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Musique (680)

Les chants de la Guerre d’Espagne :

Una Hora de Música de la Guerra Civil Española (Nacionalistas y Republicanos)

 

Intro : 0:00

No pasaran : 0:22

Marcha real : 2:54

A las barricadas : 5:06

Marcha de Oriamendi : 8:01

Ay Carmela : 9:56

Cara al sol : 13:09

País lejano : 16:28

Marchando : 18:40

El quinto regimiento : 21:10

Lied der Legion Condor : 24:36

Viva la F.A.I : 26:46

Cálzame las alpargatas 28:19

Si me quieres escribir : 30:47

El sitio del asedio de Alcázar Toledano : 34:00

Alas rojas : 36:38

Isabela y Fernando : 39:11

Coplas de la defensa de Madrid : 42:18

Estando herido por un balazo : 44:21

Hijos del pueblo : 47:09

¡Alto! ¿Quién vive? : 52:39

Cantos nocturnos en las trincheras : 54:48

El novio de la muerte : 56:35

Los campesinos : 1:01:24

Ya hemos pasado : 1:04:39

 

Certains sont assez beaux et j'avoue une préférence pour ceux des "Rouges".

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Champ d'étoiles (31)

Dimanche 15 août 2004

28me étape (4me de cette année) – De Calzadilla de la Cueza à Belcianios del Real Camino - Environ 34 km

Temps beau comme hier mais en plus chaud.

J'ai bien dormi mais je me réveille avec une douleur au genou droit. D'habitude les douleurs de l'étape disparaissent après une bonne douche, du repos et une nuit de sommeil. J'ai dû faire de trop longues étapes peut-être en ne buvant pas assez.

Je chemine avec Murielle une sympathique coiffeuse de Poitiers. Lors d'une pause je discute avec deux jeunes San-marinais. Je croise aussi Andrew, un Irlandais qui revient de Santiago, avec qui j'échange quelques mots. C'est le deuxième que je rencontre depuis mon départ de Bordeaux à faire l'aller et le retour.

Arrivé à Sahagún, je salue Rom, qui est déjà là. C'est l'heure du repas et je m'arrête pour manger au restaurant. Le long du Chemin presque tous les établissements proposent un repas "spécial peregrinos" quasiment toujours le même et qui coûte entre 6 et 8 €. C'est simple et bon avec un peu de vin local qui va de l'acceptable à l'imbuvable selon la région. Je mange avec Miguel, sans trop parler car il ne parle qu'espagnol.

À mon départ de Sahagún la douleur qui s'était accentuée en marchant est moins forte. Les antalgiques que j'avale doivent y être pour quelque chose.

Sur le Chemin bordé d'un côté par la route de l'autre par des champs couleur paille on a planté des arbres pour l'instant chétifs qui ne fournissent aucune ombre. Très vite, j'ai chaud et j'ai envie d'un Coca bien frais. Après quelques kilomètres, j'aperçois au loin un petit édicule que je rêve être celui d'un vendeur de boissons même si je me demande ce qu'il peut bien faire là. Plus je m'approche et plus je dois me rendre à l'évidence : ce n'est qu'un abri bus avec une voiture garée à côté. Alors que je le dépasse sans y jeter un œil, j'entends quelqu'un m'appeler par mon prénom, je me retourne et découvre Rom accompagné de Katrin. D'aimables "pèlerins" en voiture qui se rendent à Santiago leur ont proposé des boissons fraîches. J'y ai aussi droit, et qu'est ce que j'aperçois dans la glacière parmi d'autre boissons ? Des canettes de Coca dont une ne doit attendre que moi. Pour un peu j'embrasserais tout le monde. Le Chemin a ses petits miracles.

Je repars avec Katrin et Rom. Je traîne un peu la patte et j'ai un peu de mal à suivre.

Belcianios del Real Camino est un tout petit village avec 2 bars dont un avec hôtel et une albergue rustique mais sympa. Comme dans d'autres villages de la région les maisons en torchis côtoient de superbes demeures et les chasseurs transportent leurs chiens dans de petites remorques. Que chassent-ils ? Pas le pèlerin, j'espère.

Cet après-midi il y a la fête des retraités au village. À l'auberge il y deux jeunes Italiens très sympas qui font le chemin à vélo, deux Hongrois d'un certains âge, Gisèle et Joseph très discrets avec qui je parle un peu et Martin un jeune Allemand lui aussi très sympa. Le soir, repas copieux en commun puis nous allons tous voir le couché de soleil, ça paraît être un rituel ici. Il est fort beau d'ailleurs, nous sommes sur une hauteur et la vue est superbe. Assis par terre, nous regardons en silence l'obscurité engloutir lentement le paysage.

Revenus à l'auberge c'est participation à la vaisselle.

m.jpg

Le coucher de soleil (on ne voit pas grand chose mais il faut me croire)

 

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Champ d'étoiles (22)

Mercredi 13 août 2003

20me étape (6me de cette année) – De Logroño à Najera- Environ 28 km

Temps beau et chaud avec un ciel voilé le soir.

Parti à 6h30. Logroño a des faubourgs qui n'en finissent pas. Traversée d'un agréable parc avec lac à la sortie de la ville. Dans certains villages le Chemin passent sous les bâtiments par des passages couverts. Il y a des fontaines partout, d'eau de ville ou de source, heureusement car c'est bien utile quand on marche, l'eau tiédit vite dans les gourdes. L'eau de source a ma préférence et de loin, l'autre a un fort goût de chlore. Presque tous les clochers ont leurs imposants nids de cigogne.

Chemin faisant je rencontre Jean-Paul, un viticulteur, parti du Puy en 2 000. En discutant les kilomètres passent plus vite et nous finissons ainsi l'étape. Arrivé à Najera, je vais au refuge. Prix de la nuitée libre, je laisse 10 €. Il y a plusieurs Français plutôt sympas et des Espagnols branchés, piercing, tatouages et maintenant St Jacques, style « Quoi, t'as pas encore fait Compostelle ? » Danielle, une Française qui chemine avec Jean-Pierre est un peu chamboulée, elle a vu un exhibitionniste en traversant un petit village. Le Chemin a ses dangers. À Logroño, une affiche au refuge public recommandait de ne pas partir avant 6h de matin, le quartier n'étant pas sûr.

Après avoir poser mon sac au refuge je vais manger puis faire un tour en ville. Je tente même une petite sieste sur la pelouse au bord de la rivière mais les mouches m'en empêchent. Je trouve un cybercafé et j'envoie des messages à Q***, l***, S*** et E***, j'en profite pour surfer un peu (2 € 50). Quand je décide de visiter le monastère Santa Maria la Real il est trop tard, il n'ouvre que de 16 à 19 h. Je constate aussi que l'entrée du bâtiment est juste à côté du refuge dont celui-ci fait partie. Le monastère est immense. Dommage, je ne le visiterai pas.

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12/10/2015 | Lien permanent

Olé !

En mettant un peu d'ordre dans mes archives j'ai retrouvé cet échange que j'ai eu sur ILYS au sujet de la corrida. Au final, je crois bien que j'ai les ai eu à l'usure parce qu'ils m'ont laissé le dernier mot. À l'époque, et c'est tout à leur honneur, ils ne censuraient pas les importuns comme maintenant. Je vous le livre tel quel, j'ai juste mis mes interventions en rouge pour plus de lisibilité ; c'est un peu long mais on y découvre des choses sur un certain folklore esthétique de la droite. Tout était parti d'une photo du torero Cayeto Rivera Ordoñez en Giorgio Armani.

 

Cayeto Rivera Ordoñez en Armani.jpg


 

  1. 11984

    C’est “traje de luces”, au pluriel. Il est sensé être fait de couleurs vives, c’est juste triste en gris.

  2. Le 06/05/10 à 11:332Cherea

    C’est justement parce qu’il n’a pas de lumières dorées, que j’ai mois luz plutôt que luces, après c’est les goûts et les couleurs, je le trouve assez sobre et beau..et chacun son opinion…

  3. Le 06/05/10 à 12:073M. Nice Guy

    Sobre c’est relatif…
    D’autre part, l’argenté est assez lumineux je trouve. Il y a une connotation d’armure tout en élégance.
    J’espère juste qu’il ne s’est pas fait trainer dans le sable par le taureau…

  4. Le 06/05/10 à 12:554denis l.

    J’aime profondément la tauromachie, mais je n’en suis pas arrivé là sans difficultés, et la tenue polychrome (je songe surtout au rose, mais aussi aux dorures) des toreros a été l’un de ces obstacles. Je trouve cette tenue remarquablement belle.

  5. Le 06/05/10 à 14:065Bébert

    Les toreros sont les derniers grands génies artistiques de notre temps. Les seuls artistes qui prennent de vrais risques, la mort en face.

    Les connards de gauchistes indépendantistes catalans sont à deux doigts de faire interdire la corrida à Barcelone. Je hais la catalogne séparatiste, je hais Barcelone et sa sous-culture festivo-mondialiste, ses putes syphilites, son littoral tout crotté et bétonné, ses places latrinesques où s’échouent tout la jeunesse dread-loqueuse d’europe. Heureusement le roi d’Espagne veille et ne cédera pas, Vive Madrid ! Vive Séville et la Bétique gothique ! Vive Grenade, la gitanie et les ruines des colonies musulmanes ! Vive le Léon et Saragosse la belle !

    Life Style : http://scs.viceland.com/int/v17n3/htdocs/dressed-to-kill-...

    Prions aussi pour José Tomas le dernier des grands esthètes du monde moderne qui a vu la faucheuse de près au Mexique il y a deux semaines, un vrai stigmatisé lui, de 17 centimètres à l’aisne et que l’on ne reverra peut être plus dans une arène ( http://www.lepoint.fr/actualites-insolites/2010-04-27/mex... ) .

    - reportage initiatique, sur l’art de toréer comme José Tomas, sa liberté suicidaire et solaire, son incarnation de l’absence et sa présence désincarnée :

    http://signesdutoro.france3.fr./index.php?page=article&am...

  6. Le 06/05/10 à 16:236J.

    “Barcelone et sa sous-culture festivo-mondialiste, ses putes syphilites, son littoral tout crotté et bétonné”
    >> c’est tout à fait ça Barcelone, je n’ai découvert que récemment, c’est très décevant. Certains Barcelonais sont lucides sur le phénomène, cependant.

  7. Le 06/05/10 à 16:527Cherea

    @denis l.
    Prochainement des chroniques taurines alors que vient de reprendre la saison à Madrid…

  8. Le 06/05/10 à 18:188Khâz

    @1984
    Les gitans toréent souvent en noir et sombre.
    @Bebert
    Le dernier des esthètes, pour José Tomas, c’est un peu exagéré!

    La veste me fait penser à un habit de valet.

  9. Le 06/05/10 à 21:549nenette

    C’est magnifique !
    C’est ni gris ni triste, c’est argenté et ça prend bien mieux la lumière qu’un rose fuchsia ou un rouge sang, peut être même mieux qu’un jaune d’or !
    Très belle photo !

  10. Le 06/05/10 à 22:1510denis l.

    Peut-on être sérieux au sujet de l’Espagne ? Le littoral bétonné, ça commence sous Franco, et j’espère qu’il n’y aura personne ici pour prétendre que la Costa del Sol (ni catalane ni indépendantiste) est moins ou mieux bétonnée que la Costa Brava catalane et supposément indépendantiste.

    Le sentiment de supériorité des Catalans à l’égard des Castillans est, quoique à mon sens puéril et possiblement toxique, partiellement fondé. Le ressentiment – notamment linguistique – des premiers à l’égard des seconds, est parfaitement explicable et assez largement fondé. Il ne faut donc pas s’étonner du résultat. Un parallèle pourrait être établi avec le problème flamand en Belgique. Poids du passé, retour de manivelle, d’un excès à l’autre, toussa…

    (et si certains Catalans en rajoutent sur la corrida par castillanophobie, c’est très con – mes penchants autonomistes alsaciens ne m’entraînent pas à réclamer la prohibition, entre Vosges et Rhin, de la cuisson du cassoulet ou du port du béret – mais cela ne doit pas masquer la proportion croissante d’Espagnols non-catalans hostiles à la tauromachie, phénomène qu’il sera difficile d’imputer à l’indépendantisme)

  11. Le 06/05/10 à 22:1611J.

    le gars est magnifique, aussi, il faut avouer.

  12. Le 06/05/10 à 22:2812J.

    denis l. : vrai, on m’a dit qu’il n’y avait pas de plages à Barcelone sous Franco, mais des barres d’immeubles sur tout le front de mer. Par ailleurs les Catalans font plutôt moins la fête que le reste de l’Espagne et une grande partie du bordel est venu du tourisme charter.

  13. Le 06/05/10 à 23:4113Bébert

    La frénésie anarchique catalane est en partie responsable de l’éclatement de la bulle immobilière de 2008 qui plonge toute l’Espagne dans la merde. Barcelone résiste plutôt bien sa force industrielle faisant tampon.

    aussi Madrid est corrompue, l’état espagnol est organisé de façon calamiteuse et tente de centraliser là où tout se disloque naturellement et séculairement…

    faut pas comparer la Catalogne à la Padanie, Barcelone est construite sur de la paille. trop de tourisme. et puis ce folklore catalan, le point levé, l’étoile et tutti quanti … c’est VRAIMENT insupportable.

  14. Le 07/05/10 à 5:5114Stag

    Vous vous voyez sincèrement porter un pantacourt moule-balles avec des chaussettes blanches montantes, un petit veston cintré et des ballerines ?

  15. Le 07/05/10 à 8:3915Cherea

    Allez quelques précisions sur le torero, il s’appelle Cayetano Rivera et c’est le fils du grand Paquirri et petit-fils de Dominguin et Antonio Ordóñez. Sacré pédigrée…je ne l’ai pas encore vu, mails il parait qu’il est assez élégant…d’autre part, sa filiation et son physique font craquer les minettes, si bien qu’il a été l’étendard d’Armani en Espagne et que maintenant il est passé pour une marque du groupe LVMH…et l’habit de lumière qu’il porte a été conçu par Armani…il ne l’a porté qu’une fois. J’espère que d’autres marques feront pareil.

  16. Le 07/05/10 à 12:0416Gil

    Bébert, vous exagérez… les punks à chien, les drogués, la “sous-culture festivo-mondialiste”, le folklore étoilé, d’accord, mais Barcelone en est-elle victime plus que n’importe grande ville européenne ? Et:
    - le principal parti natio-catalan est un parti conservateur catholique (CiU) – on ne peut même pas vraiment le qualifier d’indépendantiste; la gauche indépendantiste (ERC) reste minoritaire (même si elle est au pouvoir actuellement avec les socialistes);
    - il y a en Catalogne beaucoup d’immigrés et fils d’immigrés du reste de l’Espagne (Andalousie, Galice etc) qui se sentent en majorité espagnols (c’est très net dans le football: les “Espagnols” sont du Real, les Catalans de souche du Barça);
    - chez les Catalans, comme chez les Espagnols, je ne trouve pas beaucoup d’enthousiasme pour la folie multiculturaliste et immigrationniste (beaucoup, même de gauche, n’hésiteront pas à vous dire que les Arabes sont encore en-dessous des Gitans – ce qui, pour un Catalan, n’est pas peu dire…); le paradoxe étant que les plus multiculs sont souvent les nationalistes catalans d’ERC – leur problème reste Madrid, alors même que la Catalogne est sous la menace d’une invasion migratoire sans précédent.

    Et Barcelone reste une ville superbe !

  17. Le 07/05/10 à 12:4217Gil

    @denis l.: “Le sentiment de supériorité des Catalans à l’égard des Castillans est, quoique à mon sens puéril et possiblement toxique, partiellement fondé. Le ressentiment – notamment linguistique – des premiers à l’égard des seconds, est parfaitement explicable et assez largement fondé.”

    Vous savez, je n’ai jamais approfondi ce problème, mais j’en viens parfois à douter de tout cela… je ne parle pas tant du sentiment de supériorité que du ressentiment – et notamment linguistique: en Catalogne, on nous matraque le fait de l’oppression linguistique espagnole-franquiste, et pourtant, malgré l’interdiction officielle (?) de parler catalan pendant 45 ans, il semble que les Catalans n’ont jamais cesser de le parler (comparer avec le breton en France); tous le Catalans de souche parlent catalan avant tout; je connais bien des personnes nées bien avant la mort de Franco qui ne parlent que catalan et baragouinent difficilement le castillan; dans certains villages, on entend un catalan qui semble venu du fond des âges… si oppression il y a eu, elle semble avoir été assez légère. Je dis souvent à un Catalan de mes proches, indépendantiste et républicain: “à mon avis, si la Catalogne continue à parler catalan, c’est parce que l’Espagne a presque toujours été une monarchie…”

  18. Le 07/05/10 à 18:0918Pharamond

    En gris, en rose ou arc-en-ciel, je hais la tauromachie. La souffrance n’a jamais été un spectacle pour moi, même celle que pourrait éprouver le pire des salopards, alors celle d’un taureau qui n’a rien demandé à personne… Un certain folklore culturel de la droite peut-être.

  19. Le 07/05/10 à 18:1219Vae Victis

    Le spectacle de la vie et de la mort.

  20. Le 07/05/10 à 18:5620Pharamond

    Sans moi.

  21. Le 07/05/10 à 22:5021denis l.

    @ Pharamond : Je ne vois pas de souffrance du taureau. Je n’ai pas dit qu’il n’y en avait pas : j’ai dit que je ne la voyais pas. Ce que je vois en revanche, c’est la noblesse de cette mort (quand mort il y a). Pas d’anthropomorphisme (ceci ne vous est pas spécialement destiné, c’est plus général) : les animaux ne meurent pas entourés de l’affection des leurs, ils crèvent. Comme des chiens, si j’ose dire. La chasse (et la corrida) donnent non seulement sens (après tout, la mort d’un poulet en batterie a du sens) mais dignité à cette mort. Et si l’on parle de chasse à courre ou de corrida, alors non seulement il y a sens et dignité mais il y a beauté. Et je ne parle là que du versant “animal” de la corrida. Il y a aussi, et avant tout, le versant “humain” : la volonté de vaincre sa peur, le travail, le risque consciemment encouru, l’hommage aux traditions, la volonté de dépasser ses aînés ou ses confrères et concurrents, la volonté de se surpasser, tout simplement.

    Ceci étant dit, moi aussi je suis contre les mauvais traitements aux animaux… Les petites vieilles qui interdisent à leur pauvre chien le moindre contact avec un congénère, et qui traversent la rue pour éviter tout risque de croiser un autre chien, voilà de la cruauté. Les gens qui privent leur chien d’une laisse fixe, et ne leur font connaître que la laisse rétractable (croyant être plus “libéraux”!), voilà de la cruauté. Le poulet en batterie plus haut mentionné, sur sa feuille A4 d’espace réglementaire, voilà de la cruauté. Les économies de bout de chandelle sur les budgets de sacs poubelle Vigipirate, qui entraînent l’achat de sacs sans liens coulissants, et dont le “lien” vaguement attaché se… détache, traîne sur le macadam, et va s’enrouler autour de la patte d’un pigeon (il y a des centaines, voire des milliers de pigeons parisiens qui perdent une patte pour cette seule raison, et je suis très sé

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