21/01/2013
Bienheureuse Décadence
J'ai reçu cet e-mail :
« Cher Monsieur,
je lis chez vous un peu de publicité pour un blog. Permettez que je vous soumettre celui-ci :
http://bienheureuse-decadence.blogspot.fr/
GdB
[...] »
Je suis allé voir et même s'il n'y a rien de révolutionnaire l'esprit me semble bon.
19:40 | Lien permanent | Commentaires (2)
20/01/2013
Ils sont forts ces nazis ! (37)
- La fausse bande-annonce de Werewolf women of the SS de Rob Zombie :
- Un épisode de la série Legend Quest où son Indiana Jones de supermarché enquête sur la Sainte lance. On a droit à un concentré d'âneries sur le nazisme assez cocasse :
La sainte lance et le disque solaire des Incaspar grandeetoile
-
Er ist wieder da est le titre d'un roman humoristique et controversé de l'auteur allemand Timur Vermes imaginant le retour du Führer de nos jours.
20:26 | Lien permanent | Commentaires (2)
Le jeu des deux images (176)
Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.
18:22 | Lien permanent | Commentaires (15)
Musique (296)
Je viens de découvrir le groupe Alt-J et j'aime bien.
Dissolve me
Fitzpleasure
Something good
09:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
19/01/2013
Fatalis lux
J'ai reçu cet e-mail :
« Bonjour, je suis un étudiant en prépa à Paris et je tiens un blog avec deux camarades: www.fatalislux.net
Je pense qu'il vous intéressera. Si c'est le cas, n'hésitez pas à le diffuser: nous sommes à la recherche de lecteurs.
Merci pour votre attention,
Neltus »
Je suis allé voir et ce n'est pas mal du tout.
11:35 | Lien permanent | Commentaires (5)
18/01/2013
Histoire... (99)
Un exemple passé des conséquences du mélange délétère de la politique et du marché : en 1720 les édiles de Marseille, également négociants, laissent accoster le Grand-Saint-Antoine sans respecter les mesures sanitaires adéquates. Le navire transportait la peste dans ses cales, elle fera 100 000 morts.
La peste de 1720 , A T' on Sacrifié Marseille par 007ovni
La peste de 1720 : a-t-on sacrifié Marseille ? de Jean-Christophe de Revière, Guillaume Perez et Ranwa Stephan dans la série L'ombre d'un doute.
20:38 | Lien permanent | Commentaires (2)
Reductio ad frustratum
Aigreur et frustration « L'aigreur » et « la frustration » sont les deux clefs du confort intellectuel et de la tranquillité morale de notre époque. En effet, il suffit d'affirmer que toute critique ou contestation de celle-ci est motivée par ces deux tares irrémédiables pour leur ôter immédiatement tout semblant de valeur et tout commencement de véracité ou de légitimité. L'usage de « la frustration » et de « l'aigreur » fonctionne à peu près comme celui du « reductio ad hitlerum »... il évite tout débat, toute argumentation, toute explication ou confrontation au profit d'une définitive déconsidération de l'interlocuteur...
Vous contestez la toute puissance des valeurs marchandes, c'est que vous êtes un « aigri social »... Vous ne communiez pas dans l'éloge de la salope et de la « libération sexuelle », c'est que vous êtes un « frustré sexuel »... Vous n'applaudissez pas au « mariage pour tous », c'est que vous êtes un « pédé contrarié »... Vois ironisez sur la festivocratie et la société du spectacle, c'est que vous êtes un pisse-froid incapable de « s'éclater »...
En fait, selon ce principe presque unanimement admis, pour être crédible dans une contestation de la modernité, il faudrait en être le parangon, en avoir respiré tous les parfums, avoir emprunté tous ses masques et goûter tous ses artifices.. Plein de fric, pornocrate, obèse de biens et de nourritures exquises, couvert de filles faciles, accroc aux drogues et aux virtualités technologiques, encensé par les médias, habillé chez Smalto et Dolce Gabbana, on serait alors autorisé à donner son avis sur les vices dans lesquels on se vautre, parce que, de ce fait, « on les connaît »... « Tout posséder pour tout pouvoir mépriser » disait Montherlant. Sauf que les doctes contempteurs de « l'aigreur » et de la « frustration » se contentent généralement de « posséder » ou, plus pitoyable encore, « d'essayer », plus moins péniblement, de « posséder » quelques bribes du glorieux tas de fumier couvert d'or. |
Source : A moy que chault!
19:55 | Lien permanent | Commentaires (2)