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02/12/2012

Ethnologie

Intéressant article (même si on peut être en désaccord) lu sur le blog L'étape suivante :

L'exemple Thaïlandais à suivre.

A regarder la société thaïlandaise telle qu'elle fonctionne, on arrive parfois à mieux comprendre l’évolution de notre propre société.

Les aristocrates thaïlandais (la Thaïlande est un royaume  pour ceux qui l'auraient oublié) bénéficient (en plus de mainmise totale sur l’économie du pays) d'un système millénaire de "cheptel" féminin.

l'aristocrate thaï possède :

- une "mia luang" (grande femme) qui est l’épouse officielle, elle même souvent issue de l'aristocratie et à qui reviendra en exclusivité un éventuel héritage (surtout pas de redistribution aux pauvres !).

- une "mia noy" (petite femme) qui est l’épouse de coeur, issue de l'aristocratie ou de la bourgeoisie, mais rarement du peuple.
- des kiks, qui sont les maîtresses d'une ou plusieurs nuits, issues du peuple (souvent du peuple Isaan, volontairement laissé arriérés ou débilitants pour les besoins du capitalisme-aristocratique thaïlandais).

Ce qui est intéressant à observer, c'est que les mâles pauvres du peuple thaï veulent évidemment reproduire le système dont bénéficient les aristocrates.

Or, il manque des femmes.

En effet, l'aristocrate en retire énormément du "marché" ... et quand bien même, il faudrait 3 femmes pour un homme pour que le système aristocratique soit accessible au peuple.

Alors, que faire ?

La solution est simple, il suffit de créer une 3eme catégorie de population : les katoys (homosexuels et transsexuels).

Pourquoi ? tout simplement parce que les pauvres vont pouvoir reproduire le schéma "Mia luang, Mia noy et kiks" avec des hommes soumis (au lieu de femmes) !

L’élite Thaï va donc s’ingénier à convaincre le peuple de fournir une quantité importante de katoye sur le marché.

Pour cela, le pouvoir aristocratique va :

- lever tous les tabous sur l'homosexualité ("être homo, c'est cool !")
- créer un statut particulier et avantageux pour les katoyes (toilettes réservées  animation confiée en priorité dans les spectacles ou à la télévision)
- encourager la prostitution masculine par rapport à la prostitution féminine  (c'est "normal" et "légitime" pour un katoye de faire le trottoir)
- mettre dans la tête du peuple qu'il est bon d'avoir comme enfant un katoye: c'est ainsi qu'on voit dans les campagnes des mères de famille qui se pressent d'habiller leur petit garçon comme une fille. Si celui-ci se convainc d’être homo, la mère est persuadée (grâce aux médias de masse et à l’école du village) que sa "retraite" est assurée.

Or, que voit on en France depuis plusieurs années ?

Les pauvres, par le biais de la télévision mais surtout d'internet, s'aperçoivent que les riches se réservent les jolies filles. Que celles-ci, dès l'adolescence, sont programmées pour n'aimer que nos "aristocrates" français, juifs ou africains.


La soupape de sécurité du pouvoir européen va donc être de promouvoir, comme en Thaïlande  toutes formes d'homosexualités (mariage gay, fêtes du style gay-pride, loi contre l'homophobie ...) afin de laisser aux pauvres français le plaisir de se taper, eux aussi (comme les pauvres de Thaïlande), des "katoyes".

Le pauvre français va aller sur internet pour visionner des pornos hétérosexuels mais aura une relation homosexuel (faute de mieux) dans la vraie vie.

Il enculera son partenaire masculin en pensant à la jolie petite blonde défoncée par DSK ou Moscovici.

Le pauvre français va réagir un peu comme le pauvre Thaï ou le pauvre Maghrébin, finalement ?

 

 

01/12/2012

Mon voisin vote Le Pen

Dans la présentation du documentaire évidemment objectif Dénoncer sous l'Occupation de David Korn-Brzoza, on peut lire que « Les Français ont massivement dénoncé sous l’Occupation. Loin d’être cachée, loin d’être un acte individuel honteux, la délation est un acte social, un devoir. » Il semblerait que l'activité ait fini par faire un retour en force même si les groupes visés ne sont plus les mêmes.