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15/01/2019

Faisons bref

Le grand débat très peu pour moi,

Alors au grand débat je n'irai pas.

Commentaires

Admirable concision, digne de Tacite, avec un côté guilleret. ;-)

Un certain Pangloss a réussi un billet plus court encore :
https://panglosshuron.wordpress.com/2019/01/14/lettre-et-le-neant/
(l'un des commentaires est... savoureux)

J'irais bien tenter celui-ci :
Titre : Foutriquet 2.0 parle.
Texte : Rien.

Écrit par : Blumroch | 15/01/2019

en même temps, on ne nous a pas vraiment invités hein ?

Écrit par : Dia | 16/01/2019

Eh bien, je suis d'avis que ce "débat" est une très bonne chose:
La plupart de ceux qui vont y aller pour protester vont s'appercevoir qu'on les prend VRAIMENT pour des cons.

Écrit par : realist | 16/01/2019

Moi non plus.

Écrit par : Carine | 16/01/2019

Blumroch > Merci, j'ai essayé de lui donner des airs de mini-comptine.

Pangloss est sur le coup imbattable.

Celui de Gérard ?
"Je n’en peux plus, d’ébats de ce type !"

Pas mal, on va finir en haïku si ça continue ;-)
Tiens, un vite fait :

Du grand salon vide
Du Palais de l'Elysée
Manu est sorti

Dia > Tous les Français sont conviés à aller p... dans les violons.

realist > Si ça restait à prouver...

Carine > Et de deux ;-)

Écrit par : Pharamond | 16/01/2019

Un Comité Théodule ferait l' affaire ? :D

https://www.ina.fr/video/I00012370

Écrit par : EQUALIZER | 16/01/2019

L’Hippolyte me semble plus compétent, non ?

Écrit par : Pharamond | 16/01/2019

@Pharamond : Non, celui d'Orange, "J’aimerais comprendre." La réponse "Patience !" est d'une bienveillance extrême ou forcée. ;-)
Votre haiku est une jolie variante du mot attribué à Churchill contre Clement Attlee, "An empty taxi arrived at 10 Downing Street and Clement Attlee got out of it.". L'indispensable Quote Investigator a mené l'enquête ici :
https://quoteinvestigator.com/2017/04/30/empty-taxi/

Écrit par : Blumroch | 16/01/2019

Il est vrai que je n'avais pas saisi toute la saveur de l'échange ;-)

Les Soviétiques avaient repris la boutade avec je ne sais quel apparatchik, Gromyko je crois. C'est sous cette version que je la connaissais.

Écrit par : Pharamond | 16/01/2019

Une tablée de ténias,
Slalomant entre les vérités

Désolé pour le divulgâchage ;-)

Écrit par : Benway | 16/01/2019

On dit que les natios et roycos se font maintenant systématiquement sortir des cortèges GJ par les antifas.
Entre la gauche du Capital (les antifas et Mélenchon) et les idiots utiles de la droite sioniste (MLP) le système a largement de quoi reprendre la main. Dans une semaine tout ça est fini. la marque Gilet Jaune servira à promouvoir l'accueil des migrants et c'est la gueule de bois pour tout le monde...

Écrit par : Mistersmith | 16/01/2019

Benway > En parlant d’invertébrés :
http://zentropista.tumblr.com/image/182058116029

Mistersmith > Rien de tel à Bordeaux.
Il est sûr que si l'on attend trop du mouvement des Gilets jaunes on ne peut être que déçu : il a tout l'incommensurable poids du Système contre lui et aucun allié d'envergure. J'y vais tout de même, sans illusion, en espérant la l'hypothétique démission de Macron ou l'imprévu. De toute façon je ne peux pas tenir un blog dans le genre du mien sans bouger quand justement ça bouge dans notre sens, même à une petite échelle.

Écrit par : Pharamond | 16/01/2019

@ Mistersmith et Pharamond
je confirme que les antifas agressent systématiquement les natios
Cela s'est passé le 05 janvier près de l'hôpital Saint André (je n'ai pas vu l'altercation mais je connais très bien quelques protagonistes et les vidéos ont circulé
Egalement le 12 Place de la Comédie vers 17H - 17H30 au bas des allées de Tourny
J'allais repérer où étaient planqués les keufs, quand j'ai vu un déclenchement de bagarre, j'ai voulu séparer les gens : c'est en arrivant que j'ai reconnu Loïc, notre dessinateur et un ou deux gus.
Il y avait même un abbé en soutane et Gilet Jaune
J'ai donc essayé de faire rempart de mon corps, pour leur permettre de se dégager (toujours à 5 ou 6 contre 40 gauchos hurleurs)
Puis j'ai fourni mouchoirs propres et sérum phy

Écrit par : Philippe Dubois | 16/01/2019

*Valeurs* ("actuelles" ayant presque disparu, c'est le titre d'un magazine pour investisseurs) nous livre le récit d'un certain Jean-Luc Moudenc qui ferait office, apparemment, de maire de Toulouse. En *infiltration* sous couverture (enfin, sous tenue de motard) pendant *dix* longues minutes dans un cortège de méchants Gilets jaunes, il a tout "vu de ses yeux vu", savoir la franche concorde entre "antifas" et "roycos & natios" : "J'ai été frappé par le mano a mano entre extrémistes de gauche et de droite, unis pour lancer des projectiles contre les forces de l'ordre. Jamais je n'avais vu ça ! La phrase ‘les extrêmes se rejoignent’ a pris tout son sens sous mes yeux.».
Comment ne pas *croire* un ami de l'intègre Estrosi et du vertueux Flippe (l'orthographe a été rectifiée) ?

http://www.valeursactuelles.com/politique/gilets-jaunes-le-maire-de-toulouse-sinfiltre-parmi-les-casseurs-102920

On notera la conclusion de Va, toute de sollicitude pour notre héros, qui mériterait bien une médaille offerte par Foutriquet 2.0 : "Le maire de la ville rose n’a, heureusement pour lui, pas poussé l’expérience plus loin." Les Toulousains auraient pu perdre leur mairedegoche !

Sainte Vehme, priez pour nous ! ;-)

Écrit par : Blumroch | 17/01/2019

Philippe Dubois > Les gauchos sont la lie de notre pauvre pays, mais en tant que Gilets jaunes ils font nombre et leurs casseurs sont "efficaces" dans leur genre, n'allons pas provoquer ces crétins obtus et violents en arborant notre idéologie en bandoulière. Cela ne peut que nous diviser et renforcer notre ennemi.

Blumroch > On y croit.

Écrit par : Pharamond | 17/01/2019

Qui dit débat dit histoire... enfin, *disait* histoire, *avant*, quand le débat et lui seul avait force de loi, sans aucune loi scélérate, pour traiter des questions historiques -- exemple garanti sans polémique : la détermination de l'emplacement exact d'Alésia.

Voici donc une petite anecdote, que Pharamond me pardonnera de plaquer artificiellement sur sa mini-comptine.

Nous savons tous que seul Thierry Maulnier, tiré d'un profond sommeil, pouvait répondre à la question "Qui a éteint quoi et quand ?". L'exploit serait presque aussi fort, d'identifier le sujet et surtout l'auteur de ces quelques lignes ne trahissant pas une franche détestation :

"Whatever else may be thought about these exploits, they are certainly among the most remarkable in the whole history of the world."

"The story of that struggle cannot be read without admiration for the courage, the perseverance, and the vital force which enabled him to challenge, defy, conciliate, or overcome, all the authorities or resistances which barred his path. He, and the ever-increasing legions who worked with him, certainly showed at this time, in their patriotic ardour and love of country, that there was nothing they would not do or dare, no sacrifice of life, limb or liberty that they would not make themselves or inflict upon their opponents."

"Those who have met GuessWho face to face in public business or on social terms have found a highly competent, cool, well-informed functionary with an agreeable manner, a disarming smile, and few have been unaffected by a subtle personal magnetism. Nor is this impression merely the dazzle of power. He exerted it on his companions at every stage in his struggle, even when his fortunes were in the lowest depths."

Z'avez deviné ? Le sujet, c'est évidemment Dolfie ; l'auteur, beaucoup plus inattendu, c'est Churchill, qui formulait en 1935, dans *Great Contemporaries*, ces étonnants jugements dignes de l'Ulick Varange d'*Imperium*. Pour l'anecdote, Churchill, qui se prenait pour un vrai peintre, qualifiait au passage Dolfie de *house-painter*, selon une légende qui a la vie dure malgré un honnête petit livre consacré aux aquarelles, sans génie mais fort convenables, peintes par le Mal Absolu. Toujours pour l'anecdote, Churchill, peu favorable à la France, comprend que le traité de Versailles ouvre la voie à bien des aventures, mais il est incapable d'en tirer les conséquences politiques -- tout le monde n'est pas Bainville qui avait tout dit en 1920, lui. Créditons l'Anglais de cette forgerie que je n'avais, pour ma part, jamais vue auparavant, "Nazidom", et d'une remarque éclairante que nos historiens démocrates contemporains n'apprécieraient sans doute pas : "It is probable that, when he [Dolfie] overthrew the existing constitutional Government of Germany, he did not know how far they had prepared the ground for his action ; certainly he has never done them the justice to recognize their contribution to his success".
Churchill formule évidemment quelques réflexions plus prévisibles, plus attendues, plus ordinaires à propos de certains aspects, qui lui font peur, de la nouvelle Allemagne (mise à l'écart de tous les ennemis de l'intérieur, propagande) : d'amusante manière, ses propos pourraient, sans trop forcer, décrire la tyrannie collectiviste qui, un peu partout dans le monde, entend *fabriquer* l'homme nouveau d'une terre nouvelle -- et terre *gaste*, surtout, mais cela, *ils* ne l'admettront jamais.

Écrit par : Blumroch | 17/01/2019

Pour que le totalitarisme libérale planétaire puisse advenir il fallait en finir avec les guerres classiques où la propagande du moment passée on reconnaissait qu'on avait un peu exagéré et que l'ennemi après tout n'était pas exempt de qualité. Avec la Seconde guerre est né la lutte biblique, l’Armageddon quotidien, le combat de l'Ange contre le démon qui autorise tout au camp du Bien (c'est à dire le plus puissant). C'en n'est fini de la paix des braves, depuis ce conflit l'ennemi doit être annihilé et son souvenir maudit chaque jour un peu plus ; pas d'oubli ni pardon, mais l'invention du crime imprescriptible, du devoir de Mémoire et de l'Histoire officielle et intouchable. Tout ça finira mal...

Écrit par : Pharamond | 17/01/2019

Excellent commentaire.
"Tout ça finira mal..." pourrait faire office de *gimmick* final de chaque billet, un peu comme le "Faut-il en rire ou en pleurer ?" du Filippi du *Rivarol* d'*avant*. ;-)

Écrit par : Blumroch | 17/01/2019

Merci. Et c'est ce genre de chose que les Tatiana Ventôse avec toute l'indulgence que je peux leur accorder ne comprendra jamais, ou trop tard, comme les trois quarts de la réacosphère, d'ailleurs.

Écrit par : Pharamond | 17/01/2019

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