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16/01/2019

Macron : « Je n'accepterai jamais la violence »

Altermonde-sans-frontières relaie un article du Monde qui s'inquiète enfin des blessés dans les rangs des Gilets jaunes. C'est bien, mais j'essaie d'imaginer les cris d’orfraie des artistes, les éditoriaux enflammés des journaux, les scènes d'hystérie chez les bobos, les pétitions d'intellectuels, les pleurs des témoins, les films des réalisateurs engagés, les reportages aux heures de grande écoute, les ouvrages des grandes consciences, les "#Je suis une victime" sur les réseaux sociaux, les cortèges avec dépôt de bougies etc. si Le Pen au pouvoir avait fait le dixième.

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L’intérêt de cette infographie est que l'on ne peut pas l'accuser de provenir d'une source partisane.

Remarque : Plus de 80% des blessures provenant principalement de tirs de LDB ont touché la tête - alors que les consignes précisent de viser les membres ou le tronc - qui ne représente qu'environ 7% de la surface du corps humain.

Commentaires

La question est : pourquoi cette arme n'est pas utilisée de cette manière en Banlieue ? Pourquoi seulement sur les petits blancs ?

Écrit par : Mistersmith | 16/01/2019

@ Mistersmith
C'est une excellente question
Je vous remercie de l'avoir posée
D'autant qu'il m'est arrivé de voir quelques reportage montrant des flics s'enfuir piteusement devant quelques racailles armées de battes de base-ball.
Ce deux poids deux mesures est un tantinet irritant, comme le gaz lacrymogène (je confirme, ça pique)
peur de la bavure avec les racailles
Open bar pour les Gilets jaunes
Et en matière judiciaire, pareil

@Pharamond
J'imagine aussi la même chose si les victimes étaient quelques jeunes issus de quartiers défavorisés, arborant fièrement des casiers judiciaires longs comme un jour sans pain.
D'ailleurs, à Strasbourg, une victime est un jeune divers qui venait juste faire les magasins comme un toubab normal.

Quand à Olivier Béziade, pompier volontaire de 47 ans, toujours dans un état critique suite à la manifestation du 12 janvier à Bordeaux parce qu'il a pris un tir de LBD 40 en pleine tête alors qu'il s'éloignait, parquet et préfet ont ouvert une enquête car les vidéos ont fait le tour du net

Écrit par : Philippe Dubois | 16/01/2019

C'est pourquoi tous les hommes de main du régime méritent, comme les maîtres-chiens qui leur donnent des ordres, le plus parfait mépris.
Ce principe du "deux poids, deux mesures", appliqué sans la moindre honte, donne la nausée.
Et tous ces (censuré) exigent le respect, voire l'admiration !

Écrit par : Blumroch | 17/01/2019

Cette violence a été préparée, cette "haine" entretenue par des décennies de discours dévalorisant pour le petit peuple blanc. Que des taxis, des forains, des habitants de Calais manifestent et on parlait de leur "grogne" (des cochons donc).
Ce mépris de classe, c'est "l'esprit Canal" ! Qui se souvient des "Deschiens" moquant il y a 30 ans la France moisie "des clopes et du diesel" ? Qui se souvient du répugnant Cabu, lequel – longtemps avant que les frères Kouachi n'effectuent son aufhebung – dessinait son beauf jusque dans le émissions pour enfants !

Bourdieu (que je choisis par provocation) définit la violence symbolique comme l’ensemble des signes qui font passer une domination pour naturelle, et donc légitime.

Au fond ces yeux arrachés, ces mains broyées sont l'expression d'un racisme de classe beaucoup plus qu'une volonté maçonnique de purge. Et qu'on ne vienne pas dire que les poulets de bases sont des prolos car c'est justement dans les classes inférieures (employés bac +2 posant au bourgeois) que cette propagande anti-française a opéré le mieux. C'est justement les CSP les plus méprisées qui se méprisent le mieux.

On a eu tort de croire que les milices antifas formaient des crotteux ridicules. Ils sont l'inconscient du Capital mondialisé et leur "haine" de la civilisation est maintenant dans toutes les têtes.

Écrit par : Dia | 17/01/2019

Mistersmith > Parce que contre la racaille les policiers ont ordre de ne l'utiliser qu'en cas d’extrême nécessité et qu'eux-même se l’interdise de peur d'une bavure qui déchainera une tempête médiatico-judicaire où le responsable laissera des plumes. Avec les Gilets jaunes les consignes sont très différentes...

Philippe Dubois > Les médias commencent à s'intéresser aux armes des forces de l'ordre et aux victimes ; déjà CNews et Libération...

Blumroch > Les encore plus méprisables ce sont ceux qui leur accordent leur respect.

Dia > Je suis bien d'accord c'est pour cela que "la guerre" est perdue. Il reste à remporter quelques victoires tactiques, pour l'honneur, peut-être.

Écrit par : Pharamond | 17/01/2019

Les commentaires sont fermés.