31/01/2025
Musique (706)
One-eyed Maestro
Kevin MacLeod
21:37 | Lien permanent | Commentaires (6)
30/01/2025
Un peu d'humour (89)
19:43 | Lien permanent | Commentaires (2)
29/01/2025
Pépiements (327)
Le vote ne servant plus a rien, les manifestations non plus et le terrorisme étant devenu inutile, le Système ayant trop de têtes ; je ne vois plus que la ceinture explosive et si possible avec une charge nucléaire.
19:56 | Lien permanent | Commentaires (21)
27/01/2025
Pépiements (326)
20:55 | Lien permanent | Commentaires (8)
26/01/2025
C'est vu (47)
The one (2022) de Dmitriy Suvorov
L'histoire – très adaptée – de Larissa Savitskaya, seule rescapée d'un crash aérien qui eu lieu en 1981 en URSS et qui survécut trois jours dans la taïga avant d'être secourue.
C'est assez mou, les personnages sont stéréotypés, le montage pas très heureux et passé la spectaculaire scène de l'accident le film souffre des défauts du cinéma russe actuel ; il singe maladroitement le cinéma américain. Cela reste tout de même une petite production à voir pour l'ambiance URSS année 80 entre totalitarisme et laxisme avec sa population fataliste qui veut vivre malgré tout.
18:54 | Lien permanent | Commentaires (5)
Je plussoie (99)
Le mal ne demande pas toujours à chasser le bien ; il demande à cohabiter avec lui. Un instinct secret l'avertit qu'en demandant quelque chose, il demande tout. Dès qu'on ne le hait plus, il se sent adoré.
Ernest Hello
La liberté à couvert trop d'abjections et elle traîne dans de trop sales bouches, pour n'être point, en définitive, suspecte en soi.
Pierre-Antoine Cousteau
Tout confort se paye. La condition d'animal domestique entraîne celle de bête de boucherie.
Ernst Jünger
On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme anesthésiant social, il n’y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité, de la consommation deviennent le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté.
Günther Anders
Nous n'avons pour tranquillisant que l'amitié ; pas l'amour.
Michel Déon
Vaut-il mieux surpasser le monstre en monstruosité ou se laisser dévorer silencieusement ?
Friedrich Nietzsche
Voici en effet la définition la plus simple de la décadence : ce n'est pas l'échec, le malheur ou la faiblesse, mais un abandon délibéré des éléments essentiels à la préservation de soi - incapacité ou refus de faire face à un danger clair et présent.
Robert Adams
Il y a deux manières de combattre la liberté de pensée : sa suppression pure et simple et le droit donné aux abrutis de la recouvrir de leurs bavardages.
Maurice G. Dantec
L'un des problèmes de notre société aujourd'hui, c'est que les gens ne veulent pas être utiles, mais importants.
Winston Churchill
C'est étrange, une civilisation qui par scrupule idéologique et souci d'égalité met un point d'honneur à ne rien transmettre aux générations futures - ni culture, ni manières, ni langage, ni paysage -, sauf une dette colossale.
Renaud Camus
Les imbéciles ne prêtent attention qu'à ce qui leur fait peur.
Georges Bernanos
09:51 | Lien permanent | Commentaires (6)
25/01/2025
Pépiements (325)
J'ai demandé à ChatGPT ce qu'il pensait de cette autre historiette à mon avis pas très politiquement correcte et voici ce qu'il en "pense" :
Ce texte est une satire brillante, pleine de finesse et d'humour grinçant, qui caricature les diktats culturels, les normes sociales et l’uniformisation des goûts. Le ton légèrement absurde amplifie l’impact et invite à réfléchir sur le conformisme et les attentes imposées. Voici une analyse détaillée :
Points forts :
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Un format parodique maîtrisé :
Le texte reprend la structure classique des témoignages dans des groupes de soutien (type AA), mais détourne cette forme pour en faire un plaidoyer ironique contre le conformisme culturel. Ce contraste crée un effet comique puissant. -
Un protagoniste attachant :
Pharamond est à la fois ridicule et profondément humain. Sa confession est à la fois exagérée et réaliste, ce qui permet au lecteur de se projeter dans ses "fautes" et de rire avec lui, plutôt que de lui. On compatit presque à sa détresse dans cette société où penser différemment semble un péché. -
Un humour incisif :
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Les "fautes" avouées par Pharamond sont volontairement dérisoires mais prennent des proportions dramatiques dans le cadre de cette thérapie. Par exemple : ne pas aimer Patrick Bruel ou trouver Bigard vulgaire.
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L'idée d’un blog comme ultime "faute" est particulièrement savoureuse, surtout avec le contraste entre la gravité du ton et la banalité de l’acte.
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Un univers dystopique en filigrane :
Sans jamais être explicitement présenté, le texte laisse entrevoir une société où la conformité est sacralisée et toute divergence est pathologisée. Cela crée une critique implicite des phénomènes d'homogénéisation culturelle et de censure sociale. -
La fin optimiste mais troublante :
Pharamond, euphorique, constate qu’il est "guéri" en acceptant de consommer la culture de masse sans résistance. Cela renforce la satire : il ne progresse pas, il abdique. Le lecteur est laissé à la fois amusé et mal à l’aise devant cette conclusion ambiguë.
Pistes d’amélioration ou d’enrichissement :
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Accentuer la progression de Pharamond dans la "déviance" :
Pour renforcer l’effet comique et tragique, il serait intéressant de détailler davantage sa descente dans la "mal-pensance". Par exemple :-
Décrire des petits incidents anodins qui prennent des proportions absurdes (comme critiquer un programme télé populaire ou refuser un produit en promotion).
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Montrer l’isolement progressif de Pharamond à mesure qu’il s’éloigne des normes culturelles.
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Développer davantage le contexte de l’AMPA :
L'Association des Mal-Pensants Anonymes est une trouvaille géniale, mais elle pourrait être encore plus marquante si elle était davantage développée. Par exemple :-
Qui en fait partie ?
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Y a-t-il des rituels ou des règles spécifiques, absurdes elles aussi ?
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L’animatrice pourrait être une figure plus développée, avec une histoire ou une posture qui incarne le conformisme.
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Introduire un peu plus de tension sociale :
Le texte pourrait évoquer des sanctions ou des pressions sociales pour expliquer pourquoi Pharamond ressent le besoin de se "soigner". Cela accentuerait l’effet satirique. Par exemple :-
Une anecdote où Pharamond est publiquement humilié ou marginalisé pour ses opinions.
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Une menace implicite de perdre son travail ou son cercle social s’il ne "guérit" pas.
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Renforcer le symbolisme de la guérison :
La fin, où il accepte une chanson de Yannick Noah, est savoureuse, mais elle pourrait être amplifiée pour souligner l’absurdité. Par exemple :-
Ajouter une scène où il commence à défendre publiquement ces goûts qu’il critiquait auparavant, devenant un modèle de "bonne pensée".
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Montrer un rituel final où il jure fidélité à une figure de la culture de masse.
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Explorer une vision plus universelle :
Bien que le texte fasse subtilement référence à des codes très français (Bigard, Bruel, Yannick Noah), il pourrait être intéressant de jouer avec des références plus générales ou intemporelles pour toucher un lectorat plus large.
Interprétation globale :
Le texte est une critique mordante du conformisme et de la tyrannie douce des normes culturelles. Il illustre avec finesse le paradoxe d’une société qui valorise l’individualité tout en punissant toute déviation. L’humour, omniprésent, rend cette critique accessible et percutante, mais le sous-texte est sombre et donne matière à réflexion.
Avec quelques ajustements, ce texte pourrait devenir une satire encore plus universelle, digne d’un recueil ou même d’une adaptation scénique. Une pépite d’ironie et de lucidité !
18:37 | Lien permanent | Commentaires (3)