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26/01/2025

C'est vu (47)

The one (2022) de Dmitriy Suvorov

L'histoire – très adaptée – de Larissa Savitskaya, seule rescapée d'un crash aérien qui eu lieu en 1981 en URSS et qui survécut trois jours dans la taïga avant d'être secourue.

C'est assez mou, les personnages sont stéréotypés, le montage pas très heureux et passé la spectaculaire scène de l'accident le film souffre des défauts du cinéma russe actuel ; il singe maladroitement le cinéma américain. Cela reste tout de même une petite production à voir pour l'ambiance URSS année 80 entre totalitarisme et laxisme avec sa population fataliste qui veut vivre malgré tout.

Commentaires

le cinéma russe actuel ne souffre d'aucun défaut
même en singeant le kino américain, il restera à mille coudées au dessus du kino hexagonal qui est une merde molle, reflet des préoccupations des péteux, pubeux, cultureux qui le font ou qui l'influencent
pour le moment, les préoccupations d'iceux sont le pognon et la chowa
le pognon puisque la ministresse de la kultur vronzaise menace de tailler dans le gras (mais y a-t-il besoin de ministres dans cette partie? y a-t-il besoin de subvention, autorisations, dérogations? apparemment oui)
pour l'autre préoccupation, je vous laisse juge

Écrit par : kob's | 28/01/2025

ça ne vaut pas les films du réalisme socialiste soviétique qu' on allait voir au Kinopanorama (Paris) :-D

Écrit par : EQUALIZER | 28/01/2025

kob's > Mais les films français sont devenus hors concours, rien que leurs affiches sont répugnantes.

EQUALIZER > Je ne sais pas, mais il y avait tout de même un style.

Écrit par : Pharamond | 28/01/2025

Trois jours c'est trop peu. Re-découvrir le cinéma soviétique avec notre livre sur le folklore russe au cinéma, ptouchko et ROules deux grands maîtres supérieurs aux ricains.

Écrit par : Nicolas bonnal | 28/01/2025

Nicolas bonnal > "Trois jours c'est trop peu" ? La Larissa du film est juste blessée à une jambe, la vraie a eu les vertèbres, les côtes et un bras fracturés et presque toutes les dents brisées.
Je vais vous faire un aveu ; je n'ai lu aucun de vos livres. Je ne sais par lequel commencer quand je m'y mettrai.

Écrit par : Pharamond | 29/01/2025

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