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19/05/2020

Musique (538)

Proposée par Blumroch :

The Wreckers

My, Oh My

The Wreckers

Way Back Home

 

Proposée par Sven :

The Rolling Stones

Star Star

 

Proposée par La Bleue :

Joy Division

Transmission

Commentaires

Pour ceux qui aiment la basse
https://www.youtube.com/watch?v=jZfPXXQs_Qg

Écrit par : realist | 19/05/2020

realist > Merci pour la découverte... même si je ne suis pas fan, mais je ne dois pas aimer la basse ;-)

Écrit par : Pharamond | 19/05/2020

[Musicalmar du jour]
Dans "License of the Press", une causerie célèbre mais peu inspirée, donnée à Hartford en 1873, Mark Twain formulait, entre deux banalités, quelques réflexions judicieuses sur les journalopes et leurs lecteurs -- les seconds étant des complices des premiers, et non leurs victimes.
//
There are laws to protect the freedom of the press's speech, but none that are worth anything to protect the people from the press.
(Ce n'est pas une proposition pour protéger de la propagande les têtes vides, mais une simple défense du droit de réponse, qui était déjà ignoré même avant que *L'Immonde* n'en fasse un système.)
//
It has become a sarcastic proverb that a thing must be true if you saw it in a newspaper. That is the opinion intelligent people have of that lying vehicle in a nutshell. But the trouble is that the stupid people -- who constitute the grand overwhelming majority of this and all other nations -- *do* believe and *are* moulded and convinced by what they get out of a newspaper, and there is where the harm lies.
(Encore n'est-ce vrai que pour les plus vieux, qui savent encore lire.)
//
That awful power, the public opinion of a nation, is created in America by a horde of ignorant, self-complacent simpletons who failed at ditching and shoemaking and fetched up in journalism on their way to the poorhouse. I am personally acquainted with hundreds of journalists, and the opinion of the majority of them would not be worth tuppence in private, but when they speak in print it is the *newspaper* that is talking (the pygmy scribe is not visible) and *then* their utterances shake the community like the thunders of prophecy.
(C'est le cas de bien d'autres... "occupations" qui ne sauraient décemment être appelées des professions : les [censuré] et les [censuré], sans oublier les [censuré], et combien d'autres parasites.)
//

Écrit par : Blumroch | 20/05/2020

C'est peut-être une impression, mais y'a comme un côté sudiste dans cette chanson :
https://www.youtube.com/watch?v=aFkcAH-m9W0

[Par avance, le musicalmar complotiste de demain]
*Dead Zone* était un honnête film qui a donné naissance à une série médiocre dont je dois avoir vu trois ou quatre épisodes. Je n'ai donc pas vu celui-ci, qui semble fort intéresser les méchants complotistes avides de coïncidences significatives :
https://www.youtube.com/watch?v=gUEa9jzVzu4
J'aime bien le tout premier commentaire, "The level of wickedness and evil I’m witnessing nowadays is mind numbing. Lord Jesus please come !", quand bien même j'irais plutôt espérer le Grand Astéroïde Exterminateur ou l'arrivée de Cthulhu. ;-)

Écrit par : Blumroch | 20/05/2020

[Musicalmar pour le jour d'après]
Je viens de tomber sur un site ricain (trop) américanocentrique dont la droititude est assez dite par la présence des "columnists" Hanson et Coulter. Quelques illustrations universelles sont assez amusantes, comme le moronavirus :
https://patriotpost.us/cartoons/28345
https://patriotpost.us/cartoons/28389
https://patriotpost.us/cartoons/28355
https://patriotpost.us/cartoons/28306
https://patriotpost.us/cartoons/28343
https://patriotpost.us/cartoons/28395

Écrit par : Blumroch | 20/05/2020

Blumroch > Seuls les peuples ethnocentrés ont des chances de survivre.

Écrit par : Pharamond | 20/05/2020

[Musicalmar]
Je pense n'être pas le seul à ressentir parfois des aversions immédiates, instinctives, viscérales pour certaines personnes. Non que je veuille nécessairement les éliminer, mais je les souhaiterais *ailleurs*, dans une autre galaxie, dans un monde parallèle, en tout cas dans l'impossibilité de nuire.
En règle générale (manière hypocrite de ne pas dire : toujours), ces antipathies sont justifiées par les faits qu'on découvre rapidement ou non, au hasard ou au terme d'une enquête, que leur sujet soit une connaissance personnelle ou non. Tout finit par se savoir, même et surtout pour de mauvaises raisons.
Ainsi, dès les débuts de la micro personnelle, j'ai toujours éprouvé le plus profond mépris pour William H. Gates, troisième du nom, l'homme qui a fait sa fortune "par tous les moyens même légaux".
Je tiens notamment sa fameuse lettre aux hobbyists[1] pour un monument de comique "hénaurme" et d'incroyable aplomb. Pour tout dire, c'est digne de Foutriquet 2.0.
Sans Kemeny, Kurtz et Paterson, pas de mikri$oft, but that's another story...
L'individu qui souhaite réduire considérablement le nombre d'individus sur terre et qui, "en même temps", prétend les sauver avec de mystérieux vaccins voulus obligatoires, est le héros de cette anecdote narrée par Roger X. Cringely dans *Accidental Empires*[2], un livre divertissant autant qu'instructif :
//
William H. Gates III stood in the checkout line at an all-night convenience store near his home in the Laurelhurst section of Seattle. It was about midnight, and he was holding a carton of butter pecan ice cream. The line inched forward, and eventually it was his turn to pay. He put some money on the counter, along with the ice cream, and then began to search his pockets.

“I’ve got a 50-cents-off coupon here somewhere,” he said, giving up on his pants pockets and moving up to search the pockets of his plaid shin.

The clerk waited, the ice cream melted, the other customers, standing in line with their root beer Slurpies and six-packs of beer, fumed as Gates searched in vain for the coupon.

“Here,” said the next shopper in line, throwing down two quarters.

Gates took the money.

“Pay me back when you earn your first million,” the 7-11 philanthropist called as Gates and his ice cream faded into the night.

The shoppers just shook their heads. They all knew it was Bill Gates, who on that night in 1990 was approximately a three billion dollar man.
//
Trois anecdotes définissent un homme comme trois points un triangle. Dans le cas d'un individu zérodimensionnel[3], une seule suffit amplement -- ou même une photo.

[1] https://en.wikipedia.org/wiki/Open_Letter_to_Hobbyists
[2] L'extrait provient du chapitre 6, qu'on trouvera ici avec le livre complet et révisé :
https://www.cringely.com/2013/02/25/accidental-empires-chapter-6-chairman-bill-leads-the-happy-workers-in-song/
[3] Je sais, bidimensionnel serait plus juste et plus approprié.

Écrit par : Blumroch | 22/05/2020

Blumroch > Malgré le peu d'estime que j'ai pour le personnage, trop "cool" pour être honnête, j'hésite à prendre cette histoire pour argent comptant sans réelle preuve même si elle n'est pas invraisemblable, certains individus pourtant richissimes sont d'une radinerie écœurante.

Écrit par : Pharamond | 22/05/2020

@Pharamond : Aurait-il inventé ou même simplement déformé cette histoire, que Cringely aurait été réduit à la misère par les avocats de mikri$oft depuis fort longtemps -- l'anecdote est célèbre depuis plusieurs *décennies*.
Au reste, le personnage a fort bien vu que Gates et Jobs étaient les deux pires (censurés) de cette industrie, et que Steve *The Woz* en était le seul homme parfaitement estimable. C'est assez dire son bon jugement.
Un de mes anciens patrons, richissime, avait perdu l'estime de son assistante le jour où, ayant été obligé de prendre le métro pour la première fois de sa vie, il avait osé faire établir une note de frais pour se faire rembourser le ticket.

Écrit par : Blumroch | 22/05/2020

Blumroch > Ces gens-là vous dirons qu'on ne devient pas riche par hasard ;-)

Écrit par : Pharamond | 22/05/2020

@Pharamond : Le même individu affectionnait cette formule, pour partager ses souffrances financières avec le menu peuple de la rédaction : "Chacun est pauvre à son niveau."
Béraud n'avait pas entièrement tort, qui disait "Tous les patrons sont des salauds" (le mot est rapporté par Gabriel Chevalier). La vérité commanderait évidemment de dire "Beaucoup de", voire "Presque tous". C'est probablement pire quand le patron est un ancien salarié. ;-)

Un article de *Diapason* me fait découvrir ce morceau dont le compositeur, un certain Serge Franklin, est, à leur avis, aussi bon que Poledouris :
https://www.youtube.com/watch?v=J6wElApRAUo
Ils exagèrent autant que le ricain présentant l'extrait, qui lui évoque Orff.

Écrit par : Blumroch | 22/05/2020

Edit/Fix : Ces canards sont tellement semblables que je les ai confondus. Je faisais donc référence à *Classica*, et non à *Diapason*. Mea minima culpa.

Écrit par : Blumroch | 22/05/2020

Blumroch > Je ne me permettrai l'individu sans le connaitre, mais ce qu'il dit est assez répugnant.
Il y aussi l'incontournable : " J'ai plus de responsabilités que mes salariés" ; ce qui autorise implicitement à les considérer comme des pions.

Merci pour la découverte. Je n'avais pas vu la mini-série, avec pourtant la délicieuse Laure Marsac ; la musique est vraiment superbe.

Écrit par : Pharamond | 22/05/2020

@Pharamond : Si maintenant faut connaître les gens pour les juger... Paroles et surtout actions suffisent à condamner. ;-)

J'ignorais jusqu'à l'existence de la chose et de l'actrice. ;-)

Écrit par : Blumroch | 22/05/2020

Les commentaires sont fermés.