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16/03/2013

Le jeu des deux images (180)

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.

 

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15/03/2013

Trimestres

Et toute la France s’en est foutu...

J’ai publié sur la Toile le texte d’une conférence intitulée « l’Homme remplaçable ».  Je m’efforce d’y montrer que l’homme du Grand Remplacement, l’homme déculturé, décivilisé, désaffilié, dénationalisé, remplaçable à merci, l’homme que produisent en masse l’enseignement de l’oubli et l’industrie de l’hébétude, cet homme-là était celui que voulait l’économisme global, avec son souci d’interchangeabilité universelle. On ne répare plus, on remplace. On a commencé par remplacer les pièces, puis on a remplacé les objets, on en est venu à remplacer les hommes et à présent on remplace les peuples. La dimension économique du remplacisme ne m’échappe absolument pas. Et je suis bien conscient du rôle qu’a joué et continue de jouer le patronat - lequel déjà n’avait pas témoigné dans son ensemble, lors de la dernière guerre, un patriotisme excessif - en faveur de l’immigration de masse, de la contre-colonisation et du Grand Remplacement. D’un autre côté, je proteste de tout mon être et de toutes mes phrases contre l’économisme, la soumission de tous nos gestes, de toutes nos ambitions, de toutes nos pensées, de toutes nos idées de la patrie, et d’abord de la politique, à l’économie, à la seule conception économique de la vie. Songez qu’on a voulu nous convaincre qu’il fallait changer de peuple et accueillir à bras ouverts la contre-colonisation pour sauver notre système de retraite ! Quand il s’agit de l’indépendance de la patrie, je me fous du système de retraite. Et toute la France s’en est foutu tant qu’elle a été une nation et pas une zone d’influence économique, un marché. J’en parle d’autant plus à mon aise que de retraite je n’en ai pas, pratiquement. Ni de capital, d’ailleurs. Mais je refuse de soumettre toute ma vie à l’économie, et la France ferait bien d’en faire autant.

Renaud Camus, in revue Éléments numéro 144

Source : Zentropa

14/03/2013

Musique (302)

 

Fleetwood Mac

Everywhere

 

Imagine Dragons

Radioactive

 

Muse

Supermassive black hole

Habemus papam

Hier, j''étais en train de lire quand les cloches de la cathédrale Saint André se sont mises à sonner à toutes volées. J'ai compris que nous avions un nouveau pape. Aussi exceptionnelle et éphémère qu'ait pu être cette reconquête sonore de la ville, elle m'a rendu heureux un instant, naïvement et irrationnellement mais sincèrement heureux. Ce n'était pas tant ce qu'elle annonçait, depuis que les papes démissionnent je m'attends à tout, mais l'effacement des autres bruits de la ville, circulation, sirènes, pas, voix... face au son pluriséculaire des cloches qui n'aurait jamais dû cesser de rythmer les moments de la vie sous nos latitudes.

13/03/2013

La traîtrise ordinaire

Le magazine Marianne titre en première page « Hollande a-t-il déjà échoué ? » Pour y répondre on aimerait tout d'abord savoir ce qu'il était censé tenter de réussir.

Redresser le pays ? Il n'a même pas essayé, il s'en moque car il n'est pas là pour ça. Peut-on parler d'échec quand on a rien fait ?

Être assez populaire pour ne pas se faire éjecter comme son prédécesseur ? C'est trop tôt pour le savoir, il peut encore se passer tellement de chose d'ici les prochaines élections présidentielles, à supposer qu'il se porte candidat.

Faire ce pour quoi il est réellement là, c'est à dire continuer le travail de sape de la nation tout en conservant un semblant de paix civile ? Il ne s'en sort pas trop mal pour l'instant, il est vrai aidé par la crise qui rend frileux.

 

Wake up !

 

Benny Goodman

Sing, sing, sing

 

09/03/2013

Laurel et Hardy contre la Bête du Gévaudan

Pendant 3 ans, de juin 1764 à juin 1767, une "bestia", comme le disaient à l'époque les habitants du Gévaudan, tue une centaine de personnes pour le double d'attaques avant d'être abattue. Son identité exacte reste une énigme.

Le mystère de la Bête du Gévaudan de Carsten Oblaender est un documentaire américain sur l'enquête d'un cryptozoologue et d'un ancien policier pour découvrir ce qu'était la Bête du Gévaudan. Les faits sont vieux de deux siècles et demi, mais en quelques jours ils pensent avoir trouvé la solution : c'est une hyène (rayée ou tachetée, ce n'est pas clair) dressée par le marginal Jean Chastel, hypothèse qui n'a pas attendu leur arrivée pour exister et qui a été maintes fois réfutée. Leurs investigations sont assez comiques ; aucune méthode, des partis pris curieux (pourquoi parler d'emblée d'un loup-garou alors que l'on nomme habituellement la créature "la Bête" ? Pourquoi attacher autant importance à l'analyse balistique ?), des erreurs grossières (l'hyène n'est pas un canidé, le témoignage de Jacques Portefaix décrivant la Bête comme un homme est un faux connu comme tel depuis longtemps), l'oubli impardonnable, surtout de la part d'un policier, d'étudier l'autopsie de la Bête qui a été conservée et qui montre qu'elle n'était ni une hyène ni un loup, et j'en passe. Reste le plaisir de découvrir les lieux où l'affaire s'est déroulée, les personnages pittoresques et la vision de la France et de son histoire par deux Américains énervants mais malgré tout sympathiques.

Pour ceux que cela intéresse il existe de nombreux sites sur le net sur cette affaire, il y a beaucoup de copier/coller mais certains apprentis enquêteurs se distinguent par une vision différente et sérieuse.


La Bête du Gévaudan (Documentaire 1 ère Partie) par ManuLePhenom


La Bête du Gévaudan (Documentaire 2 ème Partie) par ManuLePhenom