21/07/2022
Métaux
Fin des métaux rares : c'est l'heure du choix (avec Aurore Stéphant)
14:36 | Lien permanent | Commentaires (23)
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Fin des métaux rares : c'est l'heure du choix (avec Aurore Stéphant)
14:36 | Lien permanent | Commentaires (23)
Commentaires
c'est une nouvelle rubrique "Professeur Philippulus" ? fin des haricots, fin du monde, fin de tout?
l'écologie ne serait qu'un messianisme? Une religion du desert...
Écrit par : Dia | 21/07/2022
Dia > Tout ce que je sais c'est que nous sommes dans un monde fini et que ce que dit Aurore Stéphant dans la vidéo (même si elle en fait un peu trop) me parait très crédible.
Écrit par : Pharamond | 21/07/2022
L'avantage d'un métal, c'est qu'il peut être refondu
Sous certaines conditions
Écrit par : Kobus van Cleef | 22/07/2022
finalement les globalistes ont raison il faut supprimer 90% de la population et régresser au XVIIème siècle
Écrit par : Paul.Emic | 22/07/2022
Kobus van Cleef > La population augmente et les besoins encore plus à cause de la technicité grandissante des appareils. La demande est donc exponentielle et le réemploi des métaux très imparfaite (perte, destruction...) ne peut couvrir qu'une toute petite partie de la demande.
Paul.Emic > Peu importe que l'on globalistes, écolos, complotistes ou autres, les faits sont là : nous consommons toujours plus sur une planète non extensible. Le problème avec l'élite globaliste est qu'elle veut conserver son niveau de vie en réduisant celui des autres.
Écrit par : Pharamond | 22/07/2022
ce qui de leur point de vue se défend
Écrit par : Paul.Emic | 22/07/2022
Paul.Emic > Le problème est que nous ne sommes pas du même côté de la lorgnette.
Écrit par : Pharamond | 22/07/2022
Ni surtout du même côté du bâton :-)
Écrit par : Paul.Emic | 23/07/2022
"finalement les globalistes ont raison il faut supprimer 90% de la population et régresser au XVIIème siècle"
conclusion juste si l'on en croit la propagande relayée ici même. Preuve qu'il s'agit bien du discours du Capital. Il suffirait donc ne ne pas le reprendre !
Écrit par : Dia | 23/07/2022
Il n'y a pas de rareté de métaux, pas de pic pétrolier, il n'y a pas de pandémie, il n'y a pas d'apocalypse cimatique, il y a uniquement des taux d'intérêt négatifs, un taux de profit à zéro, en clair un capitalisme au point mort, un capitalisme qui veut nous préparer à l'immense recession qui vient et peut être veut nous faire croire qu'il l'aurait voulu.
Écrit par : dia | 23/07/2022
Vert c'est la couleur dont le Capital veut désormais habiller sa crise (j'espère terminale). Vert ce sera la couleur de nos futurs tickets de rationement. Ceux qui vont nous interdire de prendre la voiture ou de bouffer de la viande... pour sauver la planète ! Et tous les pauvres cons de se réjouïr d'être plus pauvres.
Après deux ans de coviconneries ils serait assez urgent de développer son flair pour les arnaques.
Écrit par : Dia | 24/07/2022
le capitalisme ne peut pas se permettre de plafonner, or nous vivons das un monde fini, il ne peut progresser à l'infini. Le substitut à l'infini en la matière ce sont des effondrements successifs qu'il faudra ensuite remonter.
Il y a une théorie intéressante sur la nature des hydrocarbures, théorie que les Russes auraient appliquée et qui leur aurait permis de trouver du pétrole à des endroits improbables.
Dans un monde parfait ce serait une aubaine pour l'humanité, dans un monde capitaliste c'est une catastrophe car l'énergie illimitée donc quasiment gratuite est inconcevable dans cette vision du monde. N'oublions pas, à titre d'exemple que la société Nestlé ne rêve que de l'appropriation des ressources libres comme l'eau, pourquoi pas demain l'air ?
Écrit par : Paul.Emic | 24/07/2022
@Paul-Emic : Troisième et dernier signalement. ;-)
http://guerrecivileetyaourtallege3.hautetfort.com/archive/2022/06/24/musique-620-6388636.html#c9013355
(On trouve facilement le Bergier "en ligne".)
Eh, tout doit avoir un propriétaire, à commencer par le bétail. A une époque, les vendeurs de textes informatisés voulaient facturer la *relecture* ; on sait aussi comment certains voudraient ajouter des taxes sur les ventes de produits d'occasion, sous le prétexte fallacieux que le producteur d'origine n'avait pas eu sa nouvelle livre de chair ; certaines pourritures voulaient faire payer à l'acte l'utilisation des outils informatiques rendus incapables de fonctionner en dehors d'une liaison à un serveur central. L'oligarchie n'aime plus la vente mais la rente à perpétuité.
Écrit par : Blumroch | 24/07/2022
De même, nos outils informatiques sont déportés ( déportés ? comme les zeures les plus....) sur des serveurs
Serveurs dont nous payons location,connections et maintenance
Assez bien joué de la part des commerciaux des différentes boîtes que nous enrichissons
Avec la raréfaction et le renchérissement de l'énergie, il est fort probable que nous devions à nouveau interpréter les scanners sur des planches 36X43, avec des dictaphones et des cassettes audio toutes pourries
Ça me rappellera mes premiers remplacements, 35 ans auparavant
35ans...., le temps n'a épargné personne, et n'épargnera personne ni les hommes ni les idées ni les techniques
Écrit par : Kobus van Cleef | 24/07/2022
Je viens de revisionner la vidéo
La malheureuse gesticule assez brutalement
Disons qu'un métal serait utile dans son cas, le lithium
Pour le reste, elle a raison
Et je m'insurge contre les tendances remplacistes
Je vais d'ailleurs de ce pas tenter de resserrer les connexions de la vieille perceuse électrique héritée de mon père
Pareil pour les bagnoles
Et les motos d'ailleurs, mais le marché de l'occasion en moto est plus florissant que celui des bagnoles ( et des scanners et des échographes, euphémisme...)
Écrit par : Kobus van Cleef | 24/07/2022
@ Blumroch c'est particulièrement flagrant dans une société qui se nomme petit logiciel. Petit logiciel mais grosses pognes
Écrit par : Paul.Emic | 24/07/2022
@Paul-Emic : Ne me lancez pas sur le sujet Guillaume Portails troisième du nom. L'individu m'a immédiatement inspiré un profond mépris pour de multiples raisons.
Le pire de l'industrie informatique est devenu la norme. Les mises à jour obligatoires autant qu'inutiles (voire nocives, ajoutant de nouveaux problèmes sans jamais régler tous les précédents), c'est l'infection *ad infinitum* et au-delà ; la volonté de faire payer à chaque utilisation avec contrôle à distance, c'est le "vous n'aurez plus rien" sauf ce que nous consentirons à vous louer à nos conditions ; le recours systématique à des sous-traitants, c'est le refus des responsabilités ; le concept du "good enough software", c'est l'excuse pour livrer des produits défectueux.
Y'aurait un livre à écrire sur le sujet.
Écrit par : Blumroch | 24/07/2022
j'aurais tendance à penser que e problème ne vient pas tant du portail qui exploite à fond une rente de situation que de l'indigence de la concurrence. Un pu curieux que sur une planète de bientôt 8 milliards d'individus il ne se trouve pas 5 ou 6 systèmes d'exploitation grand public. Quand je regarde son unique concurrent, qui se décline sous au moins une demi douzaine de clones, j'ai toujours l’impression de vouloir entrer par effraction dans une secte quant aux logiciels dédiés qui vont avec ........
Écrit par : Paul.Emic | 24/07/2022
@Paul-Emic : La concurrence ne sert à rien, en tout cas jamais à faire triompher le meilleur produit. Quand la médiocrité a atteint une masse critique chez les programmeurs comme chez les utilisateurs, la partie est perdue (sounds familiar, eh ?) -- sauf miracle.
Digital Research, dont le CP/M avait d'ailleurs fortement... "inspiré" le vrai créateur de "M$"-DOS (acheté pour trois fois rien par un Billou bien incapable de l'écrire, seul ou en groupe), avait ensuite paradoxalement proposé avec DR-DOS un bien meilleur produit que celui vendu par M$ (dans des conditions scandaleuses, but that's another story) : personne ou presque ne l'a acheté.
Minux a permis à quantité d'andouilles se prenant pour des super-geeks du développement de fabriquer leur petite "distro" personnelle en fonction de leurs lubies, n'offrant donc pas un front uni et rassurant aux ceusses qui auraient voulu, pour diverses raisons, quitter Vindoze (au reste, quelle utilité de perdre du temps à apprendre de nouvelles méthodes pour accomplir exactement les mêmes tâches qu'avant ?). Pire, en plus de la guéguerre du "ma distro est meilleure que la tienne", ils ont vite repris les tares d'en face : versions successives plus ou moins stables et parfois incompatibles les unes avec les autres, correctifs à répétition, composants logiciels à la disponibilité aléatoire en vertu du principe "Si le pilote de votre périphérique n'existe pas, vous n'avez qu'à le programmer vous-même" (comme si tout le monde avait le talent et le temps pour ces fantaisies !), ergonomie contestable, complexité excessive pour l'utilisateur lambda, obligation de passer par Internet. Quand au code sous licence GPL, il n'est pas nécessairement meilleur ou plus fiable que celui écrit par de méchants programmeurs désireux de vivre de leurs compétences (quand elles existent).
Pas un hasard si, à une époque, pullulaient les textes facétieux comparant les OSes entre eux en les assimilant à des bières, des voitures ou des compagnies aériennes : manière astucieuse d'en souligner, souvent de manière partisane, les caractéristiques (je n'ai pas dit : les avantages et inconvénients). En voici un qui remonte au milieu des années 90 :
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If Operating Systems Were Airlines...
DOS Air: Passengers walk out onto the runway, grab hold of the plane, push it until it gets in the air, hop on, then jump off when it hits the ground. They grab the plane again, push it back into the air, hop on, jump off...
Mac Airways: The cashiers, flight attendants, and pilots all look the same, talk the same, and act the same. When you ask them questions about the flight, they reply that you don't want to know, don't need to know, and would you please return to your seat and watch the movie.
Windows Airlines: The terminal is neat and clean, the attendants courteous, the pilots capable. The fleet of Lear jets the carrier operates is immense. Your jet takes off without a hitch, pushes above the clouds and, at 20,000 feet, explodes without warning.
OS/2 Skyways: The terminal is almost empty -- only a few prospective passengers mill about. The announcer says that a flight has just departed, although no plane appears to be on the runway. Airline personnel apologize profusely to customers in hushed voices, pointing from time to time to the sleek, powerful jets outside. They tell each passenger how great the flight will be on these new jets and how much safer it will be than Windows Airlines, but they will have to wait a little longer for the technicians to finish the flight systems. Maybe until mid-1995. Maybe longer.
Fly Windows NT: Passengers carry their seats out onto the tarmac and place them in the outline of a plane. They sit down, flap their arms, and make jet swooshing sounds as if they are flying.
Unix Express: Passengers bring a piece of the airplane and a box of tools with them to the airport. They gather on the tarmac, arguing about what kind of plane they want to build. The passengers split into groups and build several different aircraft but give them all the same name. Only some passengers reach their destinations, but all of them believe they arrived.
Wings of OS/400: The airline has bought ancient DC-3s, arguably the best and safest planes that ever flew, and painted "747" on their tails to make them look as if they are fast. The flight attendants, of course, attend to your every need, though the drinks cost $15 a pop. Stupid questions cost $230 per hour, unless you have SupportLine, which requires a first class ticket and membership in the frequent flyer club. Then they cost $500, but your accounting department can call it overhead.
MVS Air Lines: The passengers all gather in the hangar, watching hundreds of technicians check the flight systems on this immense, luxury aircraft. This plane has at least 10 engines and seats over 1,000 passengers; bigger models in the fleet can have more engines than anyone can count and fly even more passengers than there are on Earth. It is claimed to cost less per passenger mile to operate these humungous planes than any other aircraft ever built, unless you personally have to pay for the ticket. All the passengers scramble aboard, as do the 200 technicians needed to keep it from crashing. The pilot takes his place up in the glass cockpit. He guns the engines, only to realize that the plane is too big to get through the hangar doors.
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Reste un fait : très rapidement, les meilleurs ont été remplacés par des médiocres, et les ingénieurs compétents par des commerciaux hâbleurs.
Écrit par : Blumroch | 24/07/2022
Dia > Ce n'est pas parce que les valets du Système nous mentent à longueur de journée que tout ce qu'ils disent est faut. Une exploitation et un gaspillage exponentiels depuis des décennies peuvent logiquement amener des raréfactions dans certaines ressources.
Kobus van Cleef > Il y a peu encore, les progressistes béats croyaient justement en un progrès infini alors que nous étions sceptiques, maintenant qu'ils amorcent un virage à 180 degrés il serait en effet judicieux de ne pas adhérer à leur anciennes croyance par esprit de contradiction comme le font certains des nôtres.
Écrit par : Pharamond | 25/07/2022
Prétendre que la mise à la casse des véhicules quasi neufs ou l'achat de frigo neufs rutilants en changeant de maison ne fait pas de nous des girouettes versatiles
Je m'insurge assez souvent à la maison du turn over des différents matériaux qui nous entourent et qui, dans une methonymie quasi parfaite, nous servent (tout ce que je qualifie d'ancillaire, depuis l'aspiro et le fer à repasser jusqu'au grille pain pour lequel la durée de vie n'excède pas trois ans)
Ceci sous les quolibets de mon entourage, évidemment
Idem pour les frippes que nous nous mettons sur le ku, je trouve assez souvent dans les brocantes, des chemises de curé ( longues et surtout avec imprégnation hormonale neutre, ce qui devrait protéger contre le cancer de la prostate) du siècle dernier, qu'on m'explique par quel miracle ces fringues déjà portées ne sont pas définitivement ruinées par leur usage, alors que le bloudjine de mes petits enfants se volatilise une fois qu'ils l'ont sur les fesses ( idem des ticheurtes et des chemises)
Mention spéciale pour les montres pourvues de piles ( c'est trop chiant à remonter) , piles contenant du lithium, lithium qui pourrait soigner la trichotillomanie de la dame de la vidéo ( elle ne cesse de se pétasser la tignasse que pour agiter les mains, de toute évidence, elle a un trouble de l'humeur ou du comportement,voire même les deux)
Écrit par : Kobus van Cleef | 25/07/2022
Mais elle a des traits assez fins et une avant scène généreuse
Ce qui pourrait rattraper ses variations psychiques
Écrit par : Kobus van Cleef | 25/07/2022
Kobus van Cleef > De mon côté je ne jette jamais rien qui ne fonctionne encore au risque parfois de passer parfois pour un radin.
La dame de la vidéo a un discours convainquant et semble convaincue, mais elle en fait juste un peu trop dans le style prophétesse énervée parce qu'incomprise.
Écrit par : Pharamond | 25/07/2022
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