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25/06/2025

Musique (714)

Paint it black (Rolling Stones)

Harp Twins + ‪Volfgang Twins‬

16:56 | Lien permanent | Commentaires (29)

Commentaires

J'aurions préféré trouver une version par Lord Vinheteiro avec son canard à la Magnum, mais ceci devrait faire office d'ersatz :
https://www.youtube.com/shorts/MS2ZXbbZp3o

Écrit par : br | 25/06/2025

Rien de révolutionnaire mais un bon sitrep :
https://www.youtube.com/watch?v=6HqXN1WPt8E
La demoiselle est plaisante et a une voix agréable, en plus.
Ah, quand je disais la nocivité des liens "hypertextes" sur la concentration et qu'on ne voulait ni me croire ni même vérifier, au motif qu'abondaient les articles imbéciles célébrant la modernitude...

Écrit par : br | 25/06/2025

br > Magnum avait un canard ?
Sinon le poulet chante plutôt juste.
Une version moins cocasse mais, disons, plus esthétique :
https://www.youtube.com/watch?v=hv5xzneVgM0

Je le regarderai plus tard, la voix de momotchi a un effet soporifique sur moi.

Écrit par : Pharamond | 25/06/2025

@Pharamond : Tu as raison, c'était un poulet ; on reste dans le bipède à plumes. ;-)
Autre version par une lointaine réincarnation de Michel Drac :
https://www.youtube.com/watch?v=FDbHLlYy4S0
La version au piano est la moins pire ; au reste, je ne suis pas un grand admirateur des Rawling Stonez.

Écrit par : br | 25/06/2025

L'époque, on le sait, aime à salir tout ce qu'elle touche ; incapable d'admirer et de respecter l'héritage des anciens, elle doit le souiller à chaque occasion, dans tous les domaines. Illustration lumineuse, bien qu'auditive, ici :

https:/++/www.youtube.com/watch?v=O64YnLJQosM

https:/++/www.youtube.com/watch?v=WKVt-pjZp7E

L'enclume des trois premières minutes a été remplacée par des carillons. L'énergie a disparu ; et le public d'applaudir cette mauvaise action.
Y'a un proverbe ricain sur ces tâches que certaines devraient laisser à certains.

Écrit par : br | 26/06/2025

Résolution d'un mystère contemporain par Mozinor détective :
https://www.youtube.com/watch?v=O64YnLJQosM

Écrit par : br | 26/06/2025

br > Je ne suis pas non plus un grand fan des Rolling Stones, mais certains morceaux sont devenus des classiques et par ailleurs pas désagréables à écouter.
La musique de "Conan" a une rare puissance et n'a pas vieilli.
Je crois que tu a fait une erreur en mettant deux fois le lien de Mozinor (qui a résolu cette triste affaire de quincaillerie gastronomique avec célérité) .

Écrit par : Pharamond | 26/06/2025

Tu as raison, et je suis aussi coupable que BDV Notepad. Voici l'original que je voulais mentionner :

https://www.youtube.com/watch?v=BHfE682mm3c

en guise de memento avant la version à licorne et sirop de la dame jouant au chef. Quel public peut aller à un concert Conan et applaudir à cette mièvrerie à carillons ?

Écrit par : br | 26/06/2025

br > Ce ne serait pas plutôt des cymbales ? Quoi qu'il en soit je pense qu'on a recherché un bruit métallique pour évoquer Crom, mais l'effet n'est pas très réussi. Quant à la cheffe d'orchestre, mes connaissances musicales sont trop embryonnaires pour juger.

Écrit par : Pharamond | 26/06/2025

@Pharamond : Ne donne pas dans l'analyse "Piano Jazz Concept". ;-) Carillons, cloches, c'est sans importance : c'est insupportable quand on a la version originale en tête. On parlera ici d'*exécution* -- la cheftaine à la potence !

Écrit par : br | 26/06/2025

br > Tu es sévère.

Écrit par : Pharamond | 26/06/2025

Poledouris donne envie d'envahir les Allemagnes la hache à la main, quand la version de cette [autocensuré] inciterait à aller dans la forêt pour chanter la chanson de l'Elfe ! ("On peut cueillir des salades et après on peut les manger.")

https://www.youtube.com/watch?v=QmenelibxFw

Y'a quand même une autre énergie dans cette version (c'est visible chez le chef comme chez les musiciens) :

https://www.youtube.com/watch?v=EAFtiUoq6TE

Écrit par : br | 27/06/2025

"We are not surprised" :
https://www.schneier.com/blog/archives/2025/06/what-llms-know-about-their-users.html

Écrit par : br | 28/06/2025

L'excellent Le Gallou, peut-être trop marqué par son cursus, disait récemment chez TVL son estime pour *Le noeud gordien*. L'ouvrage ne m'avait pas semblé particulièrement remarquable quand je l'avais lu et oublié en 77 ou 78 -- ma chyène de génitrice l'avait pris via je ne sais plus quel club du livre pour ménagères désireuses de jouer à peu de frais les intellectuelles.
Voici quelques extraits du "normalien sachant écrire" dont les patrons -- le politique et le phynancier -- se contentaient, à l'évidence, d'assez peu.
Plusieurs majuscules ont été rectifiées ; on verra aisément lesquelles et pourquoi. En italiques, des occasions de ricaner.

// POURQUOI DES SOCIOLOGUES ?
Il s'agit là d'une science [la sociologie] balbutiante, dont beaucoup de spécialistes ont d'autant plus d'assurance que leurs connaissances sont plus incertaines et bien souvent, en France au moins, mal assimilées. Comme les sophistes de Platon, les scolastiques du XVe siecle, ou les médecins de Molière, ils cherchent leur autorité et leur prestige dans un jargon spécifique, inaccessible au profane, et appliquent leur intelligence et les détours de leur esprit à critiquer une société où de fait ils n'ont aucune utilité clairement définie.

// AVEU TRANQUILLE ET MAGNIFIQUE.
Gouverner, c'est contraindre.

// MAUDIT BETAIL REFRACTAIRE A LA PROPAGANDE DES BONS ET COMPETENTS BERGERS AU SERVICE DE LA MAFIA ETATIQUE EN MODE KAFKA.
A l'égard de l'état et de ses représentants, la réaction naturelle du Francais est la méfiance, l'hostilité doublée d'une sorte de complexe d'infériorité. L'état lui apparaît comme une machine implacable et absurde qui lui est extérieure et dont on ne peut attendre rien de bien. S'il évoque telle ou telle décision gouvernementale, le Francais ne dit pas, ne pense pas : "Notre Gouvernement a décidé", ou même "le Gouvernement a décidé". Il dit : "Ils ont décidé", ou, plutôt, " Ils ont encore décidé..."; "Ils vont augmenter les impôts..." ; "Ils ne sont pas capables de..."; "Ils voudraient nous faire croire que..."

// RUSE MISERABLE NE POUVANT AVOIR D'EFFICACE QUE SUR DES KRONS.
Par l'élection au suffrage universel, il [de Gaulle] a cherché à faire que tous les Français considèrent le chef de l'état comme leur représentant personnel, qualifié, de par leur volonté méme, pour parler en leur nom et pour diriger.

// PRO-RUSSIEN ! KOLLABOV ! ;-)
Nul ne méconnaît l'intelligence, les capacités du peuple russe, de ses savants, de ses ingénieurs, et lorsqu'un pays disposant de ressources aussi démesurées les met, grâce à un régime de fer, tout entières au service de |'industrie lourde et des industries de pointe tournées vers la puissance, directement ou indirectement militaire, il serait surprenant qu'il n'obtienne pas de succès.

// COLLECTIVISME TYRANNIQUE MAIS TOUJOURS BIEN INTENTIONNE !
Les tenants du planisme rigide prétendent enserrer toutes les entreprises, grandes ou petites, industrielles, commerciales ou agricoles, dans un vaste réseau de commandements et de contrôles permanents, afin de les soumettre à *leur* conception de l'intérêt général. Conception *honorable* en elle-même, qui se confond avec la conception qu'ont de l'activité économique et de cet intérêt général des fonctionnaires *sans doute capables* et *bien intentionnés*, mais doublement irresponsables : irresponsables économiquement puisque, si les entreprises perdent de l'argent, ils n'en subissent pas les conséquences et n'en éprouvent même pas un sentiment de culpabilité; irresponsables politiquement puisque, si l'économie dans son ensemble est défaillante, ce sont les ministres [quelle révoltante injustice !] qui sont mis en cause.

// ON S'EXPLIQUE ALORS MAL L'EUROTYRANNIE EXERCEE PAR QUELQUES BUREAUCRATES ET QUELQUES TRAITRES. LES MILICHIENS, PEUT-ETRE...
Le dirigisme intégral, à l'échelle de la nation, nécessite un appareil administratif, politique et policier, parfaitement insupportable à un pays comme le nôtre.

// AMICA RATIO SED MAGIS AMICA PHYNANCIA.
Depuis la libération, l'état et en particulier le ministère des Finances ont vécu dans l'obsession du déséquilibre budgétaire, les dépenses indispensables apparaissant incompressibles. Dès lors, la chasse aux ressources devenait une hantise, conduisant à l'aggravation de la fiscalité et plus encore à la complication de cette fiscalité, la multiplication des impôts et des taux étant une facon de dissimuler |'alourdissement global. Il en résulte des charges directes, mais aussi des charges indirectes dues à la complication qui entraîne elle-même une complication du contrôle, les entreprises étant contraintes de surcharger leurs frais généraux par des services spécialisés en matière fiscale, et, *ce qui est peut-être pire*, conduites à orienter leurs activités et leurs structures en fonction de l'impôt. Il devenait plus profitable d'échapper à l'impôt par une structure *astucieuse* que de chercher à améliorer sa productivité.

// AVEC CES GENS-LA, ENVISAGER, CE N'EST JAMAIS METTRE EN OEUVRE, SURTOUT QUAND ILS EN ONT LE POUVOIR.
Révision de la fiscalité donc, dans le sens de la simplification, d'une meilleure application et, *parfois*, d'une diminution des taux. Révision ensuite des méthodes administratives.
[...]
[L'état a] la passion du contrôle à tous les échelons. Les bureaux ont leur idée sur la production, sur la répartition, sur les prix, sur les marges considérées comme normales, sur la structure même des entreprises, les fusions qu'il faut favoriser et celles qu'il faut contrarier, etc. Dès lors, la vie du chef d'entreprise devient une espèce de débat permanent avec les bureaux au point que les grandes affaires trouvent plus utile de mettre à leur tête des hommes ayant des relations dans les ministères techniques ou au ministère des finances plutôt que des dirigeants ayant fait la preuve de leur capacité en affaires [Breton le Sénégalais présumé milliardaire, par exemple].

// LA LUCIDITE SANS LE COURAGE : LE PIRE DES CARACTERES.
Le rôle de l'état est d'assurer le contexte général -- stabilité monétaire, continuité de la politique financière, réglementation réduite au minimum et ne changeant pas à tout propos -- dont les entreprises ont besoin pour se développer, c'est-à-dire pour investir, ce qui suppose non seulement des moyens financiers mais la possibilité de prévoir. Faute de quoi, on retrouverait la situation de la France à la veille de 1789 et que Tocqueville résumait ainsi : "Comment aurait-on pu échapper à une catastrophe? D'un côté, une nation dans le sein de laquelle le désir de faire fortune va se répandant tous les jours; de l'autre, un gouvernement qui excite sans cesse cette passion nouvelle et la trouble sans cesse, l'enflamme et la désespère, poussant ainsi des deux parts vers sa propre ruine."

// UNE CLASSIQUE FACETIE DE LECTEUR CONNAISSANT SON PUBLIC.
"Ne trouvant autour d'eux rien qui leur paraisse conforme à leur idéal, ils vont le chercher au fond de l'Asie. Je n'exagère pas en affirmant qu'il n'y en a pas un qui n'ait fait dans quelques parties de ses écrits l'éloge emphatique de la Chine. On est sûr en lisant leurs livres d'y rencontrer au moins cela, et comme ia Chine est encore très mal connue, il n'est sorte de billevesée dont ils ne nous entretiennent à propos d'elle." C'est Tocqueville qui faisait cette observation sur les écrivains politiques du XVIIIe siècle. Comme on le voit, le monde change moins qu'il n'y paraît.

// LA POLITIQUE EST DONC LE VOL EN BANDE ORGANISEE, SOUS LA MENACE. EST VOMITIF TOUT CE QUI EST A PRETEXTE "SOCIAL".
L'objet d'une politique sociale est de réduire l'écart entre les riches et les pauvres, c'est-à-dire d'élever le niveau de vie des pauvres à la fois en soi et par transfert à leur profit d'une partie[la mafia est trop généreuse !] des revenus des riches.

// ON EN AURAIT LE POUVOIR MAIS ON NE VA QUAND MEME PAS SUPPRIMER UN MINISTERE INUTILE ET MEME NUISIBLE. QUEL PRECEDENT CE SERAIT !
Il n'avait pas tout à fait tort le parlementaire qui disait que le principal obstacle à une bonne politique du logement en France était l'existence d'un ministre de la Construction.

// NOUS AVONS CHANGE TOUT CELA : AUJOURD'HUI, ON PEUT, ON FERA, ET CELA PASSERA SANS PROTESTATION DU BETAIL.
On ne peut faire varier le prix de la
gauloise en fonction des ressources du fumeur.

// MENTIR, TOUJOURS MENTIR...
J'ai dit ailleurs ma conviction que l'économie future laisserait une place importante au petit commerce et à l'artisanat conçus comme complémentaires de la grande industrie ou des "grandes surfaces" commerciales.

// HEUREUSEMENT, NOUS AVONS CHANGE TOUT CELA AUSSI, AVEC LA MORT IMPOSEE PAR CHANTAGE BUREAUCRATIQUE.
Le coeur se révolte devant la misère silencieuse et cachée de tant de vieilles gens.

// BEAU ET PEREMPTOIRE COMME CETTE IGNOBLE INVENTION DE JACQUES A. : L'ALTRUISME INTERESSE. ON ATTEND LA DEMONSTRATION ; QUANT AUX SPOLIES, ILS APPRECIERONT.
La notion de charité, forme la plus élevée de la solidarité, reste donc nécessaire et doit être revivifiée et la solidarité des peuples riches vis-à-vis des peuples pauvres est une exigence fondamentale de l'avenir humain. *L'intérêt ici rejoint l'idéal*.

// UNE TELLE CANDEUR, CHEZ UN EMPLOYE DE LA PHYNANCE ET DE L'ETAT, ETONNE -- OU ALORS ELLE EST FEINTE.
Le chancelier Adenauer me demanda un jour si j'avais des hommes une opinion optimiste ou pessimiste. "Optimiste", lui répondis-je. "Vous avez tort, il faut être pessimiste." Aujourd'hui encore je ne le crois pas. Rien de plus déprimant que Machiavel. En démocratie, on ne gouverne pas longtemps par la force ni par la ruse, mais seulement par la confiance qu'on inspire, et l'on n'inspire durablement confiance qu'en s'adressant et en répondant au besoin des hommes de croire à quelque chose. A quelque chose et à quelqu'un parfois, l'un incarnant l'autre.

// ET QUAND C'EST MEILLEUR POUR BIGPHARMAFIA, LE WEF, LE BILDERBERG, BLACKROCK ET LEURS COMPLICES ?
Lorsqu'on a la responsabilité de gouverner un peuple, on n'a pas le droit de le précipiter dans l'inconnu sous prétexte que c'est amusant de détruire et que ce qui viendrait ensuite pourrait être meilleur. L'histoire est là qui nous dit que l'idéal n'a jamais pu être atteint et que sa recherche frénétique a précipité les nations qui s'y sont livrées dans les abîmes.

// DROIT DE VIE ET DE MORT SUR LE BETAIL, ABOLITION DE TOUTES LES LIBERTES : ON SAIT QUE LE PROJET VIENT DE LOIN, QUI MAINTENANT PEUT S'APPUYER SUR LA MAUDITE TECHNIQUE.
Le savant, l'ingénieur, le technocrate disposent de moyens colossaux. Ces moyens, pour l'essentiel, se concentrent entre les mains d'un état et d'une administration qui encadrent les individus, les mettent en fiches perforées, les désigneront demain par un numéro, déterminant la progression du niveau de vie, les activités souhaitables et leur répartition géographique, prenant en charge l'éducation, l'instruction, la formation professionnelle, bientôt le devoir et le droit de procréation, déjà la durée du travail et des loisirs, l'âge de la retraite, les conditions de la vieillesse, le traitement des maladies.

// UN COUP DE GENIE, LE RETOUR DU GRAND MONARQUE. TOUJOURS FINIR DE MANIERE HUMANISTE ET POSITIVE, COMME LE SAVENT TOUS LES MENTEURS, HYPOCRITES, COMMERCANTS ET ZELUS.
Le bonheur que nos ingénieurs préparent à l'homme de demain ressemble vraiment trop aux conditions de vie idéales pour animaux domestiqués. En vérité, l'avenir serait plutôt à Saint Louis tel qu'on se l'imagine sous un chêne au milieu de son peuple, c'est-à-dire à des chefs ayant une foi, une morale, et répudiant "l'absentéisme du coeur".

// JOLIE CONCLUSION. HUMOUR ?
"Je n'étais bon ni pour tyran ni pour esclave", disait Chateaubriand. Je souhaite que demain les dirigeants et les citoyens de mon pays soient pénétrés de cette maxime.

//
Ce livre écrit à l'encre grise n'a qu'une seule vertu : son titre, excellent, qui évoque un Alexandre capable de décider rapidement puis de trancher dans la difficulté sans donner dans le compromis. Attitude *fasciste*, d'ailleurs dénoncée comme telle par l'auteur dans les derniers paragraphes.
Jadis, l'épée ; aujourd'hui, la tronçonneuse ?

Écrit par : br | 29/06/2025

br > La chanson de l'Elfe n'est pas sans qualités, mais j'ignore pourquoi elle ne donne pas le frisson comme la musique de "Conan".

Je reconnais préférer cette version, effectivement.

Je n'ai pas lu "Le nœud Gordien", mais Pompidou, quoique serviteur de la finance, était un homme d'un autre temps - et son livre d'après les extraits l'illustre d'une certaine manière - et de ce fait bien supérieur à un Macron, ce qui ne le rend pas moins coupable.

Écrit par : Pharamond | 29/06/2025

@Pharamond : "La vie d'aventurier" parle à tout joueur de JDR :
https://www.youtube.com/watch?v=Y-1WabDTeN0

Je ne faisais pas à l'étatiste Pompidou l'affront de le comparer à foutriquet 2.0, mais il est, comme tu l'as fort justement souligné, coupable lui aussi, non d'avoir détruit, mais d'avoir laissé détruire à longue échéance. Comprendre de certains problèmes sans jamais les résoudre alors qu'on est au pouvoir, c'est un crime. Il n'aura oublié ni la banque ni la "jet-set", alors le numéro de l'honnête normalien de son temps... bof.

Ces extraits, choisis sans intention exagérément malveillante, te dispensent probablement de t'infliger le pensum.

Écrit par : br | 29/06/2025

@Pharamond : Et puisqu'on a évoqué Pompidou le mystique du Plan, cette coïncidence :
https://www.youtube.com/watch?v=OlFUiGdR6xg

Écrit par : br | 30/06/2025

br > Etrange coïncidence.

Écrit par : Pharamond | 30/06/2025

@Pharamond : "Il n'y a pas de hasard ; seulement des rendez-vous". ;-)

Facétie référentielle trouvée chez Counter-Currents dans un billet intitulé "Medusa’s Curse" par un certain Elmar Böhme :
//
First they came for elves, and I remained silent because I never met an elf. Then they came for Gods, and I remained silent because I never felt their presence. Then they came for ghosts, and I remained silent because I never saw a ghost. Then they came for consciousness, and I did not exist.
-- Unknown mortal
//

Écrit par : br | 01/07/2025

br > Une variation amusante du texte du pasteur qui n'aurait jamais imaginé en l'écrivant toutes les déclinaisons qu'on en ferait. Texte antinazi il peut pourtant convenir à toutes les systèmes.

Écrit par : Pharamond | 01/07/2025

On ose tout, chez les soraliens : un rappel de la définition que donnait Bardèche de certain régime ayant toujours mauvaise presse parce qu'il a perdu, permet de faire l'éloge de... Méchancon : "On sait que ça va défriser pas mal de droitistes[1] mais il n’y a qu’un type en France aujourd’hui qui se rapproche de cette définition, avec quelques écarts bien sûr, et ce n’est pas Bardella. C’est un type que la presse-pute, en chœur, taxe de doriotiste."
Heureusement que la conclusion tente de corriger, avant de donner dans la prophétie de comptoir marxisant ("Quand ils étaient frappés par Marx Fatalis, ils n'en mourraient pas tous mais tous en restaient marqués") : "Ceci n’est pas un plaidoyer en faveur de LFI".

[1] On a évité "droitardés", peut-être réservé au Guide suprême et Maître du Logos.

Écrit par : br | 02/07/2025

br > Soral avait bien dit que la Corée du Nord lui semblait s'apparenter au III Reich. Il s'agissait d'un compliment.

Je n'ai pas lu ou vu cet éloge de Mélanchon, cela vient d'où ?

Écrit par : Pharamond | 02/07/2025

@Pharamond : Assimilation aussi audacieuse que celle, apparemment populaire, faisant de la maudite "u." dite "e." l'héritière du troisième Empire. [remarque autocensurée]

C'est dans un billet intitulé "La crise de la représentation, c’est ça", montrant deux porcs gouvernementaux engraissés par le contribuable et prêts à tous les sacrifices subis par autrui.

Combien d'exemplaires de leur compilation d'articles de Bardèche les soraliens vont-ils vendre aux méchanconistes ?

Écrit par : br | 02/07/2025

br > J'ai lu l'article ; ce n'est surement pas le meilleur du site.

Écrit par : Pharamond | 02/07/2025

@Pharamond : L'émission consacrée aux discours de Dolfie avec Reynouard n'est, elle, pas trop mal. Elle n'apprendra rien aux "connoisseurs" qui ont un peu lu, mais elle pourrait réserver des surprises aux ceusses, trop nombreux, qui ne connaissent le troisième Empire que par de gauchistes articles de journaux et émissions de tivi ; s'ils l'écoutaient et s'ils étaient honnêtes face aux faits, ils seraient amenés à... réviser leur vision -- cela ne risque pas d'arriver.

Écrit par : br | 03/07/2025

br > Tout à fait d'accord avec toi, même si j'ai trouvé VR fatigué. Si c'est vraiment le cas, avec ce qu'il subit ce ne serait guère étonnant.

Écrit par : Pharamond | 03/07/2025

Les glapissements des gauchistes ont parfois une utilité : signaler que l'objet de leur fureur mérite attention. C'est ainsi que j'ai découvert plusieurs bons films, dont *Le Mans 66*.
Dans un registre comparable, n'aurais-je pas regardé les premiers commentaires de cette vidéo :

https://www.youtube.com/watch?v=aDcPL34BvIk

que sans doute je ne l'aurais pas vue. Rien d'essentiel, certes, mais quelques passages amusants.

Écrit par : br | 03/07/2025

br > Les vidéos de T. Ventôse sont souvent pertinentes et courageuses bien qu'elles ne soient exemptes de naïvetés. Ici elle oublie que nos dirigeants ne sont pas seulement des incapables mais aussi des nuisibles, nos ennemis. Ils se contrefichent de redresser la France puisqu'ils sont là pour la dissoudre. Pour que les journalistes, les politiques ou même la population puissent préférer que l'on pense d'abord au pays avant l'étranger il faudrait qu'il existe un pays.

Écrit par : Pharamond | 04/07/2025

@Pharamond : "Quelques passages amusants", rien de plus, rien de moins. Comme disait Bergier, une des grandes leçons de la vie, c'est que les imbéciles ont parfois raison. En l'occurrence, Ventôse, que je tiens pour une aimable kronne commerçante, a formulé deux ou trois réflexions acceptables. Comme tu le soulignes, elle n'a toujours rien compris, ni à la situation, ni au rôle des employés de la Phynance. Reste que la voir contrarier un peu son public (voir le déluge de commentaires) en jouant les Despot ou "juste milieu" est assez divertissant, d'où mon signalement, quand je n'aurais pas songé un instant à évoquer Marcel 442 et de Brague faisant, chez les soraliens, un médiocre portrait croisé des Breton et Musk.

Écrit par : br | 04/07/2025

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