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09/02/2016

Recyclage

Inversion des valeurs, perte de repères, adaptation aux nouvelles réalités, mutation globale ? Si l'ancien système est devenu à n'en pas douter obsolète, comment fonctionne celui qui doit le remplacer ? La logique, parce qu'il y a une logique, qui régit actuellement notre société peut paraître complexe voire compliquée. En fait, elle est loin de l'être. Il faut comprendre que le but ultime et irrévocable de nos dirigeants et de leurs fastueux laquais est le triomphe du libéralisme mondialiste, ni plus ni moins, et qu'importe les conséquences fussent-elles funestes à une partie de la population. Le reste n'est qu'ajustages et contretemps, on fera mine de discuter d'un projet censé faire polémique mais qui n'a aucune importance réelle histoire d'occuper les esprits, on changera un personnage par un autre moins usé pour poursuivre le même plan, on retira même une loi impopulaire maladroitement proposée pour prouver que l'on est bien dans une démocratie mais que l'on fera passer discrètement ultérieurement quand les médias auront braqué leurs caméras sur autre chose etc.

Soit, me dirait vous, mais même en endoctrinant efficacement la population, en sapant les repères fédérateurs traditionnels, en atomisant la société en une myriade d’intérêts particuliers et égoïstes, il faut parfois que la justice sévissent sur les vrais dissidents qui existeront toujours, or comment arriver à interdire toute remise en cause du libéralisme puisque que le libéralisme hérité des Lumières rejette toute vérité transcendante et permet justement tous les doutes et les relativismes ? Grâce à la Shoah. Cela peut paraître énorme mais c'est pourtant logique. Parce que dans ce monde où tout peut être contestable, discutable, révisable, une seule chose demeure absolue, l'horreur avérée de la Shoah. Toutes actions se divisent donc en deux catégories où la notion classique de bien ou de mal et de juste ou d'injuste n'ont plus leur place. Simplement, toutes les choses qui, selon des critères arbitrairement préétablis, tend à nous éloigner de la Shoah seront tolérés, toutes celles qui pourrait nous en rapprocher seront interdites et durement réprimées. Bien sûr les tribunaux ne le présenteront pas de cette façon, elle ne feront qu'appliquer les directives issues des instances républicaines - c'est à dire des lobbies, des conseillers officieux et des organisations diverses aux services du libéralisme – en interprétant la législation selon le résultat désiré.

Par exemple, une manifestation d’extrême gauche qui ravagera un centre ville n’entraînera que quelques participants appréhendés et souvent rapidement relâchés alors qu'on hésitera pas à utiliser les lacrymogènes et à multiplier les arrestations contre un rassemblement pacifique avec enfants et personnes âgées. C'est que dans le premier cas bien qu'elles aient entraîné quelques dégâts regrettables les revendications devaient forcément aller dans le bon sens en luttant contre les vielles oppressions qui jadis ont mené où vous savez, alors que dans le second ce n'était qu'un ramassis de réactionnaires qui s’agrippent à de vielles valeurs, refusent tout changement libérateur et rejette la différence, rejet qui a autrefois mené... je vous laisse finir. Le reste n'est que détail, il suffit de choisir la bonne loi dans l'arsenal a disposition et tout sera justifié, expliqué, excusé et d'ailleurs tout le monde s'en moque. Les forces de l'ordre y trouvent aussi largement leur compte en évitant ainsi d'être taxés de "fachos en se montrant laxistes avec les gauchistes et en se disculpant de tout accointance avec les nostalgiques des heures les plus sombres puisqu’ils n'hésitent pas à les réprimer.

Le libéralisme et la Shoah même combat, cela peut paraître étrange, peu crédible, mais cela fonctionne et même parfaitement. Les tribunaux et les forces de l'ordre n'ont qu'à faire respecter en toute bonne conscience des lois établies par la République et les intellectuels, les médias et diverses autorités morales vous expliqueront, si vous avez quelques hésitations à tout avaler, que c'est pour vous protéger de l'horreur absolue, inoubliable et inexpiable.

 

Musique (407)

Death in Rome est un nouveau groupe néo-folk avec un sens certain de l'humour et de la provocation, il n'y a qu'à voir la pochette de leur premier album :

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En fait, hors quelques rares morceaux originaux il réinterprète avec leur style particulier des titres pop très connus* ce qui donne des choses assez curieuses avec une réussite variable, question de goût.

Mes préférés sont leur version de Diamonds de Rihanna :

et surtout de Destroy she say de CIRC :

* Quelques autres titres :

Barbie Girl (Aqua)

Wrecking Ball (Miley Cyrus)

Careless Whisper (George Michael)

Pump Up The Jam (Technotronic)

What Is Love (Haddaway)

Wrecking Ball (Miley Cyrus)

Le vent nous portera (Noir Désir)

08/02/2016

Ils sont mignons !

Apologies de meurtre chez Pascal Ory et Pierre Assouline 

Marc Laudelout, directeur du Bulletin célinien, vient de nous rappeler certains propos d’abord de l’historien Pascal Ory sur Robert Brasillach, puis du journaliste et romancier Pierre Assouline sur Lucien Rebatet (BC n° 380 [décembre 2015], p. 3).

Dans Le Monde du 6 février 1975, à l’occasion du trentième anniversaire de l’exécution de R. Brasillach, paraissait un article intitulé « Apologie pour un meurtre », signé de P. Ory et comportant le passage suivant : « A la date du 6 février 1975, je suis prêt à signer un appel en faveur de l’abolition de la peine de mort ; mais à celle du 6 février 1945, au nom d’une certaine idée de l’intellectuel et du militant, j’accepte de figurer parmi les douze hommes qui exécutèrent au petit matin le condamné Robert Brasillach, dans la cour de la prison de Fresnes ». M. Laudelout précise que P. Ory était en 1975 un militant socialiste et que l’exécution de R. Brasillac avait eu lieu, non à la prison de Fresnes, mais au fort de Montrouge.

Dans Le Magazine littéraire d’octobre 2015 est paru un article intitulé « Lucien Rebatet exhumé des décombres », signé de P. Assouline et portant la remarque suivante : « [Rebatet méritait] douze balles rouillées et tirées dans le dos ». L’article en question a été repris dans La République des livres, le 12 octobre 2015 : http://larepubliquedeslivres.com/rebatet-exhume-des-decombres.

Nostalgie de la Terreur et de la Guillotine. Nostalgie des Tueurs à la Balle et au Couteau. Nostalgie des horreurs de l’Epuration. Vivement le Grand Soir et les Petits Matins Blêmes ! Tout cela, bien sûr, au nom d’une idée certaine de l’intello et du pharisien qui, les pieds au chaud, la bouche en cœur et le portefeuille à gauche, prêchent la haine, la vengeance et le retour au « temps où les Français ne s’aimaient pas ».

6 février 2016

Source : Robert Faurisson – Le blog inofficiel

Le jeu des deux images (237)

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.

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ACAB (2)

Le général Piquemal un instant avant son arrestation 

Discours du Général Piquemal à Calais interrompu par des flics trop zélés

 

Pétition : "Libérez le général Piquemal ! "

07/02/2016

Témoins

Voici une séquence de Human de Yann-Arthus Bertrand avec Francine Christophe, déportée en 44 à Bergen-Belsen. Elle nous apprend indirectement que dans ce camp ravagé par le typhus et qui manquait de tout à la fin de la guerre on pouvait accoucher et faire survivre son nourrisson. Mais le plus important est ailleurs, c'est cet enfant qui ne pleure qu'à la libération du camp après s’être abstenu depuis sa naissance et les retrouvailles finales. Je ne conteste nullement la tragédie de madame Christophe mais je suis toujours surpris par le merveilleux que l'on rencontre dans nombre de souvenirs rapportés par les rescapés de la Shoah. Ils ne peuvent pas avoir simplement vécu un drame comme trop de populations déplacées à travers l'histoire, ils ne se contentent pas d'avoir été meurtris et traumatisées comme tant d'êtres humains en période de conflit, il faut qu'il y ait dans la narration de leur calvaire une dimension qui distinguent d'une façon ou d'une autre leur malheur de celui des autres victimes. Peut-être, après tout, est-ce humain, trop humain, et que tout dépende du nombre de caméras braquées vers soi. Peut-être... 

ACAB

Quand je vois ça les derniers vestiges de respect, ténus depuis quelques temps, qui me restaient pour les forces de l'ordre s'envolent au loin. Un métier où il faut mettre son honneur et sa dignité de côté : "Que voulez-vous ce sont les ordres..."

 

L'arrestation du général Piquemal à Calais