Fourre-tout (10)

Vous êtes tenaillé par un sentiment d'insécurité grandissant ? Ce qu'il vous faut c'est un gilet pare-balles de chez Engarde.

 

Gizmodo, le blog des gadgets.

 

L'Orient-Express existe toujours.

 

Des bandes annonces en français et en version original de films, séries, dessins-animés sortis ou à sortir... Il faut trier.

 

Quitter la Sécu, comme tous les blogs libertariens : de bonnes critiques mais un projet de société assez inquiétant.

 

La vidéo d'un nautile, un céphalopode archaïque.

 

C'est quoi l'oiseau (nocturne) qui cri dans le jardin ? Grâce à The owl pages vous pourrez le savoir.

Le jeu des deux images (15)

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.

Je m'interroge (43)

Est-on obligé de regarder le spectacle sous prétexte qu'il n'y en a pas d'autres ?

Musique (143)

Perotin

Beata viscera

Le jeu des deux images (14)

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.

Souvenirs, souvenirs...

Ça ne vous étonne pas, vous, ces octogénaires qui se mettent soudain à raconter leurs tribulations pendant la Seconde guerre comme s'ils les avaient vécues hier, ces survivants de la Shoah qui s'étaient tus pendant des décennies et qui se décident à écrire leurs mémoires pour témoigner parce qu'il le faut, ces personnes qui trouvent des journaux intimes de leurs aïeux décédés racontant leur vie pendant la guerre et qui les publient en leur mémoire, ces témoignages exceptionnels du chauffeur du général Machin ou du secrétaire du colonel Truc qui se disent tout à coup que les bribes de vie privée dont ils ont été témoins sont tout compte fait d'un intérêt capital pour l'Histoire ?

Octobre

Assis à la terrasse du café, je profite de la douceur des derniers beaux jours. Bas au dessus des toits, le soleil automnal fait scintiller l’ambre de ma boisson et me dispense la tiédeur de ses rayons. Les bruits de la ville ne sont plus qu’un murmure qui me berce ; indifférentes aux mouvements de la rue, mes pensées vagabondent.

Pour atteindre une table inoccupée deux jeunes filles me frôlent en laissant un sillage de senteurs fleuries. Je savoure leur parfum fugitif, le parfum de l’été.