt

11/10/2011

J'ai la mémoire qui flanche...


La jurisprudence du procès de John Demjanjuk permettrait de rouvrir une centaine de dossiers.

La justice allemande pensait avoir tourné la page des grands procès pour les crimes du IIIe Reich. En réalité, la condamnation sans preuve directe, en mai dernier par un tribunal de Munich, de John Demjanjuk, 91 ans, pourrait entraîner une nouvelle vague de procès contre des participants à l'Holocauste.

Les autorités allemandes ont décidé de rouvrir les dossiers de plusieurs centaines de gardes dans des camps de concentration nazis, classés faute de preuves suffisantes. Le temps est désormais le principal ennemi pour les procureurs, qui cherchent à traduire en justice ces hommes âgés de 80 à 90 ans.

Traiter les dossiers «en un an»

«Nous ne voulons pas perdre de temps. Nous avons déjà rouvert les enquêtes, sans attendre les résultats de la procédure d'appel de Demjanjuk. Nous espérons pouvoir traiter tous les dossiers en un an», affirme Kurt Schrimm, directeur du Centre national d'enquêtes sur les crimes de guerre nazis à Ludwigsburg.

Les enquêteurs ont commencé par se replonger dans les dossiers de gardes dans les camps d'extermination nazis, puis sur ceux de membres des Einsatzgruppen, les escadrons mobiles d'extermination des SS. Grâce au cas de John Demjanjuk, les enquêteurs de Ludwigsburg, qui s'étaient aventurés en terrain inconnu, ont établi un précédent outre-Rhin. Déchu de sa nationalité américaine et expulsé des États-Unis vers l'Allemagne, Demjanjuk a été condamné, en mai, à cinq ans de prison pour complicité de meurtre dans l'extermination de 28 060 Juifs, en 1943, au camp de Sobibor en Pologne durant l'occupation nazie.

Pour la première fois lors d'un tel procès, les procureurs ont obtenu une condamnation sans fournir la preuve de la participation de l'accusé à un crime spécifique. L'accusation avait fondé son argumentation sur le fait que s'il travaillait dans un camp dont l'extermination était le seul but, sa fonction de garde le rendait automatiquement complice des meurtres commis pendant la durée de son séjour à Sobibor. «Aucune culpabilité individuelle, établissant que telle ou telle personne a été tuée tel jour, n'a été prouvée», se félicite Schrimm.

Déjà confondu avec Ivan le Terrible, un sinistre garde du camp de concentration de Treblinka, John Demjanjuk avait été condamné à la peine de mort en Israël en 1988. Avant que ses avocats ne démontrent en appel une confusion sur l'identité et que sa relaxe ne soit prononcée faute de preuves. Le parquet de Munich a ordonné sa remise en liberté, après deux ans de détention, en attendant son procès en appel en raison de son âge et de sa santé fragile. Seule la mort pourrait épargner un nouveau procès à Demjanjuk, d'origine ukrainienne mais apatride depuis qu'il a perdu sa nationalité américaine.

Le Centre Simon Wiesenthal a annoncé son intention de prêter main-forte à la justice allemande. «Dans deux mois, nous allons lancer une nouvelle campagne en vue de faire passer en jugement des criminels de guerre nazis», a indiqué Efraïm Zuroff, directeur du centre Wiesenthal de Jérusalem.

Aloïs Brunner en tête de liste

«Sur les centaines d'enquêtes rouvertes, il se peut qu'une vingtaine débouche sur des procès effectifs», estime Zuroff. Le célèbre chasseur de nazis souligne que «le temps qui passe est le meilleur allié des criminels de guerre nazis» toujours en vie, qui étaient pour la plupart des subalternes âgés d'une vingtaine d'années à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Selon Zuroff, Aloïs Brunner figure encore en première position sur la liste des dix principaux criminels de guerre recherchés par le Centre Simon Wiesenthal. «Probablement mort», il est responsable direct de la déportation de plus de 100 000 Juifs d'Autriche, de Grèce et de France vers les camps de la mort, et a trouvé refuge en Syrie après la guerre. Parmi les principaux responsables des crimes nazis, nombreux sont ceux à avoir échappé à la justice… jusqu'au jugement dernier.

 

Patrick Saint-Paul

Source : Le Figaro le 07/10/2011

10/10/2011

Torche-cul (3)

800px-Flag_of_Bosnia_and_Herzegovina.svg.png225px-Flag_of_Kosovo.svg.png

Les drapeaux de la Bosnie-Herzégovine et du Kosovo ont le mérite d'annoncer la couleur ; design pauvre, aucune référence à l'histoire des peuples, ensemble hideux, mais du bleu et des étoiles. Bref, ces "pays" espèrent faire partie de l'Union Européenne le plus rapidement possible. Ces états gangrenés par la corruption et les mafias, incapables d'être viables à moyen terme n'attentent que de se fondre dans le grand machin bruxellois pour y profiter de ses aides diverses et variées qui seront allégrement détournés pour le profil de quelques uns. Bruxelles qui gagnerait avec eux une fidèle clientèle n'est pas contre, et puis ces petites entités fragmentent les nations, ces vieilleries tant abhorrées et redoutées des petits marquis européïstes.

Le jeu des deux images (125)

 

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.

125 a et b.jpg

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