statistiques web gratuite

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

23/01/2019

Jupes courtes et blindages épais

Il faut quand même être japonais pour concevoir des choses de ce genre :

Girls und Panzer der Film de Tsutomu Mizushima 

Dans un monde parallèle des lycées de jeunes filles s'affrontent à l'aide de blindés de la Seconde guerre...

21/01/2019

Vive les mariés ! (2)

Vu cette affiche à Bordeaux :

mariage.jpg

Là il y a récidive, mais que fait Marlène !

20/01/2019

Samedi 19 janvier

Acte X pour les Gilets jaunes et sixième manifestation pour moi.

Rassemblement sous un ciel bleu avec quelques nuages, il fait presque chaud et nous n'aurons droit qu'à une petite averse dans l'après-midi. Je suis heureux de constater que le grand-débat-attrape-gogo n'a pas attrapé grand monde et que nous sommes nombreux (4 000 selon les autorités) a repartir pour un tour. Place de la Bourse je rencontre Philippe Dubois avec qui je discute un moment et que je perds de vue dès le départ du cortège. Devant moi un petit ensemble de percussion rythme agréablement notre marche, ce ne sont pas les hauts tambours des lansquenets, mais c'est mieux que rien. Si quelques personnes arborent un T-shirt de l'usine Ford je n’aperçois Philippe Poutou comme la semaine dernière. Nous arrivons rapidement devant l'Hôtel de Ville transformé en camp retranché comme les fois précédentes où nous ne faisons que passer. Le défilé fait un tour du centre ville survolé par l'habituel hélicoptère de la Gendarmerie et nous nous retrouvons de nouveau place Pey-Berland cette fois pour y rester. A peine arrivé des jeunes vêtus de noir et cagoulés courent dans tous les sens cherchant visiblement une faille dans le dispositif des forces de l'ordre pour en découdre. Je ne reste pas, et quand je quitte les lieux quelques uns ont mis le feu à de grands cartons trouvés là et à quelques poubelles. Une sorte de routine s'est installée dont je me demande bien quelle sera l'issue.

IMG_20190119_141909.jpg

Malgré les déclarations de Marlène Schiappa le gouvernement fasciste italien ne nous a toujours pas livré d'armement lourd

18/01/2019

Les laquais (3)

DU SANG ET DES LARVES

La reconquête de Macron dans les « territoires » passe donc par ces réunions  grotesques où les maires de patelins sinistres sont convaincus d’avoir une quelconque importance. Le premier de ces grands raouts républicains a pris place dans l’Eure où l’on a vu comment le patron a retourné en une journée les « corps intermédiaires » dont il ne voulait pourtant plus entendre parler puisque ceux-ci sont censés représenter les Français.

D’abord, nos édiles endimanchés sont arrivés en car en passant devant leurs électeurs en jaune qui gueulaient au rond-point « Macron Démission ! ». Derrière les vitres du car, ça ricanait jaune, évidemment, parce que, malgré le déploiement de la flicaille et des « services » pour sécuriser une partie de la Haute Normandie, on ne sait jamais…

Les maires, convoqués pour cette mise en scène, s’y prêtent d’autant plus volontiers que ce barnum leur accorde une gravité après laquelle ils courent tout au long de l’année auprès de leurs administrés. Passer une partie de la journée autour du Président, c’est quand même autre chose que le Conseil municipal avec Dédé, Jacqueline et les autres pour voter la déviation de la prochaine rocade autour de la ZUP. Décidément, quand Jupiter descend de son Olympe, c’est-à-dire de Paris, alors les mêmes qui accusaient la veille encore cette centralisation jacobine, se pressent comme un seul homme pour voir à quoi ressemble « en vrai » la vedette.

L’assemblée réunie dans un gymnase local ressemble à la réunion d’une boîte en fin d’année, quand le patron rassemble ses employés pour les flatter et leur dire que, sans eux, « rien n’est possible ». Alors, même les plus réticents au début, fondent et s’accommodent de leurs salaires dérisoires pour applaudir le meilleur employé du mois, le fayot en chef, prié d’engraisser les actionnaires.

Au bout de quelques heures dans cette atmosphère confinée, ça commence à sentir l’écurie. Quelques uns, après l’intérêt passé de voir autant de caméras, de flics armés et de gens « connus », s’assoupissent. Mais pas le Président, désormais en bras de chemise, toujours aussi disert et attentif, qui dit tout son intérêt devant les propos dérisoires de tel ancien syndicaliste ou notable devenu maire par l’opération combinée des Loges et de la connerie humaine.

Ce forum dérisoire, complaisamment filmé et retransmis sur toutes les chaînes, autorise quelques réflexions provisoires : d’une part, Macron n’a pas dit son dernier mot et son intelligence extraordinaire peut allègrement se jouer de l’hostilité quasi générale que son seul nom suscite. Ce type qui a réussi l’exploit de se mettre une large majorité de français à dos en 18 mois, et à provoquer quasiment une crise de Régime, prouve depuis quelques jours, que ces corps intermédiaires dont il n’entendait pas s’embarrasser seront peut-être ses plus sûrs complices pour étouffer la révolte populaire.

D’autre part, les maires, ces pions inutiles, et souvent corrompus, qui gueulent à longueur de journée contre « Paris », ne rêvent que subventions bruxelloises pour le « développement » leurs patelins, tous encombrés de « musées de la poterie », de « rétrospective du métier à tisser » et autre salmigondis cultureux sans le moindre intérêt pour la population locale.

Or, quel meilleur agent de cette France bruxelloise qu’un Macron ?

Toujours est-il qu’au terme de ce « Grand Oral » en Normandie, ces petits potentats, amasseurs de subventions et de dessous de tables, sans avoir une seul fois abordé les sujets qui fâchent, réservaient au boss une standing ovation en l’applaudissant à tout rompre.

Et ce n’est qu’un début…

C. Rol

Source : Zentropa

17/01/2019

Musique (490)

Wezi Mkandawire

Chasing Home

The Steel Elms

This is where we end

SebastiAn

Crescendo (Final) 

16/01/2019

Macron : « Je n'accepterai jamais la violence »

Altermonde-sans-frontières relaie un article du Monde qui s'inquiète enfin des blessés dans les rangs des Gilets jaunes. C'est bien, mais j'essaie d'imaginer les cris d’orfraie des artistes, les éditoriaux enflammés des journaux, les scènes d'hystérie chez les bobos, les pétitions d'intellectuels, les pleurs des témoins, les films des réalisateurs engagés, les reportages aux heures de grande écoute, les ouvrages des grandes consciences, les "#Je suis une victime" sur les réseaux sociaux, les cortèges avec dépôt de bougies etc. si Le Pen au pouvoir avait fait le dixième.

fff.png

L’intérêt de cette infographie est que l'on ne peut pas l'accuser de provenir d'une source partisane.

Remarque : Plus de 80% des blessures provenant principalement de tirs de LDB ont touché la tête - alors que les consignes précisent de viser les membres ou le tronc - qui ne représente qu'environ 7% de la surface du corps humain.

15/01/2019

Faisons bref

Le grand débat très peu pour moi,

Alors au grand débat je n'irai pas.