09/11/2010
Musique (207)
John Dowland
The sick tune
11:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
08/11/2010
C'est vu
Eden Lake de James Watkins est un survival, mais un survival britannique c'est ce qui fait toute la différence. Pour faire bref, c'est l'histoire d'un couple de bobos citadins parti se ressourcer brutalement mis à l'épreuve du réel. Ça se fera sous la forme d'une rencontre avec une bande d'adolescents engendrés par les prolétaires d'un trou perdu. Eh oui, les pauvres ça peut être bêtes et méchants.
20:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
06/11/2010
Récréation (32)
Pour les amateurs d'humour absurde je recommande la lecture de la lettre documentaire 484 de Philippe Billé.
19:45 | Lien permanent | Commentaires (2)
Lucy
En lisant les paroles de la dernière chanson de Christophe Maé, C'est ma terre, on pourrait presque, malgré la pauvreté du contenu, prendre ça pour un chanson nationaliste ou identitaire bien de chez nous :
On oublie un peu facilement d'où l'on vient, d'où l'on part
Ça nous arrange de perdre de temps en temps la mémoire
Quand il y a danger on regarde son voisin, c'est bizarre
Sans voir qu'on l'a peut-être laissé trop longtemps à l'écart
Y a-t-il un coeur qui s'élève pour que tout le monde soit d'accord ?
Un coeur qui prenne la relève
Quelqu'un qui vienne en renfort
C'est ma terre où je m'assois
Ma rivière, l'eau que je bois
Qu'on n’y touche pas
C'est mes frères autour de moi
Mes repères et ma seule voix
Qu'on n'y touche pas
On alimente nos peurs qu'en détournant nos regards
De nos belles valeurs qui ne seraient pourtant qu'un devoir
Et si on apprenait à se prendre la main
Pas se voir autrement que des inconnus qui ne font rien, des histoires
C'est ma terre où je m'assois
Ma rivière, l'eau que je bois
Qu'on n’y touche pas
C'est mes frères autour de moi
Mes repères et ma seule voix
Qu'on n'y touche pas, non
Et puis en voyant le clip on est tout de suite rassuré, la seule terre qui vaille d'être défendue c'est celle d'Afrique.
D'ailleurs, Rama Yadé nous explique :
« Moi je pense que non seulement l'homme africain est entré dans l'histoire, mais il a même été le premier à y entrer. Parce que je connais la culture. »
Et il faut la croire parce que c'est une ministre. Bon, en fait c'est la Secrétaire d'Etat chargée des Sports auprès de la ministre de la Santé et des Sports, et elle n'a appris que très récemment la signification du mot "amerrir" mais c'est tout de même Madame la Ministre.
14:15 | Lien permanent | Commentaires (4)
05/11/2010
Le tour de France du patrimoine (choix absolument arbitraire) : Les Ormes (86)
19:11 | Lien permanent | Commentaires (0)
04/11/2010
Automne
23:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
Histoire... (53)
France "virile" : Des femmes tondues à la libération Fabrice Virgili Présentation de l'éditeur : « La France sera virile ou morte », a-t-on dit en 1944. Virile, elle le fut, et les tontes des femmes accusées de collaboration en témoignent… Sur cet épisode de notre histoire qui, aujourd’hui encore, continue de susciter un malaise, on croyait tout savoir : ayant couché avec l’ennemi, des femmes avaient été violemment punies, dans un très court laps de temps, par des foules vengeresses et des résistants de la dernière heure. Ce livre révèle pourtant que la moitié seulement de ces femmes avaient eu des relations sexuelles avec les Allemands ; que les tontes n’eurent rien d’éphémère, puisqu’elles s’étalèrent de 1943 à 1946, deux dates qui montrent que, parmi les tondeurs, il y eut aussi des résistants ; que les autorités, après la Libération, « couvrirent » cette pratique ; et que 20 000 personnes environ furent touchées, de tous âges et de toutes professions, dans la France entière. Que s’est-il réellement passé ? Pourquoi des femmes ? Et quel sens donner à cet événement au jour du 60e anniversaire du débarquement et de la Libération ? L'auteur vu par l'éditeur : Fabrice Virgili, historien, chargé de recherche à l’Institut d’histoire du temps présent (CNRS), est également l’auteur, avec L. Capdevila, F. Rouquet et D. Voldman, de Hommes et femmes dans la France en guerre, 1914- 1945 (Payot, 2003). |
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