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25/06/2024

Musique (685)

you deserve so much better

boone

Commentaires

Vote, ne vote pas :
Dans tous les cas,
Tu t'en repentiras.

Version Franjo :
https://www.youtube.com/watch?v=C4bdMbUspz8

Et ici, on a presque le commentaire perpétuel :
https://www.youtube.com/watch?v=e4oRcQtzybc

Écrit par : BR | 26/06/2024

Une des trop nombreuses chaînes de la résistance cliqueuse et quémandeuse diffuse un reportage montrant un candidat rassembliste en quête de voix sur un marché. La jovialité est forcée ; la cordialité, surjouée. Dégoût à l'idée que l'individu, comme tous les autres de son espèce dans *tous* les partis, trahira sans honte ces braves gens, aussi simples que crédules, dès le lendemain des résultats. En face, ce n'est pas joli, mais de l'autre côté de la barricade, le mélonisme n'est pas plus décent.

Écrit par : BR | 27/06/2024

BR > Les deux vidéos sont très réussies, Franjo montre qu'il est plus malin qu'il n'y parait et Jade Grandin est devenue maitresse dans l'art de la langue de bois.

Le politique ne sent pas toujours bon même quand elle sert à quelque chose, mais maintenant que ce n'est plus qu'un hochet pour la population c'est devenu pestilentiel.

Écrit par : Pharamond | 27/06/2024

Je ne suis pas certain qu'on y joue de la musique, à peine du fond sonore pour FPS brutal façon *Painkiller*, mais j'aime à apprendre l'existence, grâce à Counter-Currents, d'une manifestation intitulée "Eternal Hate Fest" -- le nom a un p'tit côté Feric J. :
https://counter-currents.com/2024/06/eternal-hate-fest-black-metal-without-political-correctness/
Une fois par an, c'est probablement assez. ;-)

Écrit par : BR | 28/06/2024

BR > Le metal arrive juste après le free jazz sur le podium des "musiques" inécoutables pour moi. Je ne sais quoi ajouter.

Écrit par : Pharamond | 28/06/2024

@Pharamond : Même avis en y ajoutant le rap -- j'ai apprécié *Ghost Dog* *malgré* l'audio.
J'ai trouvé l'entretien amusant et instructif. Par curiosité, j'ai écouté quelques *secondes* de deux groupes mentionnés et je m'en tiendrai là. Tu auras bien deux ou trois visiteurs qui seront intéressés.

Écrit par : BR | 28/06/2024

BR > Le rap c'est pour la troisième marche du podium.
La rubrique "Musique" est parfois proche d'un cabinet des curiosités ;-)

Écrit par : Pharamond | 28/06/2024

On sait les titulaires d'une c.n.i. de l'euroGau "Fwansse" prompts à dire leur mépris pour les journalopes tout en obéissant à leurs ordres à chaque occasion. Dans le même esprit, caractère réjouissant de ce graphique :
https://static.latribune.fr/article_body/2398733/sondage.jpg
Ainsi, un électeur sur quatre entend obéir aux consignes données par des autorités forcément morales.
Parmi les trois sur quatre qui prétendent n'en tenir aucun compte, combien de menteurs ?

Écrit par : BR | 29/06/2024

foutriquet 2.0 rend fous les ceusses qui, au lieu de commenter ses mauvaises actions et ses incohérentes déclarations, devraient plutôt réfléchir à tous les moyens de s'en délivrer. Jusqu'à l'ordinairement très estimable Dalrymple qui, sur ce sujet mineur, n'est pas loin d'énoncer des sottises, en tout cas des platitudes dignes d'un béhéfémiste ou d'un tévéhèliste :
https://www.takimag.com/article/the-mind-of-macron/

Écrit par : BR | 29/06/2024

BR > Mais qui dit la vérité quand il est sondé ?

Je dirais que ce sont plutôt des platitudes, mais la situation folle - et pourtant sans fantaisie - s'y prête.

Écrit par : Pharamond | 30/06/2024

Drieu la Rochelle : *Une femme à sa fenêtre*
DRALN : *Une jeune femme, avec chat, à sa fenêtre*
Jolie aussi, la mairie du Bokor.

Écrit par : BR | 30/06/2024

BR > Merci.

Écrit par : Pharamond | 30/06/2024

Un vil pamphlétaire assez connu jugeait récemment utile de répondre à un grand éditorialiste qui, grassement payé par un important torchon soutenant avec courage le régime contre ses rares détracteurs, se vantait d'alerter depuis des années, au mépris des risques de représailles fascistes, l'opinion *contre* la police -- en nouveau Rousseau qu'il croyait être, il avait d'ailleurs, au terme d'une longue observation de la société, forgé cette maxime décapante et culturelle : "Tout homme naît bon ; la police le corrompt." (il avait sans doute résisté à la tentation d'ajouter " ; et vive Méchankron !", qui aurait trahi une certaine partialité.)
Le billet du méchant, manifestement animé d'intentions mauvaises, évoquait l'étrange atmosphère suscitée par les crimes, de plus en plus nombreux, de plus en plus atroces aussi, commis en très grande majorité par des oiseaux migrateurs s'en prenant à de paisibles animaux sédentaires tels que les boeufs, les veaux, les moutons, les autruches et les termites :
//
Ce que je sais, ce que je sens plutôt, c'est que devant l'insécurité grandissante et insaisissable, où la violence de droit commun et la violence politique finissent par se rejoindre pour fermer le cercle infernal, devant cette menace informe et monstrueuse, la peur s'installe chez les honnêtes gens et qu'on serait certainement étonné de constater combien ils sont nombreux à s'effrayer, de toutes classes et de tous âges, si toutefois on parvenait à les compter.
Encore cette peur-là est-elle nette. Peur d'être cambriolé, volé dans la rue, attaqué la nuit lorsqu'on revient chez soi, blessé, humilié -- voyez les statistiques qui grimpent de façon effarante --, peur de ne plus pouvoir travailler à sa guise à l'université ou à l'usine, si l'on croit encore à la nécessité du travail, peur de ne plus pouvoir sortir ou prendre la route sans avoir consulté d'abord le programme des manifestations, peur pour sa famille et pour ses biens.
//
Pour un peu, on devinerait l'action occulte des sinistres Morzi, peut-être même aussi celle des Maurezi, dans ce terrifiant tableau qui méritait des couleurs plus sanglantes, en tout cas plus vives ; l'auteur, trop civilisé, avait probablement devancé les interventions du secrétariat de rédaction, département ordinairement composé de censeurs vivrensemblistes, d'effaceurs diligents et d'aveugles adeptes du pastel -- bref, de gauchistes se prenant pour des intellectuels.
Notre esprit chagrin énumérait ensuite quelques-unes des exemplaires inversions de nos temps de Kali-Yuga, pour laisser au lecteur le soin de compléter une liste sans fin de situations anormales dans une société saine, normales dans une société malade. Prudent, il ne formulait aucune réflexion sur la complicité objective des systèmes politique, judiciaire et merdiatique dans cette situation qui devrait prendre fin avec l'imminente disparition des espèces locales. Il terminait son billet avec cette image : celui qui a le tort de voir la réalité telle qu'elle est doit, se contemplant dans le miroir, y découvrir le terrifiant visage d'une brute digne des Heures Les Moins Lumineuses De Notre Histoire. La moralité était implicite : celui qui avait des yeux pour voir devait les fermer -- peut-être même les crever -- pour mieux écouter la société et revêtir ensuite le masque préféré de notre grande époque, celui de l'imbécile heureux, obéissant et surtout souriant -- un "smiley" en un mot.
Admirable tour de force et de magie, en vérité, que cette mauvaise conscience *fabriquée* par un ordre social inverti faisant du criminel une victime, de la victime un coupable, et de l'esprit sain un mauvais citoyen à reprogrammer.

Y'aurait quelques considérations rigolotes à énoncer, mais à quoi bon ? Un peu de Platon, plutôt.

Dans un passage de *La république* (VIII, xiv, trad. Chambry), Platon rappelle, par l'intermédiaire de Socrate, les conséquences de l'esprit de liberté quand il est poussé à l'excès :
//
Je veux dire, répliquai-je, que le père s’accoutume à traiter son fils en égal et à craindre ses enfants, que le fils s’égale à son père et n’a plus ni respect ni crainte pour ses parents, parce qu’il veut être libre ; que le métèque devient l’égal du citoyen, le citoyen du métèque, et l’étranger de même.

C’est bien ainsi que les choses se passent, dit-il.

À ces abus, continuai-je, ajoute encore les menus travers que voici. Dans un pareil État, le maître craint et flatte ses élèves, et les élèves se moquent de leurs maîtres, comme aussi de leurs gouverneurs. En général, les jeunes vont de pair avec les vieux et luttent avec eux en paroles et en actions. Les vieux, de leur côté, pour complaire aux jeunes, se font badins et plaisants et les imitent pour n’avoir pas l’air chagrin et despotique.

C’est tout à fait cela, dit-il.

Mais, mon ami, repris-je, le dernier excès où atteint l’abus de la liberté dans un pareil gouvernement, c’est quand les hommes et les femmes qu’on achète ne sont pas moins libres que ceux qui les ont achetés. J’allais oublier de dire jusqu’où vont l’égalité et la liberté dans les rapports des hommes et des femmes.

[...]

Or tu conçois, repris-je, quelle grave conséquence ont tous ces abus accumulés : c’est qu’ils rendent les citoyens si ombrageux qu’à la moindre apparence de contrainte, ils se fâchent et se révoltent, et ils en viennent, comme tu sais, à se moquer des lois écrites ou non écrites, afin de n’avoir absolument aucun maître.

//
Yep, y'a une raison à ce rapprochement qui n'est pas aussi arbitraire que l'imbécile exercice du commentaire comparé. Y'aurait comme un souvenir du jeu des deux images...

Écrit par : BR | 01/07/2024

Plaisante découverte dans un commentaire de chez counter-currents :
https://www.youtube.com/watch?v=EwbRTYEdlLI
Quelques mesures ont un air wagnérien.

Écrit par : BR | 02/07/2024

C'est la faute à foutriquet 2.0, qui finit le travail, avec tant de complices...
https://www.youtube.com/watch?v=hTFP3qbqy3U

Écrit par : BR | 02/07/2024

(Dewey est un sage : "Je ne m'attendais à rien, mais je suis quand même déçu.")

Bref, suite et fin du commentaire quelque part *supra* :

Quand on ose juger que, *tout bien considéré*, avant, sans être parfait, était moins pire qu'aujourd'hui, on passe, aux yeux des crétins assimilant de menues avancées techniques à d'immenses progrès intellectuels, pour un *laudator temporis acti* -- autant dire : pour un vieux kron.

Parmi les demi-habiles zélateurs du "Aujourd'hui, tellement mieux qu'hier, tellement moins bien que demain", les plus sophistes iront toujours produire, se croyant très malins, quelque vieux texte censé démontrer que non, ce n'était pas mieux avant : tel est le sort du passage de Platon cité *supra*, souvent paraphrasé ou condensé afin de ridiculiser les esprits, forcément chagrins et réactionnaires, qui déplorent l'insolence de la jeunesse contemporaine envers ses parents comme envers ses maîtres. Entre autres sources exploitables, le remarquable *L'histoire commence à Sumer* permet de ces facéties se voulant arguments irréfutables et terrassants. "Vous voyez, vous vous plaignez sans la moindre raison, il en a toujours été ainsi !" Que dire aussi, dans le même registre, de ces textes qui, à travers les siècles, chez les écrivains importants comme chez les oubliables, condamnent si facilement, si justement aussi, Gaulois et Français ? (J'en peux fournir des dizaines qui témoignent d'une permanence de certains traits, jusqu'à une date récente, quand les Français sont devenus des europagures.)

Quant aux ceusses qui ont l'indécence de déplorer l'actuelle insécurité grandissante ayant changé de nature et d'intensité, on tente de les réduire ainsi au silence : "La criminalité n'a rien à voir avec quelque phénomène que ce soit -- sauf avec l'intrinsèque injustice de la société --, et d'ailleurs, les nombres le prouvent, on a toujours risqué de se faire voler, frapper ou égorger : tout cela n'est d'ailleurs qu'un ressenti qui traverse les siècles, une légende populiste, un récit complotiste. La preuve : nous, nous ne redoutons rien -- pas même la vengeance des sans-dents."

Incidemment, les menteurs oublient qu'avant, le menu peuple pouvait se défendre, et que les auteurs de nuisances, de crimes et d'atrocités, bénéficiant aujourd'hui d'une impunité presque totale, n'étaient pas massivement importés avec la complicité du pouvoir et d'une caste bien à l'abri de ce qu'elle impose aux populations locales, rançonnées de manière inédite (mais avec leur assentiment), "adding insult to injury", pour financer cette "audacieuse transfusion de peuples".

S'il semblait commenter la sinistre et déprimante actualité de *2024* dont nous entretient chaque jour -- pour combien de temps encore ? -- le site fdesouche, l'article cité *supra* remontait en fait à *1971*, à une époque maintenant si lointaine qu'elle semble relever du mythe -- *in illo tempore*, les trains étaient à l'heure ; le courrier était acheminé en une journée ; les médecins se déplaçaient à domicile ; les élèves savaient lire, écrire et compter au sortir du collège ; les mentions Très Bien au baccalauréat n'étaient pas bradées ; les avions étaient conçus par des ingénieurs et non par des comptables ; nul ne craignait les attaques -- dans la rue ou chez soi -- de djeunz souvent en bande, toujours prêts à tuer ; on dénombrait même encore quelques bonnes têtes chez les intellectuels (mais plus pour longtemps, on le doit admettre)... L'énumération serait infinie, de ce qui fonctionnait et qui, étrangement, depuis quelques décennies, ne fonctionne plus ou très mal.

Entre la situation que déplorait, sans effets faciles, Raspail et celle que nous connaissons, pire encore de manière objective quoi qu'en disent des ordures merdiatico-politiques telles que [autocensuré] ou [autocensuré] -- sans oublier [autocensuré] --, une seule différence : tous les seuils ont changé -- et celui de tolérance, et celui de complaisance, et celui de fatalisme, et celui de couardise. Nos lointains ancêtres, dont nous sommes indignes, auraient depuis longtemps sorti les fourches pour châtier tous les responsables ; les meilleurs n'auraient probablement pas toléré le dixième, le vingtième de ce que nous acceptons en troupeau, faute d'un nombre suffisant d'individus pour se lever contre la tyrannie et ses milichiens (le seuil de la masse critique a changé, lui aussi).

"Nous, on clique." (sur le modèle du drôlatique et fautif "Nous, on veut bien" du *Cafard Acharné*) ; on glapit "Article 68 !" ; on produit chaque jour un éditorial enflammé appelant à de radicales actions sans avoir les moyens de ces proclamations dignes de Matamore ; on compte sur le retour du Roi quand ce n'est pas sur celui du Messie ; on espère l'aide d'un Tsar qu'on imagine Hillard (pun intended) alors que ses projets valent bien, pour l'essentiel, ceux de Schwabie (nom générique) ; et surtout on ment aux populations -- certains par électoralisme, d'autres pour ne pas désespérer le dernier carré des ceusses qui ont compris la situation mais n'y peuvent remédier. Et surtout, pendant la fin du monde, les affaires continuent.

Le côté "jeu des deux images" de ce rapprochement entre Platon et Raspail tient en ce constat : avant n'était certes pas mieux en tout, mais aujourd'hui est pire qu'avant, en presque tout. Maurice B. et Ted K. were right, damn right. L'opinion qui n'est pas soutenue par des baïonnettes ne vaut même plus d'être énoncée. Avoir raison, surtout avant l'heure, même à la bonne heure, est inutile.

Que de temps perdu.

Écrit par : BR | 02/07/2024

P.S. : Peut-être, par avance, le portrait de cet [autocensuré] de Larcher le MOFphile ou le philoMOF.

Écrit par : BR | 03/07/2024

Message bien reçu. Une dernière contribution à la rubrique, pour la route et le divertissement, ces intemporelles évidences énoncées à une certaine date, quelque part, par quelqu'un qui a eu la chance de s'en aller :
//
Entraînés par des media cette fois irréprochables, journalistes, cardinaux, évêques, sociologues, députés, professeurs, avocats, prêtres, pasteurs, psychiatres, hommes politiques, hommes de foi, hommes de lettres, tous ont participé sans trop y réfléchir -- ce qui est grave -- à une sorte de proclamation de guerre sainte hors de proportion avec l'importance du péril.
Pour l'avenir, ce genre de délire collectif au plus haut niveau me fait frémir.
//
Car la liberté d'expression, croyez-moi, on en reparlera, en France, et vite. Ce n'est qu'un début. Tout va s'accélérer. Ce qu'il restera de cette liberté, en régime néo-socialiste, c'est la liberté de s'auto-censurer.
//
"Larvatus taceo", disait Reborn Maps.

Écrit par : BR | 04/07/2024

BR > Je ne sais pas pas quel message a été bien reçu, mais si je n'ai rien ajouté à tes commentaires c'est parce que j'ai été un peu perdu et que je n'en ai pas vraiment saisi le sens. Je vieillis et après une journée de travail il me faut des choses relativement simples à comprendre.

Écrit par : Pharamond | 04/07/2024

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