statistiques web gratuite

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

12/01/2016

Dépôt de bilan

Avertissement avant fermeture

Avertissons les clandestins : mesdames, messieurs, le pays sera bientôt à vous, mais ce paradis né de notre volonté deviendra aussi une friche.

L'Histoire regorge de ces peuples fuyant la misère et la guerre, et poussant devant eux les peuples autochtones à fuir à leur tour. Nous pensions ne plus avoir à vivre de telles migrations. Voilà que, cette fois, notre porte est enfoncée. Et le pire, le plus désagréable, c’est que nous avons les moyens de refouler ces populations, mais que l’ennemi, le plus ardent à nous voir disparaître par la fuite, la mort ou la noyade dans le mélange avec l’envahisseur, le pire ennemi n’est pas devant nous, mais derrière, dans notre dos, dans nos médias, dans nos oreilles et nos yeux.

Ils nous donnent à voir des enfants sauvés in extremis de la mort, pour attendrir Margot, mais que ne nous donnent-ils pas à voir et entendre tout ce qui nous sépare de ces clandestins envoyés pour nous anéantir par des machiavéliques, sachant qu’ils ne gagneront pas la guerre par les armes mais par l’apitoiement et la bonne conscience, ces dévoiements de la compassion.

La lâcheté commence là où s’arrête la raison, la raison s’arrête là où commence la bonne conscience. Oui, ces humains sont en souffrance, oui, il est sans doute nécessaire de faire quelque chose, mais chez eux, pas chez nous. Que nos marchands d’armes leur vendent de quoi se défendre, que nos surplus alimentaires invendus ou à des prix tuant nos agriculteurs soient rachetés et donnés à ces populations, mais là-bas, pas ici. Et qu’enfin ces populations prennent la mesure de leur misère et, comme le firent nos ancêtres, comme le font encore nos paysans qui se révoltent contre l’injustice faite par les marchands, se révoltent à leur tour et se donnent des institutions et des hommes politiques dignes.

Je condamne à la honte nationale tous les journalistes télévisuels, tous les politiques qui participent au vol de l’âme française en voulant nous faire croire que ne pas accepter sur notre sol ces clandestins est un manque de générosité et un crime raciste. Ce qui est raciste et crime contre la générosité, c’est de ne pas voir que notre culture, nos institutions fondent devant le nombre. Nous payons des allocations parce qu’il y a encore un nombre assez important de travailleurs qui paient impôts et prélèvements sociaux. Mais bientôt, très bientôt, il n’y aura plus assez de cotisants pour payer pour tous ceux qui profitent du système. Il va s’écrouler parce que le nombre de profiteurs sera plus grand que celui des payeurs.

Alors, avertissons les clandestins : mesdames, messieurs, le pays sera bientôt à vous, mais ce paradis né de notre volonté deviendra aussi une friche.

Henri Lautréamont

Source : Boulevard Voltaire

11/01/2016

Si les Ricains n'étaient pas là...

Orateur en petite forme mais discours limpide :

Martin PELTIER - Pourquoi être anti-américain ?

 

10/01/2016

La vache !

Toute la poésie de l’industrie laitière en 5 minutes. On me dira que l'on ne fait pas d'omelettes sans casser d’œufs, que les images sélectionnées sont choisies pour impressionner, qu'il ne faut pas généraliser, que l'auteure du petit film a l'air d'une bobo de compétition, qu'il faut bien se nourrir etc. C'est peut-être vrai, mais tout de même...

 

Produits laitiers, nos ennemis pour la vie ( DAIRY IS F**KING SCARY! The industry explained in 5 minutes)

Une vidéo d'Erin Janus proposée par francemutation

Cette vidéo comporte des images qui peuvent choquer.

07/01/2016

Réveil difficile

En me promenant sur le net je découvre le site fièrement intitulé "Le Réveil Français" avec en exergue la phrase de Jean Jaurès "À celui qui n'a rien, la patrie est son seul bien." Citation devenue célèbre dans notre milieu depuis son emploi en 2009 sur l'affiche de Louis Aliot pour les élections européennes. Sauf que cette belle formule est très probablement apocryphe, ce qui est regrettable. D'autre part le site à une interface en anglais, on a droit à du "search the site" et du "Previous Entries" ; rien de bien grave mais pour du réveil français, ça me gène un peu. Vous allez me dire que vu le capharnaüm que constitue mon blog je devrais être plus indulgent...

 

Histoire... (132)

Entretien avec Manuel Gomez

 

En mai 1945, 102.481 Russes ont été livrés à Staline par de Gaulle et son gouvernement de gauche : ils ont tous été exécutés !

Conformément aux accords de Yalta, signés entre Staline, Roosevelt et Churchill, alors que de Gaulle et la France sont totalement ignorés, un véritable holocauste s’est produit à la Libération. À la différence de la Shoah, l’extermination de plus de 3 millions de Russes a fait l’objet d’une totale omerta de la part de tous les États. Ce fut un crime contre l’humanité qui dépasse tout ce que l’on a connu et condamné depuis.

Les uniques responsables de cet holocauste sont l’URSS et Staline, mais avec la complicité des gouvernements de la Grande-Bretagne et des USA tout d’abord, puis de la France et des autres pays alliés, à l’exception du Liechtenstein.

Lors de l’invasion de l’URSS et de la Pologne, les Allemands capturèrent près de trois millions de Russes, avec femmes et enfants, pour les déporter comme travailleurs dans les différents pays envahis par l’Allemagne. Il ne s’agissait pas uniquement de Russes mais également de Cosaques, Caucasiens, Baltes et Ukrainiens, notamment les dizaines de milliers qui avaient émigré afin de trouver des conditions de vie meilleures que dans leur pays. Nombreux avaient été enrôlés dans la Wehrmacht, surtout ceux qui étaient contre le régime communiste instauré par la révolution d’Octobre. Ils s’étaient regroupés dans l’armée Vlassov afin de poursuivre la lutte.

Tous ces pays cédèrent aux exigences de Stalin, qui demandait que ces trois millions de Russes lui soient livrés de gré, mais surtout de force, car il n’y avait que très peu de volontaires sachant le sort qui les attendait. Des dizaines de milliers furent abattus immédiatement, dès leur arrivée sur le sol russe, et des centaines de milliers, plus malchanceux, dirigés vers les goulags sibériens où ils subirent les pires atrocités avant de disparaître.

Quel fut le rôle de la France dans cet holocauste ?

Totalement ignoré lors des accords de Yalta, de Gaulle est reçu, à sa demande, par Staline et signe un accord séparé à la date du 29 juin 1945 (archives du Foreign Office). Avec l’appui du Parti communiste – qui lui a permis, comme on le sait, de prendre le pouvoir à la Libération –, il accepte sans état d’âme d’expédier vers l’URSS (donc vers la mort) tous les Russes détenus en France, consentants ou non.

Aussitôt, le général Dragoun et des officiers du NKVD débarquent à Paris. Tous les Russes prisonniers sont dirigés vers un camp de regroupement plus important, le camp de Beauregard situé à La Celle-Saint-Cloud, où ils se trouvent sous le contrôle du NKVD. Il y règne un régime de terreur et de tortures que la police et la gendarmerie françaises sont tenues d’ignorer sur ordre supérieur de leur hiérarchie. Ces plus de 100.000 internés sont transportés vers Odessa, via Marseille. Ceux qui se révoltent sont abattus sur place.

Le ministre de l’Intérieur, Édouard Depreux (SFIO), et celui des Affaires étrangères, Georges Bidault (MRP), ont énergiquement protesté, en 1946, auprès des Russes contre ces assassinats sur le sol français mais ils ont dû s’incliner sur ordre du vice-président du Conseil, Maurice Thorez.

Fort heureusement, et contrairement aux Anglais, les officiers supérieurs français, dans leur grande majorité, se sont opposés aux expulsions des Russes non volontaires. Ils ont fait obstruction aux ordres reçus du gouvernement gaulliste et ont sauvé ainsi la vie de milliers de Russes.

En 1947, le gouvernement de Paul Ramadier (SFIO) a fait investir, par 2.000 soldats et CRS, le camp de Beauregard, où aucun officiel français n’avait pu pénétrer depuis deux ans. Avez-vous entendu une voix s’élever pour les accuser de cet holocauste ?

(Sources : Les victimes de Yalta, par Nikolai Tolstoy, 1980)

Source : Boulevard Voltaire

 

 

06/01/2016

Dans la rue

Sorte de caméra cachée destinée à nous faire réviser nos a priori l'expérience sociale est à la mode sur le net. Comme cela nous vient des USA on y pleure beaucoup mais elles n'en sont pas moins parfois surprenantes. Celle-ci par exemple nous montre un faux SDF jeune ramasser beaucoup plus d'argent qu'un vrai mais adulte deux mètres plus loin. Celui-ci ira tout de même acheter un pizza pour son voisin d'infortune. On y voit aussi des Américains pourtant censés être islamophobes donner à un adolescent visiblement d'origine arabe plutôt qu'à un vétéran dans le besoin. On y voit encore une policière noire gifler un homme blanc sans raison (imaginez un policier blanc faire la même chose à une femme noire). 


Quand la policière le gifle, le SDF reste calme... par momentbuzz  

Tête de Maure !

Notre camp se refuse à ce point à accepter que la messe soit dite pour notre pays qu'il en vient à interpréter le moindre signe semblant aller dans son sens comme un preuve indéniable de redressement. Après la "victoire" du FN aux régionales nous avons droit au sursaut du noble peuple corse. Je comprends que le mot "nationaliste" puisse être doux à nos oreilles, mais la clique parée de ce qualificatif, qui vomit la métropole tout en lui soutirant des aides, ne souhaite que de s'affranchir de la tutelle française pour devenir un état vivant sous perfusion de Bruxelles comme les pseudo nations des Balkans nés de la partition de la Yougoslavie. Quelques îliens ont saccagé une salle de prière musulmane. La belle affaire ! Les Corses ont tout simplement pris l'habitude de ne pas compter sur les pouvoirs publics pour régler leurs affaires. Ce phénomène n'est nullement la manifestation d'une prise de conscience salutaire mais seulement un mouvement d'humeur xénophobe et un avant-goût de la guerre civile qui menace. Ne m'en veuillez pas si je ne parviens pas à m'en réjouir.