Le "tri-sélectif" entre enfin dans les moeurs !

 

Aéronefs (12)

 

 

Histoire... (36)

 « Une fois j'ai tué un SS très gonflé qui, quand je lui ai dit que j'allais le tuer s'il ne révélait pas quels étaient ses signaux de retraite, m'a dit " Vous ne me tuerez pas, a déclaré ce kraut. Parce que vous avez peur de le faire et parce que vous êtes une race de bâtards dégénérés. De plus c'est contre la Convention de Genève."

Quelle erreur tu as commise, frangin, lui ai-je dit et je lui ai tiré trois balles dans le ventre rapidement et puis quand il est tombé à genoux, je lui ai tiré une balle dans le crâne ce qui fait que sa cervelle lui est sortie par la bouche ou je crois par le nez.

Le SS suivant que j'ai interrogé a magnifiquement parlé. »

Ernest Hemingway

Lettres choisies 1917-1961

 

Ce qu'il y a de chouette avec les fascistes, c'est qu'on peut commettre des crimes de guerre sur eux, s'en vanter et continuer à être considérer comme un gars sympa et un humaniste. Quand on vous dit que les fascistes ne sont pas des êtres humains...

L'UMP contre Xynthia (3)

Après une minutieuse enquête de Jean-Louis Borloo ministre de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable etc. qui n'a pas hésité à payer de sa personne, une synthèse nuancée à été rédigée.

 

Nicolas Sarkozy, Président de la République française, Co-Prince d'Andorre, époux de Carla Bruni etc. en a tiré les conclusions qui s'imposent et a décidé de demander l'aide de son pote Barack Obama pour détruire les résidences bâties en zone inondable.

Histoire... (35)

La Bible à l'épreuve de l'archéologie :

La Bible, entre mythe et réalité

Partie 1 Les murs s'écroulent : 1/3, 2/3 et 3/3

Partie 2 Un Dieu jaloux : 1/3, 2/3 et 3/3

Partie 3 La Terre Promise : 1/3, 2/3 et 3/3

Partie 4 Souvenez-vous de Sion : 1/3, 2/3 et 3/3

Partie 5 Salomon : 1/3, 2/3 et 3/3

Partie 6 La plume des Scribes : 1/3, 2/3 et 3/3

Une passionnante enquête de John McCarty.

Amazon avec un Z comme dans nazi

Où l'antisémitisme va se nicher tout de même : à la page consacré au livre Sonderkommando : dans l'enfer des chambres à gaz de Shlomo Venezia préfacé par Simone Veil, on peut lire en guise de présentation du produit :

Pilier de la gastronomie populaire, la pomme de terre acquiert aujourd'hui ses lettres de noblesse. Belle de Fontenay, ratte du Touquet, bonnotte de Noirmoutier, vitelotte ou pomme de terre primeur de l'île de Ré, elle conquiert peu à peu les tables branchées et toquées pour faire valoir sa modernité. Histoire, sociologie, botanique et gastronomie se mêlent dans cet ouvrage pour nous faire redécouvrir ce légume incontournable au succès mondial, et aux qualités gustatives et diététiques méconnues. Une cinquantaine de recettes gourmandes, entre plats traditionnels et créations modernes, viennent compléter les textes des meilleurs spécialistes de la pomme de terre. Un beau livre à la gloire de la patate d'antan comme des savoureuses AOC d'aujourd'hui.

Et qu'on ne me dise pas que ce n'est pas fait exprès !

Les trompettes (4)

Coincé dans les embouteillages, j'écoute Jean Pascal Méral secrétaire du SNES FSU pour l'académie de Bordeaux, commenter les conclusions de Luc Chatel des états généraux sur la violence scolaire. Après avoir dénoncé les pseudo réformes à venir, Monsieur Méral explique que l'on arrivera à rien sans s'en prendre aux causes.

Premier point : aujourd'hui la violence est partout dans la société : licenciements, précarité, difficulté économiques et... c'est tout. C'est curieux, mais j'ai du mal à imaginer des établissements scolaires pris d'assaut par des parents récemment licenciés accompagnés par leur progéniture. Quand il a parlé des causes j'avais autre chose en tête.

Deuxième point : la répression ne sert à rien, il faut plus de personnel dans les établissements. Comme tout bon syndicaliste, il se doit de réciter l'inusable mantra sur le manque de moyen accordé par l'état. Que l'Éducation national soit le premier budget de la nation pour le résultat que l'on connaît ne semble pas l'interpeller, comme on dit.

L'immigration massive et incontrôlée, l'échec de l'intégration des nouvelles populations (ne parlons pas d'assimilation), le développement du communautarisme et des zones de non-droit, le rejet de la société française et tout ce qui paraît la symboliser par les ''jeunes'', l'enseignement dispensé par des professeurs majoritairement de gauche à l'aide de manuels en conformité avec l'air du temps, la régression des sciences humaines dans le programme (quoique quand on voit ce qu'elles sont devenues on se dit que ce n'est peut-être pas une si mauvaise chose) au profit des matières rapidement utiles pour une société devenue marchande, une société du spectacle et de la superficialité, une classe politique qui n'inspire que répulsion, la fin de tout repère hormis l'argent... il y avait pourtant de quoi débattre pendant les états généraux ou les réunions syndicales. Eh bien non, paralysés par leur idéologie et la peur de diverses associations qui surveillent leurs moindres propos, ils discutent sur du vent, histoire de donner l'impression d'être utiles, de justifier leur pitoyable existence, alors que le pays sombre inexorablement.