09/10/2022
Musique (630)
Will I ever
Yorina
Autumn
Chelsea Wolfe
20:40 | Lien permanent | Commentaires (68)
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Will I ever
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Commentaires
La première semble vouloir envahir le territoire d'une Dido qui ripostera avec "This Land is Mine" (slogan d'allure populiste, également exploitable comme argument par l'envahisseur s'il est mieux armé ; on sait délicat le maniement du "On est chez nous [chez eux]").
"Nuclear Winter is Coming" sera le slogan du réchauffement de la nouvelle guerre froide (yep, facile).
"Never has so much been written by so many for so few" : quel phénomène a suscité ce jugement parodique ? (Ne pas avoir recours à Gougueule, qui donne immédiatement la solution et ôte tout mérite.)
Indice : ce ne sont pas les critiques commentant les basses oeuvres d'un récent Nobel politique de mauvaise littérature de gauche (yep, c'est pléonastique).
Écrit par : Blumroch | 10/10/2022
P.S. : "On est chez nous" rappelle cette formule qui irritait à bon (michel) droit Dutourd quand il la trouvait dans *Le Cafard Acharné*) : "Nous, on veut bien". Humour décapant. Ah, tout l'esprit français -- et ce n'est pas celui jadis compilé par Jean Delacour.
Le célèbre site DRALN (voir en haut de page) énumère les merveilles passées de l'Occident ; cette vidéo concentre les merveilles des années 80 ricaines :
https://www.youtube.com/watch?v=Z0eflYLkI4A
Ce n'est pas tout à fait la même chose.
Blague à part, en comparaison des années 2020 et suivantes, les années 80 imposées par l'oncle Sam pourraient presque faire figure de paradis perdu. Es macht Angst. :-(
Écrit par : Blumroch | 10/10/2022
@Blumroch
Sans google, je pense au mot de Churchill rendant hommage aux pilotes de chasse de la Bataille d'Angleterre
Écrit par : Philippe Dubois | 10/10/2022
@Philippe Dubois : C'est bien une manière de parodie de la célèbre formule, mais appliquée à un tout autre domaine que la chasse aérienne. Tu as donc une moitié de couronne de lauriers. ;-)
Écrit par : Blumroch | 10/10/2022
Blumroch > Oui, j'ai moi aussi une certaine indulgence pour ces années 80 qui pourtant marquaient la fin de notre monde ancien, remplacé par celui des Américains censé être plus léger, plus ludique. Ce n'était que la bande annonce d'un film beaucoup moins drôle. Ne jamais oublier que les USA c'est un bombardier avec Mickey peint sur le nez.
Écrit par : Pharamond | 10/10/2022
@Pharamond : Formule aussi bonne que cocasse alliant le grotesque et l'horreur.
On pourrait adapter le mot de Talleyrand : qui n'a pas vécu en France avant la révolution de 1968 n'a pas connu la douceur de vivre. Dans *En attendant la fin du monde*, Bodinat énonce : "Nous n'avons obtenu qu'une faible partie des bonheurs pour lesquels nous étions nés". Tous les ceusses, actifs ou complices, qui depuis plus de quarante ans nous les ont supprimés mériteraient le sort que leur promet Paul-Emic dans un moment d'optimisme :
https://polemiquepolitique.wordpress.com/2022/10/09/comment-avons-nous-pu/
Sauf que la faim ne suscitera que la lutte pour la dernière boite de conserve.
Écrit par : Blumroch | 10/10/2022
Je me risque un hors sujet mais .. je n' ai pas pu regarder entièrement le "Tête à clash" de TVL :
"" Têtes à Clash avec Philippe Pascot / Conflit en Ukraine : risques et conséquences
Ce soir dans "Têtes à Clash", Franck Tanguy reçoit Philippe Pascot, Laurent Artur du Plessis, Charles de Bourbon-Parme et Olivier Milza. ""
Quel con ce Pascot ! le chapeau lui tient lieu de boîte à neurones ? insupportable . Ma préférence pour Milza ..
Écrit par : EQUALIZER | 10/10/2022
Blumroch > Merci.
Difficile de dénombrer les coupables de notre dégringolade tant il y en a.
EQUALIZER > Pas vu.
Écrit par : Pharamond | 10/10/2022
@Phara ... rien de perdu .. !
Écrit par : EQUALIZER | 10/10/2022
Aucun sherlockien, aucun holmésologue. Je ne sais pourquoi, je m'en doutais.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Holm%C3%A9sologie
Écrit par : Blumroch | 10/10/2022
EQUALIZER > ;-)
Blumroch > Je n'ai jamais était grand fan du locataire du 221B Baker Street.
Écrit par : Pharamond | 10/10/2022
@Pharamond : Manifestement, tu n'es pas le seul. ;-)
Fable écrite en 1927 par James Thurber, auteur de l'inoubliable "Vie secrète de Walter Mitty" :
The Tiger Who Would Be King
One morning the tiger woke up in the jungle and told his mate that he was king of beasts.
"Leo, the lion, is king of beasts," she said.
"We need a change," said the tiger. "The creatures are crying for a change."
The tigress listened but she could hear no crying, except that of her cubs.
"I'll be king of beasts by the time the moon rises," said the tiger. "It will be a yellow moon with black stripes, in my honor."
"Oh, sure," said the tigress as she went to look after her young, one of whom, a male, very like his father, had got an imaginary thorn in his paw.
The tiger prowled through the jungle till he came to the lion's den. "Come out," he roared, "and greet the king of beasts! The king is dead, long live the king!"
Inside the den, the lioness woke her mate. "The king is here to see you," she said.
"What king?" he inquired, sleepily.
"The king of beasts," she said.
"I am the king of beasts," roared Leo, and he charged out of the den to defend his crown against the pretender.
It was a terrible fight, and it lasted until the setting of the sun. All the animals of the jungle joined in, some taking the side of the tiger and others the side of the lion. Every creature from the aardvark to the zebra took part in the struggle to overthrow the lion or to repulse the tiger, and some did not know which they were fighting for, and some fought for both, and some fought whoever was nearest, and some fought for the sake of fighting.
"What are we fighting for?" someone asked the aardvark.
"The old order," said the aardvark.
"What are we dying for?" someone asked the zebra.
"The new order," said the zebra.
When the moon rose, fevered and gibbous, it shone upon a jungle in which nothing stirred except a macaw and a cockatoo, screaming in horror. All the beasts were dead except the tiger, and his days were numbered and his time was ticking away. He was monarch of all he surveyed, but it didn't seem to mean anything.
MORAL: *You can't very well be king of beasts if there aren't any*.
Écrit par : Blumroch | 11/10/2022
P.S. : Cette page :
https://www.themarginalian.org/2015/11/11/the-tiger-who-would-be-king-james-thurber-joohee-yoon/
propose le même texte avec des illustrations à l'esthétique... particulière.
Écrit par : Blumroch | 11/10/2022
P.P.S. : "Monarch of all he surveyed" did ring a bell but a very distant one. Gougueule m'a permis de retrouver l'origine de l'allusion culturelle, savoir un poème de Cowper :
https://en.wikisource.org/wiki/Poems_That_Every_Child_Should_Know/The_Solitude_of_Alexander_Selkirk
Écrit par : Blumroch | 11/10/2022
Blumroch > Tiens, une confidence : je suis le maître du monde, mais personne, absolument personne ne le sait.
Les illustrions sont là pour apprendre le goût du laid dàs le plus jeune âge.
Écrit par : Pharamond | 11/10/2022
@Pharamond : Si c'était vrai, aurais-tu laissé foutriquet 2.0, ses maîtres et ses complices mettre un terme à 2000 ans d'histoire ? ;-)
Comme le déclarait Auguste dans une version alpha de *Cinna* connue de rares spécialistes de Corneille : "Je suis maître de moi, donc de l’univers". ;-)
L'apprentissage du, et l'accoutumance au, laid dans un monde ayant banni le Beau, c'est presque de la miséricorde. Quand on doit s'attendre à voir Sandrine Rousseau -- correction : Kimberlain -- sur les écrans, mieux vaut ne pas savoir qu'Ava Gardner a existé.
Blague à part, la fable est jolie. Mieux vaut pour elle n'avoir pas été illustrée par son auteur, dont les dessins sont toujours très moches -- autant que les peintures *supra*.
Écrit par : Blumroch | 11/10/2022
Blumroch > Pour agir il faudrait tout d'abord que l'on m'obéisse et comme personne ne reconnait mon pouvoir...
Cela fait partie du relativisme qui permet de tout nous imposer aujourd'hui.
Écrit par : Pharamond | 12/10/2022
@Pharamond : Sophiste ! Heureusement que tu n'assures pas le porte-parolat de foutriquet 2.0 : tu serais capable de faire passer un meurtre pour un suicide ! ;-)
Écrit par : Blumroch | 12/10/2022
Blumroch > :-)
Écrit par : Pharamond | 12/10/2022
Comme un air de famille entre ce billet du Paysan savoyard (déjà repéré par Paul-Emic dont une des devises doit être "Je suis partout") :
https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/2022/10/11/aux-jeunes-il-faut-parler-cash-le-plus-important-cest-la-race/
et ces réflexions de Christine Tasin :
https://resistancerepublicaine.com/2022/10/09/la-loi-est-passee-la-legitime-defense-est-un-crime/
J'irais bien formuler quelques réflexions, mais au macronistan eurodémocratique, ce serait très risqué.
Mes compliments choisis aux milichiens -- flics et militaires -- qui soutiennent toujours un régime dont ils n'ont pourtant pas à se féliciter.
Écrit par : Blumroch | 13/10/2022
Pas certain que ce soit si amusant, au fond :
https://www.youtube.com/watch?v=LBVUr_SzQ8U
A considérer un récent sondage, les contrôleurs pourront être les vigilants voisins eurocitoyens.
Et tout cela pour un pays de m dont tout le monde se moque, que personne ne situe sur une carte, dirigé par une mafia de corrompus saltimbanques et banquiers, et dont la contribution à la civilisation doit s'élever à... rien.
Écrit par : Blumroch | 13/10/2022
Avec Karim, un peu de finesse dans un monde de buts ; avec Jade, des conseils pratiques pour bien obéir à un gouvernement de [long_développement_prévisible_autocensuré] :
https://www.youtube.com/watch?v=fLPIDOVyrlI
https://www.youtube.com/watch?v=qKDzIKm4SOQ
Écrit par : Blumroch | 13/10/2022
La Mite bien plus grave qu'à l'ordinaire :
https://www.youtube.com/watch?v=nrlmZr-Rb8w
Écrit par : Blumroch | 13/10/2022
Blumroch > Quand je vois des jeunes penser comme nous malgré la propagande omniprésente et continuelle, je suis toujours étonné. Comment ont-ils échappé au formatage ?
La légitime défense n'est pas interdite pour tous, seulement pour nous.
La vidéo de Franjo a peine caricaturale est plutôt sinistre.
La Mite a toutes les raisons de l'être.
Écrit par : Pharamond | 13/10/2022
Le sujet peut sembler anodin :
https://www.schneier.com/blog/archives/2022/10/digital-license-plates.html#comments
Une illustration supplémentaire du grand principe, imbécile mais rémunérateur, de l'époque : à une solution simple ayant fait ses preuves, grand-substituer une autre solution inepte, dangereuse et coûteuse sous le prétexte, toujours fallacieux, de simplifier une vie que le système s'emploie, depuis des décennies, à rendre très compliquée sans autre raisons que l'enrichissement et le pouvoir de quelques-uns sur une masse de krons.
*Si non confectus, non reficiat*, "If it ain't broke, don't fix it", c'est mieux qu'une facétie, ce devrait être un sacro-saint principe de vie.
Écrit par : Blumroch | 14/10/2022
edit/fix : "autres".
"Le faux mieux est l'ennemi du vrai bien."
"Si ça fonctionne comme prévu, inutile de faire une mise à jour."
Écrit par : Blumroch | 14/10/2022
Dans un torchon de propagande intitulé *Valeurs mutualistes*, ce dessin humoristique : une dame entre dans sa cuisine pour y découvrir son mari gisant allongé, la tête dans le four. Horrifiée, elle s'écrie : "Au prix du gaz !".
Gag : l'illustration provient d'un canard boche.
Vérifiant une citation de Paul Bourget, je tombe sur cette page en ricain, sans équivalent en français (ce qui vaut son poids de caramels) :
https://en.wikiquote.org/wiki/Paul_Bourget
On y apprend que l'auteur de l'excellent *Disciple* est le père de la formule célèbre autant que vraie : "il faut vivre comme on pense, sinon, tôt ou tard, on finit par penser comme on a vécu" (dans l'épilogue du *Démon de midi*, qu'on peut trouver chez archive.org)
Écrit par : Blumroch | 14/10/2022
@Pharamond : La Gordon-Keeble GK1 est très élégante, qui justifierait une catégorie de billets GT en plus des Dieselpunk. ;-)
Écrit par : Blumroch | 14/10/2022
Péguy, Daniel-Rops et bien d'autres ont narré l'anecdote qui n'est peut-être même pas vraie (suffit d'ailleurs de considérer le nombre de variantes, toutes heureusement d'accord sur l'essentiel) mais dont la leçon n'est peut-être pas inutile dans les temps sinistres qui s'avancent -- pour l'instant -- sans masque.
Louis de Gonzague jouait à la balle au chasseur avec des camarades. Quelqu'un interrompt la partie pour poser cette question : "Que feriez-vous si la fin du monde se produisait dans les prochaines heures ?". Et le futur saint de répondre : "Je continuerais à jouer à la balle."
Que faire d'autre, en effet ? Surtout quand on ne dispose pas d'un bunker de survivaliste avec armes, munitions, réserves d'eau et de conserves -- sans oublier le désir de connaître la féroce guerre de tous contre tous dont la règle d'engagement sera : tenter de se défendre ou être massacré par des untermenschen ?
Un sentiment de déjà-tapu m'incite à lancer L'OEil de Sauron, qui me trahit :
http://guerrecivileetyaourtallege3.hautetfort.com/archive/2020/07/21/musique-547-6252973.html#c8928712
Tout le monde l'avait oublié, moi compris.
Les commentateurs se répètent, les leurqueurs ne lisent pas ; l'ennui est réciproque. ;-)
Écrit par : Blumroch | 14/10/2022
Menues réflexions tirées d'un vieux livre :
//
C'est de l'Hellade que nous vient l'importance exagérée qu'on donne à la libre recherche, c'est-à-dire au bon plaisir, qui ne peut mener qu'à l'anarchie.
//
Même quand on ne prenait pas part aux violences, on cherchait à éviter tout contact avec les persécutés, et de cette manière, la crainte et la terreur se répandaient alentour.
//
Un prince agit moins par son travail que par son existence.
//
Les masses préfèrent, et de beaucoup, le malheur que leur fabriquent leurs propres tyrans et techniciens. Elles ont une aversion profonde pour le pouvoir légitime.
//
Tout Etat se doit de créer une utopie, dès qu'il a perdu le contact avec le mythe.
//
Le savoir aggrave la responsabilité, et avec elle la faute.
//
Bandits déguisés en policiers, ou aussi policiers déguisés en bandits. C'est la même chose.
//
A chaque extension de puissance, le nombre des points vulnérables augmente.
//
Écrit par : Blumroch | 15/10/2022
Blumroch > Oui, j'y avais pensé et pensais appeler la rubrique "Profils" avec des véhicules des années 60-70.
"Le savoir aggrave la responsabilité, et avec elle la faute." C'est peut-être ce qui coute à l'Occident sa primauté voire sa survie.
Écrit par : Pharamond | 15/10/2022
"Un auteur que l'on ne connaît pas encore assez", dit la dame reprise ici par "L'échelle de Jacob" :
https://echelledejacob.blogspot.com/2022/10/traite-du-rebelle-ou-le-recours-aux.html#more
Encore une gourde qui vient de découvrir le texte et qui croit être la première. A quand un *Jünger for Dummies* ?
Écrit par : Blumroch | 15/10/2022
Blumroch > Hors notre milieu et les érudits je ne suis pas sûr que Jünger soit si connu que cela.
Écrit par : Pharamond | 15/10/2022
C'est une blague ?
Jünger est très connu même à gauche
En cause, le respect que lui portait hanchois pommier, dit le franciscain de château Chinon ( et non de chatte aux nichons)
Même ma mère le connait
Comme Rebatet
Ou du moins en a entendu causer
Écrit par : Kobus van Cleef | 15/10/2022
@Pharamond;@Kobus van Cleef : J'ai déjà eu l'occasion de signaler le cas d'un pigiste lecteur néo-situ lecteur de Jûnger -- même si c'était pour de fort mauvaises raisons (le côté "poétique" et bien évidemment ces maudites fa{l|d}aises).
S'il en est un pour être vraiment moins connu et moins pratiqué, c'est l'excellent von Salomon.
Écrit par : Blumroch | 15/10/2022
Ha,von Salomon, c'est pas des lol, comme on dit chez les djeunz
Un vrai barde guerrier, trempé dans le feu de l'aktion
J'aime bien cette scène tirée des réprouvés
De mémoire, parce qu'avec tous mes déménagement, les bouquins restent en caisse
"Aux bourgeois, les djieux demandèrent, qu'avez vous fait du sang ? Et ils répondirent, nous en avons fait une soupe, une grosse soupe grasse et nourrissante et nous l'avons mangée"
Et les djieux dirent "mauvais, exécrable...."
Puis ils nous ont demandé, et vous, les guerriers, qu'avez vous fait du sang ?
Et nous repondimes "nous l'avons fait couler, par baquets entiers"
Et les djieux nous dirent "excellent,venez vous asseoir avec nous"
Puis il ( le kapitan) fut pris d'un cafard effroyable....
Écrit par : Kobus van Cleef | 15/10/2022
//
Et les générations futures leur [aux bourgeois] diront : "Zéro, asseyez-vous".
//
Poète, allergique peut-être au jugement des *hoi polloi*, ennemi sans doute de la secte des vertarécolos toujours prompts à invoquer l'avenir pour sacrifier le présent, le Kamerad Kobus van Cleef a heureusement substitué les dieux aux simples générations futures. L'anecdote rapportée par Ernst von Salomon aux pages 152 et 153 des *Réprouvés* en devient ainsi plus wagnérienne.
(édition Livre de Poche chez Plon, 1969)
Et j'ai vérifié, pour rire : on ne retrouve pas cela via Gougueule. Ce qui est important est rarement sur Internet.
Écrit par : Blumroch | 16/10/2022
Je me serais trompé ?
Ça m'arrive
C'est désolant mais c'est ainsi
Écrit par : Kobus van Cleef | 16/10/2022
@Kobus van Cleef : Vous avez accentué le caractère épique de l'anecdote (que j'ai la flemme de recopier en entier). ;-)
Écrit par : Blumroch | 16/10/2022
À l'inverse des héros antiques, et comme le kapitan ( ou le kapitan -leutenant, le kaleunt dont parle von Salomon, n'est il pas hambourgeois, ville hanséatique donc maritime), il m'arrive de plus en plus souvent d'être pris d'un cafard épouvantable
En pensant à la génération de mes petits enfants
Y a pas loin à ce que je finisse au pied du pilier des nautes
Écrit par : Kobus van Cleef | 16/10/2022
Plutôt bonne revue de l'actualité ici, à écouter à vitesse 1,33x :
https://www.egaliteetreconciliation.fr/C-est-parti-mon-qui-QUI-10-Revue-d-actualite-internationale-69913.html
Incidemment, étrange que toutes les vedettes, dont les clients sont pourtant ici, vivent à l'étranger (Suisse, Italie, Espagne...). Dénoncer ensuite les ceusses du camp d'en face qui en font autant devient difficile.
Écrit par : Blumroch | 16/10/2022
Kobus van Cleef > Le terme "d'érudit" était excessif, "cultivé" était suffisant : nos anciens hommes politiques (avant Sarko le crétin satisfait) et nos parents avaient une culture minimale qui fait défaut aujourd'hui.
Blumroch > Von Salomon est plus polémique.
Écrit par : Pharamond | 17/10/2022
Ce proverbe serait turc :
Quand il s'installe dans un palais, le clown ne devient pas un roi mais il transforme le palais en cirque.
Cette formule, probablement ricaine, est presque passée en proverbe :
Si tu ne veux pas voir de clowns, ne va pas au cirque.
Inspiration ici :
https://www.takimag.com/article/the-clownification-of-politics/
Rien de plus sinistre qu'un clown. Quand foutriquet 2.0 lancera ses milichiens et supplétifs sur la population, il devrait les équiper d'un nez rouge.
Image de terreur qui pourrait d'ailleurs aussi fonctionner pour le camp d'en face : après les Gilets jaunes, les Nez rouges -- à cause de la méchante grippe, de Wuhan ou autre.
Écrit par : Blumroch | 17/10/2022
@Pharamond :
Polémique : individu qui ne tient aucun compte de l'opinion d'autrui même quand elle est majoritaire ; qui a l'insensé courage d'exprimer une pensée personnelle sans se soucier des risques ; mauvais citoyen.
Le Paul émique est souvent un Victor (en théorie, pas en pratique).
https://www.youtube.com/watch?v=JN2E4fKkOfE
Écrit par : Blumroch | 17/10/2022
L'information n'intéressera personne, mais archive.org permet de visionner l'excellent feuilleton *Nikita* de 1997 :
https://archive.org/details/la-femme-nikita-1997
A défaut de pouvoir acheter les cinq coffrets à un prix normal...
(Récemment encore, l'ensemble, toujours pas réédité, était proposé à plus de 320 dolleuros !)
Comme dirait Greg "J'suis pas content" Tabibian, c'est l'évangile (correction : la bonne nouvelle) du jour. ;-)
Écrit par : Blumroch | 17/10/2022
Fallait, évidemment, la Très Mauvaise Nouvelle du Jour, découverte grâce au commentaire d'un certain Lau chez Bonnal (17 octobre, 18h 06) :
https://www.dailymail.co.uk/health/article-11323677/Outrage-Boston-University-CREATES-Covid-strain-80-kill-rate.html
La démence de ces crétins techniciens passe l'entendement. Les tarés qui les commandent doivent être fous de joie.
Écrit par : Blumroch | 17/10/2022
Blumroch > Les mesures contre la Covid ont permis de tester la résistance de la population : il n'y en a quasiment plus, encéphalogramme plat donc allons-y gaiement.
C'est en english...
Sur les photos tout ce petit monde a l'air de bien se marrer en tout cas.
Écrit par : Pharamond | 17/10/2022
Idée facétieuse : si j'étais au pouvoir et que je veuille ridiculiser ce qui tient lieu d'opposition, je chargerais les laquais d'une de mes gestapos de fabriquer un fait divers atroce et spectaculaire (du crime individuel à l'attentat, peu importe). Communiqués de presse, photos truquées, faux témoins... Avec les moyens modernes, les possibilités sont infinies. Je laisserais alors mes ennemis s'emporter sur le sujet (allant jusqu'à réclamer ma tête ou celle d'un de mes ministricules), avant de révéler la supercherie pour discréditer définitivement mes opposants.
C'est à l'image des faux accidents mis en scène, dans bien des films et feuilletons, pour obliger un convoi à s'arrêter.
Faut admettre que ce serait bien de la peine pour rien : les fausses oppositions se révèlent à leur nullité et à leur complicité plus qu'occasionnelle avec les ceusses qui contrôlent l'accès à la Grande Gamelle Républicaine.
Écrit par : Blumroch | 18/10/2022
Blumroch > Exactement, pourquoi se compliquer la vie ? L'opposition est théorique, la population amorphe et tous les rouages de société entre leurs mains.
Écrit par : Pharamond | 18/10/2022
Les textes comparables sont légion depuis longtemps chez les ricains mais la charge est assez amusante :
https://everywherenobody.wordpress.com/2022/10/17/lavenir-de-lindustrie-mondialisee-par-nobody-version-i-phone/
Écrit par : Blumroch | 18/10/2022
@ kamerad Blumroch
Le nez rouge c'est une idée
Je soutiens le fait que les oreilles de Mickey c'est pas mal non plus
Imaginez des vieux en loden Weston cachemire, et, sur le crâne dégarni, des oreilles de Mickey....nos kebourdins en resteraient ébahis
Écrit par : Kobus van Cleef | 18/10/2022
@Kamerad Kobus van Cleef : Le nez rouge pour les troupes, les oreilles de Miqué pour les chefs. ;-)
Écrit par : Blumroch | 18/10/2022
Dichotomie très hiérarchique
Banco !
C'est accepté !
Après tout, les troupes d'élite ont une fourragère, les officiers de la légion un képi noir, et les cyrards un joli plumet blanc d'animal protégé...
Écrit par : Kobus van Cleef | 19/10/2022
Blumroch > Classique, mais plaisant ;-)
Écrit par : Pharamond | 19/10/2022
Un exemple prétendu "canonique" comportant d'ailleurs de nombreuses injustices :
http://www.toodarkpark.org/computers/humor/shoot-self-in-foot.html
Pas déplaisant :
https://www.youtube.com/watch?v=n8Fq3tT8Qy0
https://www.youtube.com/watch?v=gw67i1kZ9cY
Plaisant, dans un tout autre registre :
https://www.youtube.com/watch?v=4OcmUGlIOYE
https://www.youtube.com/watch?v=7vggphTAfD0
Écrit par : Blumroch | 19/10/2022
Blumroch > Le trip-hop est rarement déplaisant.
Joli le motet de Mondonville, je ne connaissais pas.
Écrit par : Pharamond | 19/10/2022
@Pharamond : J'ignorais l'existence d'autant de genres dans la pop. ;-)
Écrit par : Blumroch | 19/10/2022
Ultime florilège -- d'un vieux penseur, évidemment :
//
Là où il n'y a qu'une *seule* poigne, elle agit plus fortement lorsqu'elle tient le bras le plus long du levier ; là où le pouvoir appartient au nombre, ses détenteurs ont besoin de la fermentation : ils pénètrent à travers le peuple comme le levain dans le pain.
//
Le mal devient d'autant plus terrible qu'on l'empêche plus longtemps de se donner libre cours.
//
Si tu veux éviter les méfaits des pillards,
Cache ton or, et ta croyance, et ton départ.
//
Comme Charles Quint se trouvait avec sa suite au sommet d'une tour, un capitaine se mit à rire, et, assailli de questions, il reconnut avoir soudain songé que s'il enlaçait l'empereur et sautait avec lui dans l'abîme, son nom serait inscrit d'une encre ineffaçable au livre de l'histoire.
//
Nos gens d'ici ne veulent pas vivre mieux, dans quelque avenir indéfini ; ils veulent bien vivre dès maintenant. Ils ne veulent pas qu'on fasse tinter la monnaie à leurs oreilles ; ils voudraient bien l'avoir en poche.
//
L'ironie, arme classique des vaincus.
//
La crainte est l'une des bases physiologiques, voire physiques de l'être. Quand le sol vacille, quand il semble même que la maison va s'écrouler, le regard cherche la porte. Ce qui crée une élite -- par exemple, ceux qui ne se sont pas laissé prendre au piège. A cet égard, Ulysse est l'un des plus grands parmi nos modèles, le flaireur par excellence. L'angoisse est une donnée primaire : le flair instinctif pour le danger. En dérivent alors la prudence, puis la ruse, et aussi la perfidie. Si la prudence d'Ulysse est si extraordinaire, c'est qu'il possède aussi et le courage et la curiosité. La froide raison, l'audace, l'esprit d'examen propres à l'Occidental s'ébauchent en lui.
//
Nous devrions agir par instinct, comme les animaux, ou par raison, en êtres intelligents. Dans ce cas, nous ignorerions le remords. Mais ici, le sol est déjà trop épuisé pour produire une Saint-Barthélémy ou des Vêpres siciliennes ; il est tout juste bon à nourrir l'infamie. D'autre part, il faut tenir compte de la liquidation par voie administrative. C'est l'affaire de fonctionnaires confortablement assis sur leur rond-de-cuir, au bureau, et ils s'en chargent sans nulle passion... ce sont souvent des types qui ne peuvent pas voir égorger un poulet.
//
N. disait : "Le sein, c'est la poitrine qui se hausse jusqu'au rang de mystère."
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Quand on veut dérober une entreprise à la vue de la société, il existe un moyen éprouvé : la tisser dans la trame d'une autre qu'elle approuve et même tient pour digne d'éloges.
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Je ne veux pas croiser le fer avec la société, et surtout pas pour l'améliorer, par exemple, mais la tenir à distance, quoi qu'il advienne.
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Je ne sais pas si je cite exactement un penseur gaulos : "L'homme n'est ni ange ni bête ; mais il devient démon quand il veut faire l'ange".
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Le despote jouit d'abaisser l'homme.
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A tout prendre, il n'y a plus que des tyrans ; la façon dont ils rembourrent leur massue ne varie que par la couleur, mais non par la matière. Leurs ressemblances, jusque dans le choix de leurs mots, montre que des trois grands principes, c'est celui de l'égalité qui l'a emporté. La liberté a été dévorée au bénéfice de l'égalité. Le tyran est le niveleur ; chacun se reconnaît en lui.
La fraternité signifie que ce n'est plus le père qui sacrifie les fils, mais les frères qui s'égorgent réciproquement.
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La liberté commence où cesse la liberté de la presse.
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Mot d'un sage antique : "Le jour, tous voient le même monde ; en rêve, chacun voit son monde particulier".
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Il se trouve des juristes, et même des théologiens, pour considérer la peine de mort comme l'ultime recours de la justice. D'autres la rejettent, la tenant pour immonde. Les uns et les autres invoquent d'excellentes raisons, et se réfèrent aux statistiques, qu'on peut, comme toujours, exploiter à sa guise. Il faudrait faire abstraction du chiffre.
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Le plus ardent besoin de l'eunuque est de châtrer l'homme libre.
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"Il suffit que nous montrions de temps à autre que nous n'avons pas peur d'aller jusqu'au bout, à travers la personne. Le sang est un arcane efficace ; qu'on l'utiliser homéopathiquement, et c'est assez. Quand le malade commence à avoir la fièvre, la saignée est recommandée ; en cas d'abcès purulent, on ne pourra faire l'économie d'un bon coup de bistouri."
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La vie est trop belle et trop courte pour qu'on la sacrifie à des idées, bien qu'on ne puisse toujours éviter d'en être contaminé. Mais salut aux martyrs !
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Si on permet à quiconque de déboutonner le bouton du haut, il ne tardera pas à se présenter nu.
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Une conversation avec quelqu'un qui se présente sous le nom de réaliste se termine le plus souvent de manière fâcheuse. Il a de la chose, comme l'idéaliste de l'idée ou l'égoïste du moi, une notion bornée.
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Quel que soit l'objet sur lequel on médite, il faut commencer par les Grecs. La *polis*, dans sa multiplicité : batterie de cornues où l'on a déjà risqué toutes les expériences. Tout s'y trouve -- des profanateurs des Hermès et des tyrannicides à la retraite totale loin des querelles du monde.
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L'indifférence devrait être l'idéal des hommes libres.
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Écrit par : Blumroch | 19/10/2022
A tout âge de la vie, à quelque endroit qu’elle s’interrompe, l’âme a rempli, sans que rien y manque, l’objet qu’elle s’était proposé ; et elle peut dire : «J’ai tout ce qui me revenait». En outre, l’âme embrasse le monde et le vide qui l’entoure ; elle en examine la figure ; elle étend ses regards dans l’infini de la durée ; elle comprend les renaissances périodiques de l’univers, et, en les considérant, elle se rend compte que nos successeurs ne verront rien de nouveau, que nos prédécesseurs non plus n’ont rien vu de plus que nous, — et qu’un homme de quarante ans, pour peu qu’il soit intelligent, a vu, en quelque sorte, toutes les choses qui ont été et toutes celles qui seront, en ce sens qu’elles sont toujours semblables à elles-mêmes.
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C'était une pensée schopenhauerienne de Marc-Aurèle, assez réconfortante face aux épreuves et à la mort qui viennent avec l'hiver -- à condition d'avoir atteint, voire dépassé la quarantaine. ;-) Le spectacle, s'il est répétitif qui voit le triomphe des krons, des korrompus et des kriminels, n'est ni très drôle ni très intéressant, ne l'a jamais été et ne le sera jamais.
Inutile de donner la référence, c'est de première main.
Bon, les ceusses désireux de briller dans les salons ajouteront XI, 1, dans la traduction procurée par Wikisource -- j'ai la flemme de recopier celle de l'édition Garnier-Flammarion.
Écrit par : Blumroch | 19/10/2022
"C'était une pensée schopenhauerienne de Marc-Aurèle"
Ouais, bon, ET la philosophie ET la science ont un peu évolué depuis, c'est toujours imbitable mais plus proche de la réalité. :-)
https://mindrxiv.org/umfyg/download/?format=pdf
Écrit par : realist | 20/10/2022
https://www.takimag.com/article/the-left-is-using-science-consensus-to-shut-down-free-speech-in-america/
On commence avec des savants qui acceptent d'obéir à des lois votées par des ignares et des menteurs unis au mépris du réel, on finira avec des historiens qui accepteront d'obéir à des lois votées par des ignares et des menteurs unis au mépris des faits.
Pas nécessairement dans cet ordre. ;-)
Choix, Greta, même combat religieux mené par des tarés heureux d'anéantir tout esprit critique et tout raisonnement logique appuyé sur la réalité parce qu'ils sont incapables de défendre leurs positions avec des arguments.
Et comme est passé le temps des martyrs des sciences et de la logique... Ne pas oublier -- si mes souvenirs sont exacts -- qu'on a vu l'excellent, estimable mais parfois incohérent Raoult faire le numéro du disciple de Feyerabend tout en expliquant que fonctionnaire, il devait obéir aux ordres, non sans avoir accordé son appui à la scandaleuse décision du dément élyséen imposant l'infection obligatoire du personnel de santé.
Écrit par : Blumroch | 20/10/2022
Blumroch > Elle comprend une quantité surprenantes de dérivés et de sous dérivés. N'ayant ni l'oreille musicale ni l'intérêt pour la chose je n'ai qu'une connaissance embryonnaire dans le domaine.
Écrit par : Pharamond | 20/10/2022
"Eco moron" : jolie trouvaille.
https://www.dailymail.co.uk/news/article-11337831/Climate-protestors-left-cold-dark-gluing-Volkswagen-shop-floor.html
Face aux tarécolos collés au sol s'imposent les bons réflexes, les petits gestes qui comptent : je baisse [le rideau], j'éteins [la lumière et le chauffage], je me décale [loin de ces pauvres [autocensuré] en attendant qu'ils crèvent -- sans violence, ah ah].
Écrit par : Blumroch | 21/10/2022
Comme d'habitude, signalement avant visionnage :
https://www.youtube.com/watch?v=RiclK_1i0N4
Écrit par : Blumroch | 21/10/2022
Sur un sujet difficile, bonne intervention de Stéphane Edouard (ayant abandonné pour l'occasion les sujets poubelles que son public semble affectionner) :
https://www.youtube.com/watch?v=CwU5MKuh18o
Écrit par : Blumroch | 22/10/2022
C'est apparemment très fashionable de célébrer les projets d'élimination des tyrans -- ou ressentis tels -- d'hier :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Complot_du_20_juillet_1944
Où en sont les projets d'élimination -- s'ils existent -- des tyrans -- ou ressentis tels -- d'aujourd'hui ?
Écrit par : Blumroch | 22/10/2022
A en croire ouiquikwote, le surestimé Clemenceau aurait un jour affirmé : "Le gouvernement a pour mission de faire que les bons citoyens soient tranquilles, que les mauvais ne le soient pas."
C'est la ligne suivie par foutriquet 2.0 : garantir la tranquillité et l'impunité au peuple nouveau des importés armés ; maintenir le vieux peuple, désarmé, dans l'inquiétude et dans la peur.
Quousque tandem...
Fine réflexion d'un ricain : quand un policier est blessé ou tué en service, tout le monde de dire "Il connaissait les risques du métier". Etrangement, quand un voyou est blessé ou tué en commettant un crime, personne de dire "Il connaissait les risques du métier".
Écrit par : Blumroch | 23/10/2022
Blumroch > La Mite en forme.
Mais le voyou blessé est un éternel ado rebelle donc irresponsable, cela fait toute la différence.
Écrit par : Pharamond | 23/10/2022
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