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13/09/2013

Maison blanche, serviteur noir

Il parait que le film Le majordome a fait pleurer Obama, sans doute juste avant qu'il aille retourner lustrer ses missiles destinés à el-Assad fils. C'est émouvant. Sinon, on y trouve aussi Hanoï Jane en Nancy Reagan ; je ne sais pour vous mais moi ça me coupe toute velléité de visionnage. 

Le Majordome: mensonger selon le fils de Ronald Reagan

 

Le film de Lee Daniels, inspiré de la vie du maître d'hôtel de la Maison-Blanche de 1952 à 1986, suggère un comportement raciste de la famille de l'ancien Président républicain à son encontre. Des accusations que Michael Reagan réfute.

Le Majordome est un succès retentissant aux États-Unis, où il est en tête du box-office depuis sa sortie, il y a deux semaines. Le public a été touché par ce film inspiré de l'histoire vraie d'Eugene Allen, un majordome de la Maison-Blanche, qui a servi les présidents de 1952 à 1986. Il n'est pourtant pas du goût de tout le monde: le fils de Ronald Reagan (président de 1981 à 1989), Michael, a publié un édito énervé dans lequel il accuse Le Majordome de donner une image raciste de son père.

«Vous avez pris la véritable histoire d'Eugene Allen [...] pour en faire un ‘film à message' cliché.», déplore-t-il sur Newsmax . «Je me suis trouvé dans les coulisses de la Maison-Blanche - plusieurs centaines de fois. J'ai rencontré et ai connu le vrai majordome, M. Allen, et je connaissais un tant soit peu mon père. Présenter Ronald Reagan comme un raciste parce qu'il était en faveur d'une levée de sanctions économiques contre l'Afrique du Sud est simpliste et malhonnête. Si vous connaissiez mon père, vous sauriez qu'il était la dernière personne au monde à pouvoir être qualifiée de raciste.»

Pour étayer son point de vue, Michael Reagan énumère ensuite différents souvenirs comme autant d'arguments , comme cette fois où sa mère, Nancy, avait invité les Allen à dîner, et le fait que ce soit Ronald Reagan qui ait promu Eugene Allen maître d'hôtel. «Il m'est insupportable que quelqu'un essaie de suggérer que mon père était raciste. Lui et Nancy, et le reste de la famille Reagan traitaient M. Allen avec le plus grand respect», affirme-t-il.

Un portrait mensonger

Michael Reagan s'en prend également à la biographie d'Eugene Allen, revue de fond en comble par le scénariste, Danny Strong. «Devinez lequel des deux a grandi dans une Virginie sous le coup de la ségrégation, a pris un travail à la Maison-Blanche et est monté jusqu'au titre de maître d'hôtel, la plus haute position dans le service dédié à la Maison-Blanche? Devinez lequel menait une vie heureuse et paisible, et a été marié à la même femme pendant 65 ans? Et lequel avait un fils qui a honorablement servi au Vietnam et n'a jamais émis la moindre protestation durant l'ère pré- et post- droits civiques?», demande-il, décrivant alors le véritable Eugene Allen.

Il poursuit, avec quelques spoilers à la clé: «Maintenant, devinez quel majordome a grandi dans une ferme de Géorgie, a vu son patron violer sa mère, puis son père s'élever contre ce viol, puis se faire tirer une balle dans la tête en réponse? Devinez quel majordome ressent si profondément la peine des injustices raciales de l'Amérique qu'il quitte son travail à la Maison-Blanche et rejoint son fils dans un mouvement de protestation?», faisant cette fois référence au personnage du film.

Les «Libéraux de Hollywood» en cause

Pour Michael Reagan, la faute est à chercher du côté des «libéraux de Hollywood»: «Les faits n'ont pas d'importance pour les propagandistes créatifs de Hollywood. La vérité est trop compliquée et pas assez dramatique au goût des scénaristes, qui pensent en terme de minute, pas de contexte, quand il s'agit d'un conservateur. Contrairement à ce que les libéraux de Hollywood pensent, mon père ne voyait pas les gens en couleurs. Il les voyait en tant qu'individus américains.»

Réalisé par Lee Daniels (Precious, Paperboy), Le Majordome met en scène Forest Whitaker dans le rôle-titre, tandis que la présentatrice de talk-show Oprah Winfrey incarne sa femme. Michael Reagan et Nancy Reagan sont quant à eux interprétés par Alan Rickman et Jane Fonda. Il sortira en France le 11 septembre.

Source : Le Figaro

Méchant garçon (53)

- Bien sûr, ça ne change strictement rien à nos problèmes, mais tout de même, Jacquard même pas un mois après Vergès ça fait du bien.

 

12/09/2013

Go, young man !

"Les internautes naviguent dans les corridors virtuels du cyberworld, des hordes en rollers transhument dans les couloirs de bus. Des millions de têtes sont traversées par les particules ondulatoires des SMS. Des tribus de vacanciers pareils aux gnous d’Afrique migrent sur les autoroutes vers le soleil, le nouveau dieu !

C’est en vogue : on court, on vaque, on se mondialise. On se troue de piercing pour avoir l’air tribal. Un touriste s’envoie dans l’espace pour vingt millions de dollars. « Bougez-vous ! » hurle la pub. « A fond la forme ! ». On se connecte, on est joignable en permanence. On s’appelle pour faire un jogging. L’Etat étend le réseau de routes : la pieuvre de goudron gagne. Le ciel devient petit : il y a des collision d’avions. Pendant que les TGV fusent, les paysans disparaissent. « Tout fout le camp », disent les vieux qui ne comprennent rien. En fit, rien ne fout le camp, ce sont les gens qui ne tiennent plus en place. Mais ce nomadisme-là n’est qu’une danse de Saint-Guy."

Sylvain Tesson, « Petit traité de l’immensité du monde », Editions des Equateurs.

Source : Zentropa

 

Je sèche

J'ai beau me creuser la cervelle je n'arrive pas à trouver de termes suffisamment injurieux pour qualifier les membres de notre classe dirigeante actuelle et leurs acolytes,  prompts à jouer les vierges effarouchées mais corrompus jusqu'à la moelle, indifférents au sort de leur peuple mais la larme à l’œil pour le moindre déviant bousculé ou exotique vexé, donneurs de leçons de morale mais laxistes au dernier degré avec leurs propres faiblesses, embastilleurs zélés pour délits d'opinion mais libérateurs paternalistes de délinquants récidivistes. J'aime trop les bêtes pour emprunter au règne animal les habituelles dénominations péjoratives chères aux communistes. Quelqu'un a une idée ?

 

11/09/2013

Aéronefs (38)

 

09/09/2013

Rien à ajouter

Zoologie

Plus de 800 000 connards, en recherche désespérée d'un moyen de se construire une singularité factice, élèvent en France des « nouveaux animaux de compagnie », c'est à dire des tas de bestioles plus ou moins exotiques, arrachées à leur milieu naturel, souvent issues de trafics criminels, et parfois dangereuses. 800 000 crétins qui se considèrent sans doute comme des « amis des animaux » mais qui ne peuvent s'abaisser, contraindre leur remarquable excentricité, à s'occuper d'une des diverses bêtes peuplant traditionnellement nos contrées. Alors que des milliers d'animaux croupissent dans les refuges et chenils, que les associations peinent à faire adopter des bêtes abandonnées, maltraitées ou rachetées aux laboratoires (pourtant dans l'originalité frankensteinienne il doit y avoir là de quoi faire...), des petits snobs en manque de folklore dépensent des sommes considérables pour introduire en France des bêtes inadaptées dont ils se fatigueront et se lasseront au bout de quelques mois ou quelques années et que certains n'hésiteront pas à relâcher dans la nature, au risque de provoquer des accidents et même parfois des ruptures graves du fragile équilibre des écosystèmes. Comme on ne peut pas rêver qu'ils soient tous étranglés par leurs boas ou étouffer par leur tarentules, il conviendrait qu'un Etat digne de ce nom interdise fermement et intégralement ces pratiques et sanctionnent lourdement les éventuels contrevenants.

Source : A moy que chault! le 08/09/2013

08/09/2013

Le jeu des deux images (194)

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.

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