Musique (647) : Guerre civile et yaourt allégé (3)

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05/05/2023

Musique (647)

Peccatum peccavit Jerusalem (lamentations à 6 voix)

Robert White

22:59 | Lien permanent | Commentaires (28)

Commentaires

Joli morceau. Je ne connaissais pas. Merci.

//
Facéties inspirées par l'humour soviétique de la grande époque.
//
Au sommet de l'Empire State Building, Staline et Roosevelt conviennent de mettre à l'épreuve l'obéissance de leurs gardes du corps respectifs. Roosevelt ordonne au sien de se jeter dans le vide. L'homme refuse, prenant prétexte du triste sort qui attendrait sa famille s'il acceptait.
Staline donne le même ordre : son garde réfléchit une fraction de seconde puis obéit sans mot dire.
Impressionné et intéressé, Roosevelt interroge le tyran rouge : pourquoi son garde a-t-il sauté ?
Staline de révéler alors son secret : l'homme a pensé au triste sort qui attendrait sa famille s'il refusait.
//
foutriquet 2.0 apprend l'existence d'un sorcier capable d'évoquer l'âme de n'importe quel mort pendant un bref moment. Il le convoque et après avoir envisagé d'interroger Marx ou Mao, il demande à parler au fantôme de Staline.
-- Staline, ma situation est catastrophique. On ne m'aime pas, mais c'est sans importance ; on ne me respecte pas, mais on m'obéit ; on me craint, mais on ne m'admire pas, et ça, c'est intolérable. Que faire ? Que dois-je faire ?
-- Vous devez prendre deux mesures. D'abord, lâchez dans les provinces vos milichiens ainsi que vos supplétifs -- les gauchistes et les importés -- avec licence de tuer à leur guise, mais à six millions de victimes -- c'est un nombre psychologique --, ordonnez l'arrêt du massacre. Ensuite, faites repeindre le palais de l'Elysée en bleu canard.
-- Pourquoi en bleu canard ?
-- Et pourquoi pas en bleu canard ? Quoi qu'il en soit, je suis heureux de constater que la première partie du plan ne suscite chez vous ni interrogation ni réticence. Bonne chance et adiable !
//

Écrit par : Blumroch | 05/05/2023

Interprété par les mêmes Nordic Voices que *supra* :
https://www.youtube.com/watch?v=0lxQNzzqkt0

La décadence est universelle, évidente dans les musiques des James Bond comme dans les génériques de dessins animés :
https://www.youtube.com/watch?v=wk2hE8OTZrY
(mentionné par le Salon beige)
Ce musicien n'a plus qu'à s'attaquer à la musique d'église et à la pop.

Écrit par : Blumroch | 06/05/2023

Blumroch > J'ai découvert ce compositeur assez récemment, il est peu connu et ne semble pas avoir eu une grande production ; j'aime beaucoup ces lamentations.

:- D
Je crois que ton adaptation d'une blague juif, si je ne m'abuse, pourrait être appliquée à bien tous dirigeants dit progressistes, grands humanistes devant le.a Grand.e Architecte.

Vidéo intéressante, même si j'ai un passé des parties, la musique étant du chinois pour moi. La "valorisation" des jeunes, puis des très jeunes n'est qu'un outil parmi les autres pour détruire le monde ancien.

Écrit par : Pharamond | 07/05/2023

@Pharamond : Ces Lamentations sont apparemment considérées, à juste titre, comme exceptionnelles. Ma dernière découverte récente autant qu'agréable, c'est la musique d'Albéric Magnard dont un certain James Lyon parle ici avec intelligence :
http://www.albericmagnard.fr/biographie_magnard/
Hymnes et symphonies sont admirables.

J'ignorais qu'existât une urversion ayant cette origine, même si j'imagine que la facétie a été retrouvée à de nombreuses reprises.

Les justifications techniques ne sont sans doute accessibles qu'aux spécialistes ; c'est sans importance car à l'oreille, la descente est évidente.

Un peu de Brahms dirigé par Klemperer :
https://www.youtube.com/watch?v=bugzbO3G2Q0

Écrit par : Blumroch | 08/05/2023

Blumroch > Je cite de mémoire et en faisant court : un Juif dit à un ami que la population du pays est antisémite.
- Pourquoi tu dis ça ?
- Le gouvernement veut créer une nouvelle taxe sur les Juifs et les coiffeurs.
- Pourquoi les coiffeurs ?
- Tu vois : toi aussi !

Écrit par : Pharamond | 08/05/2023

@Pharamond : C'est un patron classique. ;-)

Je crains le pire à cause des titre, illustration et sujet, mais je signale -- avant d'avoir visionné :
https://www.youtube.com/watch?v=1Ge7X7F3i2U

Écrit par : Blumroch | 08/05/2023

Blumroch > Certes le sujet est en partie celui auquel on s'attend, mais tout y est dit avec humour et justesse même si la Mite semble un peu perdre patience.

Écrit par : Pharamond | 08/05/2023

// L'OEIL DE L'AIGLE SURPLOMBANT LE CHAMP DE BATAILLE
Nous vivons les prolégomènes d'une guerre. Celle-ci aura une cause unique : la répartition des ressources imposée par la transition de notre modèle énergétique.
Les classes dominantes s'affairent, inquiètes seulement d'une chose : que la fin d'un modèle de production fondé sur les énergies fossiles amène à une nouvelle répartition des ressources défavorable à leurs intérêts.

//
Dieux bons, en *deux* paragraphes, *tout* y est : gauchisme, écologisme, pontifiance[0], platisme[1]. Vous pourriez vous en tenir à ce pathétique *incipit* d'un *Coup d'état* présenté comme un *Manuel insurrectionnel*[2] ; l'ouvrage ne saurait, pour d'immédiate et aveuglantes raisons, figurer au prestigieux catalogue des Editions de l'Encyclopédie des Nuisances.
De fait, si le malheur des temps ne vous obligeait à guetter la moindre occasion de rire, vous seriez tenté d'arrêter ici votre lecture, et pas seulement parce que les nouveautés ne présentent aucun intérêt ; vous continuez pourtant, d'avance certain de trouver en quantité des perles d'un orient douteux formant un collier d'esclave *rebelle* et même *subversif*.
Et puis, que diable !, du même grantesprit, vous avez bien subi, par curiosité, le dernier Bistro Liberté -- à vitesse 1,33x et en déjeunant, faut quand même pas exagérer ! -- malgré ses crispants invité, animateur et "sociétaires" -- chroniqueurs hanounesques et vedettes zintellectuelles (au sens fonziesque du mot) de la vidéosphère plus ou moins droitarde.
Vous reprenez donc votre lecture pour parcourir avec hardiesse de nouveaux paragraphes étranges, là où nul oeil de lecteur ne devrait, dans un monde parfait, jamais mettre le pied[3].
Vous tenez à le préciser : le texte a été lu intégralement, et les extraits que voici ont vraiment été pris au hasard, sans la moindre animosité envers l'insignifiance qui en est l'auteur. D'autres choix aléatoires donneraient le même résultat, la même mesure du néant.

// SENTENCIEUX
Le pouvoir est un inéluctable. Sur la terre des hommes, il ne peut y être échappé.

// LE REVOLUTIONNAIRE NE SORT PAS SANS SON GPS
Quelles sont les coordonnées de la situation ?

// PAYSAGISTE, PHILOSOPHE ET THEOLOGIEN
Partout, des victimes, laissées à l'abandon en des paysages dévastés.
Nous défaire de notre allergie à cette notion qu'est le pouvoir consiste à accepter la damnation qui habite toute société humaine. A prendre au sérieux les cris qui sont portés.

// QUESTIONS A LA FRANCE
Toi que le quotidien menace de décomposition, de renvoi à l'éclat fractal de milliers d'identités sous ton nom et ton autorité agrégées, toi qui te vois menacée d'absorption par des monstres informes et uniformes, toi qui dévores tes enfants à un rythme effréné, qui es-tu et que souhaites-tu ?

// EVEILLEE, LA FRANCE AURAIT DONC QUELQUE CHOSE DE PLUS ?
La France, ma France, transformée en eunuque valet d'empires avariés, doit se réveiller.

// DEVINEZ QUI EST MORT BIEN AVANT SON ENTERREMENT ?
Qui a été ***[4] ? Un prototype pascalien, entre-deux glorieux et détestable, admirable en toutes circonstances dans le néant où nous a plongés la période, incapable cependant de se défaire des afflictions qui le rongeaient et le dévoraient, et en conséquence de nous en protéger.

// CINQUANTE NUANCES DE CLARTE
La plupart du temps, les révolutions sont essentiellement symboliques, permettant le passage de témoin d'une classe dominante à l'autre, ce qui entraîne à son tour la production d'une multiplicité de signes afin de magnifier un processus qui *in fine* n'aura fait que s'appuyer sur les masses mobilisées, ne le servant que très partiellement. D'un récit à l'autre, une fantasmatique se trouve ainsi enfantée, sans que les structures fondamentales de la production et de la distribution des ressources, enjeu principal de toute forme de gouvernement, ne soient affectées.

// PENDANT LA REVOLUTION, LA SPOLIATION FISCALE DOIT CONTINUER
Quant à l'Assemblée nationale et le Sénat, ils seront simplement évacués. Ces lieux n'ont pour nous aucun intérêt, tout comme Bercy, dont on s'assurera simplement qu'il continue de fonctionner.

// SOCIOLOGUE ET NEOLOGISMOPHILE
Les cimes sociétales, au sens le plus neutre du terme, sont des lieux de grande violence, notamment symbolique, où s'éprouvent tous les mécanismes de domination. Il n'y a nulle victimité à en tirer, bien évidemment, tant les récompenses sont manifestes pour qui s'y voue.

// COACH DE VIE OPTION PRESSE FEMININE
Cela doit nous appeler tous, à une forme d'humilité et à une écoute profonde de ce que l'autre peut avoir à porter, du fait de son expérience passée, sans présomption ni discrimination d'office, avant de s'autoriser à le juger, pour autant, encore une fois, qu'il soit considérer comme étant de notre camp, ou d'un camp adverse qui poursuivrait des objectifs pouvant aux nôtres un temps s'associer.

// POETE -- COMME CHAR
On peut attendre que la terre assoiffée qui nous avait adopté se fasse tout à fait vengeresse et nous engloutisse, ou y échapper. On peut chercher à être absorbé, devenir terre parmi la terre, ou encore ailleurs, un instant, papillonner.

// ADRESSE AUX CAMARADES DE COMBAT -- A GRANDE DISTANCE
Je vous aime, et déjà vous me manquez. Dans les rythmes de vos présences maintenues et préservées, malgré le silence qui parfois s'incrustait.

//
De ce charabia amphigourique et compassé rappelant souvent la langue de foutriquet 2.0, vous voyez le parti, facile mais divertissant, qu'en pourrait tirer un humoriste prononçant le texte à voix haute, peut-être en omettant les rares phrases -- elles existent, on le doit reconnaître -- rédigées en français très ordinaire (ainsi de la note consacrée à kikipédia).
Vous renoncez à en citer plus. C'est tellement consternant que ce n'est même pas drôle. Serait nécessaire la belle énergie du grand Cousteau -- l'écrivain, pas l'académicien -- pour commenter ce mélange mièvre et femmelin de poésie adolescente, de radicalité surjouée, de considérations stratégiques faussement originales[5], de banalités sur les journalopes[6], de *pathos* personnel virant systématiquement au *bathos* (qui diable ira s'intéresser aux démêlés de l'auteur avec un autre intellectuel de troisième zone appelé Bégaudeau ?).
Dieux bons, rendez-nous les grands situs qui étaient des ennemis dotés d'un cerveau !
S'attaquant à Sa Transcendance Béachelle, Quadruppani disait la difficulté de l'entreprise : on expédie la cible en quelques phrases désinvoltes et amusées, on est injuste ; on lui consacre une thèse, on reconnaît alors l'importance du sujet. Debord, heureusement, permet de sortir de ce piège, qui aimait à rappeler cette évidence de policier : le meilleur réquisitoire contre un imbécile, c'est d'en fournir plusieurs citations exactes. Dans le cas qui vous occupe, chaque page serait à citer[7].
N'est pas situ, ni même néo-situ -- la version grandiloquente du premier, les style et culture en moins -- qui veut, comme on peut le vérifier en comparant *Coup d'état* avec cet authentique chef-d'oeuvre qu'est le *Véridique rapport sur les dernières chances de sauver le capitalisme en Italie*.
Dans ce médiocre manifeste écrit au vinaigre doux et incolore sur des feuilles de papier recyclé, la vérité commande d'admettre que, noyées dans un océan de sottises gauchistes ou personnelles, on trouve parfois, mal maquillées, quelques réflexions justes mais banales, toujours très mal exprimées.
L'auteur a souvent recours au nous de majesté, en plus du nous de démagogie. Le "vous", c'est quand il donne ses ordres à la piétaille chargée de l'action. Lui, il pense, il commande -- de loin, sans doute d'un autre pays. Il mériterait de s'appeler Ventôse, mais il s'appelle -- vous l'aviez déjà oublié -- Branconno. Juan Branconno.

[0] Une des nombreuses mamelles du Destin révolutionnaire. Faudrait être un Bobby Lapointe pour en tirer une chanson.
[1] Non, pas celui-là, l'autre, qu'on épelle p, l, a, t, i, t, u, d, e en vieux français (une des trois langues mortes de l'Antiquité classique). Dès les premiers caractères, vous êtes contaminé par ce *Coup d'état* prenant volontiers un mot pour un autre, en hommage -- sans doute involontaire -- à Tardieu.
[2] Autres sous-titres : *La Révolution pour les nuls* ou *42 trucs pour une rebellance réussie*.
[3] Vous êtes vraiment contaminé par qui tient lieu de style au *Coup d'état*, grotesque quand il n'est pas terne.
[4] Qui pourrait reconnaître dans ce portrait de charabia le sieur Méchancon ?
[5] La liste des cibles est évidente, liste d'ailleurs probablement reprise à quelques publications confidentielles de gauchistes rabiques. *Mutatis mutandis*, on croirait les conseils de survivalistes qui, presque toujours, relèvent du simple bon sens. Par sagesse autant que par incompétence, l'auteur de *Coup d'état* s'abstient de livrer un manuel de sabotage pratique, qui serait bien plus utile.
[6] Grâce aux sites de droitistes, ou simplement à la réflexion, tout lecteur a déjà lu et vu mieux sur ce sujet.
[7] Dans le même registre, pour démontrer ses plagiats (à Jünger, à Vernant...), chaque page de *L'histoire du temps* d'Attali était à produire. Comme le dit fort bien l'excellent Roland de Chaudenay dans son essentiel *Dictionnaire des plagiaires*, "l'imprimeur avait omis de mettre des guillemets. De méchantes langues prétendirent que le typographe, avait été rebuté par l'ampleur de la tâche."

Écrit par : Blumroch | 08/05/2023

edit/fix : "Qu'il soit considéré". Inutile d'ajouter aux crimes contre les syntaxe et grammaire des fautes de frappe. ;-)
Quelque part dans son texte, Branconno conseille aux révolutionnaires l'emploi du "protocole OTP". S'agit certainement de ce qu'on appelle en vieux français le mot de passe à usage unique. On en trouve une description dans tous les bons ouvrages consacrés à la cryptographie. Les plus pressés consulteront la fiche de police en angliche, bien plus complète que celle en français, indigente :
https://en.wikipedia.org/wiki/One-time_password

Écrit par : Blumroch | 09/05/2023

Découvrant, grâce au bedeau, cet écran géant façon match de foute :
http://aumilieuduvillage.eklablog.com/le-8-mai-a-travers-l-histoire-a214145117
j'ai énoncé un commentaire d'ailleurs évident -- eh, on a assez vu de films et de jeux dans le registre dystopique, sans parler de choses encore plus vieilles, comme les assemblages de caractères, mots et phrases.
Bonnal a eu la même idée :
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2023/05/09/pourquoi-macron-netait-pas-du-tout-seul-le-8-mai-23/
Trois personnes qui voient la même chose et en tirent la même conclusion : complot séditieux ou hallucination collective ?
Les deux billets sont à lire.

Écrit par : Blumroch | 09/05/2023

Blumroch > Quand on a (presque) tous les pouvoirs on peut continuer la mascarade jusqu'à ce que le système s'effondre car tous les système s'effondrent et le nôtre d'autant plus vite qu'il n'est qu'un système parasite qui ne suivit que grâce aux ruines de l'ancien qu'il sape chaque jour.

Écrit par : Pharamond | 10/05/2023

Le site de Radio Classique mentionne -- sans en proposer l'écoute -- une émission dont l'invité était Jean Raspail, le 22 avril 2015 :
https://www.radioclassique.fr/classique/jean-raspail-la-legerete-de-leveilleur/

Le Consul général de Patagonie avait choisi ce programme musical :

– Wagner, La chevauchée des Walkyries ;
https:/++/www.youtube.com/watch?v=cnUIiPkZ3OY
– Bach, Cantate "Weinen, Klagen, Sorgen, Zagen" ;
https:/++/www.youtube.com/watch?v=mijthhHdTGE
– Mozart, "La petite musique de nuit" ;
https:/++/www.youtube.com/watch?v=ERV8gVfdDjw
– Chorale de L’église Saint-Serge, "Dieu est avec nous"
https:/++/www.youtube.com/watch?v=hpGy2y5-FRg

et ces "madeleines" :

– Milord – Piaf ;
https:/++/www.youtube.com/watch?v=nZcdI1u_9o8
– Non, rien de rien – Piaf ;
https:/++/www.youtube.com/watch?v=4r454dad7tc
– L'hymne patagon
https:/++/www.youtube.com/watch?v=KUXT50Un-wM

J'irais bien en déduire que l'admirable écrivain n'était pas un grand mélomane car à part Wagner...

Écrit par : Blumroch | 12/05/2023

Von Salomon raconte, au début des *Réprouvés*, l'humiliation allemande de voir les troupes françaises, y compris les coloniales, défilant sur ce morceau :
https://www.youtube.com/watch?v=z2L8SYD6ar0
https://www.youtube.com/watch?v=ivFc8hdUoPY
Autre époque.

Savoir maintenant pourquoi ioutube a jugé utile d'insérer dans la liste des résultats plusieurs vidéos russophobes et d'autres sans rapport aucun avec la recherche...

Écrit par : Blumroch | 12/05/2023

En attendant d'être tous prisonniers des mesures du programme "Asservissement presque mondial pour 2030 et même avant si possible" (le fric numérique signant notre arrêt de mort), on doit pouvoir faire passer aux moins krons des krons ce court et clair exposé, malgré quelques réserves (tyrannie conviendrait mieux) :
https://www.youtube.com/watch?v=VqNLwKL1eE8

Écrit par : Blumroch | 12/05/2023

Damn, atteint par un canarenchaînisme jadis pratiqué par Dutourd : "Nous, on veut bien". :-(

Écrit par : Blumroch | 12/05/2023

Blumroch > La petite musique de nuit est agréable et l'hymne patagon a son charme. Pour Piaf c'est une question de goût et de génération.

Les susceptibilité changent avec les époques.

Le titre de la vidéo me suffit ; je ne regarderai pas.

Écrit par : Pharamond | 12/05/2023

Le texte remonte à 1997 :
https://www.gnu.org/philosophy/right-to-read.fr.html
https://www.gnu.org/philosophy/right-to-read.en.html
C'est une évidence d'ordre général, mais pourquoi ne pas la rappeler ? : "The enemy is organized, and we are not.", "L'ennemi est organisé, pas nous."
C'est pourquoi il a gagné depuis longtemps. L'excellent Bonnal est l'un des rares à n'entretenir aucune illusion consolatrice mensongère :
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2023/05/12/arrosee-mais-rationnee-pourquoi-la-masse-se-laissera-faire/
L'autre grand Gustave trouvait divertissant, dans son *Dictionnaire des idées reçues*, d'attribuer aux moines chartreux ce joyeux salut : "Frère, il faut mourir". Les rares réfractaires au nouvel ordre eurotarécoloschwabien pourront le reprendre dans un avenir proche.

Écrit par : Blumroch | 13/05/2023

Hommage à *They Live* :
https://www.youtube.com/watch?v=_kYUf-Qncss

Écrit par : Blumroch | 13/05/2023

Proposée par la même chaîne Omeleto que le court métrage *supra*, cette petite musique jouée de plus en plus fort :
https://www.youtube.com/watch?v=mzIGMJBOMRU
La fin n'est pas vraisemblable.

Écrit par : Blumroch | 14/05/2023

Blumroch > Résumons : tout est fichu et de toute manière nous mourrons un jour.

Petit film assez bien fait, mais c'est du déjà vu comme tu le souligne.

Pourquoi la fin ne serait-elle pas vraisemblable ?

Écrit par : Pharamond | 14/05/2023

@Pharamond : Le dernier texte du générique de fin, en forme de "disclaimer" facétieux, se termine ainsi : "The characters and events portrayed in this film are real. Any similarity to actual persons, living or dead is deliberate and intended. There really are monsters living among us and we're all going to die."

Parce qu'elle est positive. La marque du réalisme, c'est que la fin est sanglante.