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24/06/2024

Lectrice (9)

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07:58 | Lien permanent | Commentaires (7)

Commentaires

@Pharamond : Cliché digne de DRALN, dont les choix en forme d'inventaire de l'Occident sont toujours aussi apaisants -- par les dieux, que c'est beau ! -- que désespérants -- et cela aussi sera détruit.

Écrit par : BR | 24/06/2024

BR > Le beau et le triste sont souvent proches, ce doit être chimique.
Merci, je suis satisfait qu'après 3 ans et demi d'existence la petite magie de DRALN fonctionne encore sur certaines personnes.

Écrit par : Pharamond | 24/06/2024

@Pharamond : *Tristesse et beauté*, dit le titre d'un roman de Kawabata -- pas lu, d'ailleurs, crainte d'une déception si ce n'est pas aussi admirable que *Le Maître ou le tournoi de go*.

Cesserais-tu d'ajouter des billets graphiques à DRALN que tu aurais force réclamations, à commencer par la mienne.

Écrit par : BR | 24/06/2024

BR > Je n'ai jamais lu Kawabata, je ne saurai donc pas te dire.

La proximité de la beauté et du sentiment de tristesse m'a toujours intrigué sans que je trouve une explication autre que cette tentative :
http://guerrecivileetyaourtallege3.hautetfort.com/archive/2019/06/07/beaute-6156863.html

Dans ce cas, sauf bombardement nucléaire ou mort subite je vais continuer ;-)

Écrit par : Pharamond | 24/06/2024

Elle est bien mignonne
Si elle pouvait être hetero, ça serait idéal
Je me laisse souvent aller à emprunter des dévédés à la biblio cipale, car j'ai été cinéphile
Mes critères de choix ne sont pas dictés par teleratmort ni les inrockes ni même les cahiers du
Non, la jaquette du dévédé est un critère important
Bref
Ces derniers temps je suis tombé sur deux dévédés eroticosentimentaloprogressistes ,comme quoi, la jaquette peut être trompeuse
L'un est un vieux truc "variety " de bette Gordon, nioullorquaise jusqu'à la moelle des os, mais pas porno ni dégueulasse comme l'autre
L'autre "kokon "( cocon ou concon)de Léonie krippendorf, 2022, franchement pédophile, enfin traitant de la transfo de l'enfance en âge tendre
À gerber, au moment où on poursuit les cinéastes mâles vronzais...là c'est l'excuse de genre, voyez

Écrit par : kobus van cleef | 25/06/2024

Il y a un peu la même distance qu'entre deux cinéastes pederastes tels nolo qui fait des introspections dégueulasses à base de psychanalyse, de rapacite et de pipes pratiquées sur les livreurs maghrébiques et Jean guiraudie qui fait des monuments de déconades ("le roi de l'évasion " en particulier) et qui dans ses interviouves ( à la fin des dévédés) adopte un langage propre à séduire les lecteurs de teleratmort ("oui, c'est un traitement peaulitiqueux deu la questionn, vous saisissssdez , c'est ma visionnnn, oui, peaulitiqueux") si bien qu'à la fin, on n'a rien retenu mais on s'est bien marré

Écrit par : kobus van cleef | 25/06/2024

kobus van cleef > Le choix pour la jaquette est souvent un piège, le bon côté est qu'on tombe parfois sur de l'inattendu.

Écrit par : Pharamond | 25/06/2024

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