Commentaires

Il me semble avoir remarqué que les commentaires qui énervent le plus certains membres de la réacosphère n'étaient pas ceux "d'opposants politiques", on leur réservait quelques argumentents bien sentis sinon un mépris ironique, mais ceux émanant d'autres membres de la réacosphère en désaccord avec eux sur tel point précis d'une note. Depuis que je blogue, je me suis fait ainsi appeler par quelques noms d'oiseaux, et assez récemment traité de con et censuré par XP sur Ilys et appris à mon corps défendant que je cassais les couilles à Ivane. J'ignore pourquoi, ne pensant pas être plus sot que la moyenne française ni ne désirant martyriser les organes reproducteurs de quiconque. C'est comme s'ils n'attendaient que des commentaires laudatifs de ceux qu'ils estimes proches de leurs idées et des divergences venant seulement d'en face... Ou peut-être sommes-nous les seuls à être assez proches pour voir le défaut de leur cuirasse et, à défaut d'y glisser une dague, de le leur faire remarquer, blessant ainsi leur orgueil.

Aéronefs (28)

 

L'émission Les déménageurs de l'extrême : Récupération d'avions de combat présente l'extraction périlleuse de milieux hostiles de quatre appareils de la Seconde guerre mondiale :

Récupération D'avions De Combat (1/3) par Fabinou92
Récupération D'avions De Combat (2/3) par Fabinou92
Récupération D'avions De Combat (3/3) par Fabinou92

Le jeu des deux images (155)

 

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.

 

Musique (264)

Slow Dancing Society

February sun 

Diana Vickers

Cold kiss

City of satellites

Machine is my animal

Répondeur école

Répondeur Ecole par stephtigrou

Le jeu des deux images (154)

 

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.

 

Faut-il brûler les journalistes ? (6)

DOSSIERS DE LA RÉDACTION

 

Le FN et la violence : les liaisons dangereuses

Le 29/02/2012 - Rita Santourian

Depuis qu'elle a pris la tête du parti, Marine Le Pen essaie de changer la sulfureuse réputation du Front National. Mais la récente agression de la journaliste Audrey Pulvar et de son compagnon Arnaud Montebourg, deux personnages publics qui plus est, pourrait faire ressurgir les fantômes du passé (violent) du parti. Planet.fr vous propose un petit flashback.

Dans la nuit du mardi 28 au mercredi 29 février, la journaliste Audrey Pulvar et son compagnon, l'ex-candidat à la primaire socialiste Arnaud Montebourg, ont été agressés par un groupe d'une quinzaine de personnes.

La journaliste raconte sur Twitter : "Angle du boulevard Murat et de la rue Molitor, rentrant à pied avec mon compagnon, nous avons été pris à partie par une quinzaine d'individus. Aux cris de La France aux Français et autres "Le Pen président." Parmi les chants scandés sur notre passage: "Jean-Marie nous a donné la permission de minuit pour chasser les youpins de Paris", ou encore "Juden, Juden, Juden !". 

Le couple a également affirmé avoir subi des attaques au jet de verres qui se sont brisés dans leur dos.  

1997 : Jean-marie Le Pen agresse une élue socialiste

Même si Marine Le Pen condamne cette agression, ce n'est pas la première fois que le FN se retrouve mêlé à ses affaires de violences ou d'agressions. Ce fût notamment le cas lorsque le président du FN était encore Jean-Marie Le Pen. 

En 1997, le président du FN s'était rendu à Mantes-la-Jolie pour soutenir sa fille, encore appelée Marie-Caroline, alors candidate dans la 8e circonscription des Yvelines. Accueilli par les huées des contre-manifestants, Jean-Marie Le Pen perd son sang froid, agrippe une élue socialiste et tente de lui arracher son écharpe tricolore en hurlant "On en a marre de vous !"

Cet acte lui vaudra sa place de député européen.

1995 : des sympathisants du FN jettent un marocain dans la Seine

En 1995, les sympathisants du FN ont également fait parler d'eux dans une funeste affaire. Le 1er mai, lors de la manifestation annuelle du FN en l'honneur de Jeanne d'Arc, des militants s'en prennent à un jeune marocain qu'il jettent dans le Seine depuis le pont du Carrousel, à Paris. 

Brahim Bouarram, alors âgé de 29 ans, ne sait pas nager et se noie. 

Source : Planet.fr

 

Là, c'est du sérieux, c'est dans "les dossiers de la rédaction". Bon, sur le site du journal on a même droit à une vidéo qui ne prouve rien et surtout pas ce que les commentaires s'efforcent de nous faire avaler, si ça vous dit il n'y a qu'à cliquer sur le lien. On y voit Jean-Marie Le Pen, bousculé dès son arrivé par des "antifascistes", s'en prendre à la député-maire socialiste Annette Peulvast-Bergeal (la photo qui illustre l'article de Wikipedia vaut son pesant de roses fanées) dont le parti est à son avis le responsable direct de cette échauffourée avec sa propagande anti-FN continuelle et ses quasi appels au meurtre. Bref, dans la bousculade, la pauvre élue se trouve acculée contre un mur et voit fondre sur elle les-heures-les-plus-sombres etc. Le leader du FN y perdra son mandat de député européen car sa victime a eu très peur et aurait été griffée, bête immonde oblige, dans l'altercation. On a connu les juges moins bégueules pour des agressions bien réelles.

On a aussi droit au jeune marocain jeté dans la Seine par des sympathisants du FN. En fait des nazillons du dimanche qui se tenaient à l'écart du défilé.

Quant aux deux pitres agressés à la sortie d'un restaurant, l'enquête n'est qu'à son début mais le FN est déjà coupable pour les journalistes. Curieux raccourci quand on sait que le premier criminel venu est présumé innocent jusqu'à la clôture de son procès même si on l'a trouvé couvert de sang avec un couteau à la main à côté d'un corps éviscéré. On est pas obligé d'aimer le FN ni ses membres mais comment peut-on accepter une telle malhonnêteté dans un état dit de droit ?