14/04/2020
Complot
"Chercher le complot ne revient-il pas le plus souvent à nier la réalité ? […] Retrouver du sens à tout prix en raccrochant les faits historiques à un fil directeur unique, un fil directeur qui fournit à l’opinion publique une clé de décryptage d’un événement paraissant absurde ? Un fil directeur qui rassure parce qu’il explique le chaos."
François Pernot
Qui a vraiment tué Henri IV ? in l'article de Wikipédia Assassinat d'Henri IV
11:56 | Lien permanent | Commentaires (32)
Commentaires
Faut quand même rappeler le judicieux propos de Baudelaire[1] :
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Elle[Son Altesse le Diable] ne se plaignit en aucune façon de la mauvaise réputation dont elle jouit dans toutes les parties du monde, m’assura qu’elle était, elle-même, la personne la plus intéressée à la destruction de la superstition, et m’avoua qu’elle n’avait eu peur, relativement à son propre pouvoir, qu’une seule fois, c’était le jour où elle avait entendu un prédicateur, plus subtil que ses confrères, s’écrier en chaire : «Mes chers frères, n’oubliez jamais, quand vous entendrez vanter le progrès des lumières, que la plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas !»
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Subtil, le prédicateur, en effet, digne du C. S. Lewis des *Screwtape Letters*.
La plus belle ruse du système, c'est le complot ouvert, visible par tous, protégé par l'énormité même du crime -- "Ce n'est pas possible, cétroporible, ils n'oseraient pas."
Certains complots sont évidemment *construits*, qui doivent tout à l'imagination, souvent ingénieuse, parfois littéralement *délirante* ; d'autres, vrais, sont *reconstruits*, qui doivent tout à l'esprit de Cuvier faisant revivre le diplodocus à partir d'un os, tout à l'esprit de Le Verrier déterminant la position de Neptune à partir des anomalies du mouvement d'Uranus, tout à l'esprit de Sherlock Holmes, tout au principe de Leopardi.
Ensuite, c'est affaire de probabilités.
Au reste, l'activité de l'intelligence, c'est bien d'expliquer le chaos, de tisser des fils de relations entre les phénomènes.
Evidemment, attribuer aux maîtres une intelligence prodigieuse, c'est leur faire un honneur excessif ; voir en eux des criminels opportunistes prêts à tout, c'est être raisonnable.
[1] https://fr.m.wikisource.org/wiki/Le_Joueur_g%C3%A9n%C3%A9reux
Écrit par : Blumroch | 14/04/2020
"des criminels opportunistes prêts à tout" .. c' est bien mon avis depuis longtemps . le complot à ciel ouvert est un sommet de l' art de tromper . Le Diable ? il rit avec nous ! quant à l' intelligence supérieure elle n' est pas gage de vertu .. loin de là .
Écrit par : EQUALIZER | 14/04/2020
Blumroch & EQUALIZER > Ce n'est pas parce que j'ai cité cette réflexion de François Pernot qui me semble très juste que j'en conclus que les complots n'existent pas. Pour moi elle ne fait qu'expliquer en quelques mots le besoin d'y croire et pas seulement dans notre camp. Les fameuses légendes urbaines doivent beaucoup au phénomène et ceux qui croient et les véhiculent appartiennent à tous les courants politiques. Blumroch dit avec justesse que "La plus belle ruse du système, c'est le complot ouvert, visible par tous, protégé par l'énormité même du crime", mais un complot ouvert n'est plus un complot il suffit juste de vouloir ouvrir les yeux, pourtant qui le souhaite ? Ce "complot ouvert" c'est la volonté d'avoir une gouvernance mondiale par une oligarchie technocratique sur une multitude métissée et servile par l’intermédiaire de sbires à leur solde. Chaque jour nos maîtres nous en donnent des preuves sans rien cacher. Les complots ne sont que des arrangements passagers et ponctuels. Et moins nombreux qu'on ne le prétend. Oui nos maîtres ne sont que des "criminels opportunistes prêts à tout" et c'est déjà beaucoup trop. La "complotite aiguë" de notre camp ne fait que le décrédibiliser, le rendre paranoïaque, et en fin de compte servir nos ennemis.
Écrit par : Pharamond | 14/04/2020
Problème intéressant, un peu analogue à celui de "classe". Existent-t-ils des gens – plus ou moins conscients de leurs interêts – qui agissent durablement de conserve, selon une direction une est constante ? Dnas le cas du complot, ce sont des agents partiellement sachants qui se taisent. Dans le cas des classes, on a une (fausse) conscience qui colletivement se trompe.
Déjà je note que ce sont des notions (clsses, complot) très opértionnelles et dont il serait dommage de se priver dans l'action car en prononçant "l'hyperclasse" on nomme un ennemi à une peuple auquel son destin a échappé.
Je note aussi la candeur coupable de la thèse anti-complotistes : sous prétexte que d'autres forces beaucoup plus déterminantes sont à l'oeuvre dans l'histoire , elle en vient à des naïvetés risibles.
Écrit par : Dia | 14/04/2020
Dia > Le problème originelle avec la notion de classes c'est de croire qu'elles puissent demeurer en quelque sorte immuables. Dans l'hypothèse farfelue d'une classe ouvrière qui prendrait le pouvoir elle ne resterait pas la classe ouvrière mais deviendrait dirigeante avec des intérêts différents. Une classe "inférieure" ne peut simplement qu'exiger d'être respectée et écoutée. C'est peu et gigantesque. Le reste n'est qu'utopie ; les déplacement ne peuvent se faire qu’individuellement.
Écrit par : Pharamond | 14/04/2020
Ratier préférait parler de réseaux et de maillage. Point n'est besoin d'imaginer un chef suprême (secret ou non) ou même une organisation rigide façon S.P.E.C.T.R.E. pour cordonner les saloperies allant toutes dans le même sens. Suffit d'avoir des gens ayant les mêmes intérêts, les mêmes dispositions et la même formation. Toffler estimait que le pouvoir "moderne" était organisé non comme un orchestre symphonique mais comme un orchestre de jazz : l'analogie n'était pas mal trouvée. Pas un hasard, sans doute, si tous les gauchistes que j'ai pu croiser adoraient le jazz et haïssaient la musique classique.
Écrit par : Blumroch | 14/04/2020
Blumroch > Tout ceci est aidé par l'extrême indulgence du quidam pour la bonne raison qu'il pense comme le pouvoir (copinage, passe-droit, culte de l'argent, boboïsme, amour de l'autre de façade...), il ne peste que parce qu'il est au bas de l'échelle et espère gravir quelques marches.
Oui, bonne analogie et on pourrait même préciser le free jazz car le vieux jazz de la Nouvelle-Orléans était encore mélodique. Et les gauchistes sont bien les seuls à pouvoir écouter du free jazz sans devenir fous.
Écrit par : Pharamond | 14/04/2020
@Pharamond : Pour ma part, que le jazz soit vieux ou free, c'est pareil : je suis favorable à l'option "Living in a jazz-free planet". Je ne supporte pas plus ce genre que je ne supporte le rap. Tout ça, c'est de la musique de [autocensuré]. L'armée américaine, quand elle utilise du hard rock pour torturer ses prisonniers[1], fait une belle erreur -- dont on peut imaginer les [mauvaises] raisons.
[1] Dans *Small Soldiers*, si mes lointains souvenirs sont exacts, c'était de la pop genre Madonna ou quelque saleté auditive de ce genre.
Écrit par : Blumroch | 14/04/2020
Blumroch > Mon podium de l'horreur musicale : premier le free jazz, second ex aequo le rap et le metal.
Je n'ai aucun CD de jazz chez moi, mais il m'arrive d'écouter un ou deux morceaux de New Orléans alors que le free me donnent des pulsions breivikiennes.
Écrit par : Pharamond | 14/04/2020
@Pharamond : Tous sur la première marche du podium.
Voici quelques mois, j'ai été consterné d'apprendre que les spécialistes voyaient en Julie London une chanteuse de jazz. J'ai failli jeter les disques ! ;-)
Écrit par : Blumroch | 14/04/2020
Quand je te dis qu'il y a du jazz écoutable ;-)
Écrit par : Pharamond | 14/04/2020
@Pharamond : Si c'est écoutable, ce n'est pas du jazz ! ;-)
Julie London, c'est de la variété pour bar clandestin. ;-)
Écrit par : Blumroch | 14/04/2020
Julie London une belle voix , elle articule si bien que j' en ai même l' impression de comprendre l' anglais :-D je dois avoir quelques virus gauchistes pour aimer le jazz , d' avoir tâté la zique sans doute .. au temps où je jouais Minor swing , ado trainant chez les raboins de Clignancourt (!!) .. du blues aussi (John Lee Hoocker) de lma musique de "nègres" quoi ! en Jazz c' est de loin de Modern Jazz Quartet qui a ma préférence !
https://www.youtube.com/watch?v=_Pt5r05hYAQ&list=RDkfxfl2Tlmio&index=33
https://www.youtube.com/watch?v=V16eShf2cbU
https://www.youtube.com/watch?v=84n82aORNZE
... nobody is perfect !
Écrit par : EQUALIZER | 14/04/2020
;-)
https://www.youtube.com/watch?v=84n82aORNZE
Écrit par : EQUALIZER | 14/04/2020
"ce n' est pas parcequ' on est parano qu' il n' y a pas de complot" ...
Écrit par : EQUALIZER | 14/04/2020
EQUALIZER > Euh... j'ai essayé d'écouter et vraiment je n'aime pas du tout même si cela reste mélodique. Ce qui me rend fou, mais réellement fou c'est ce genre de truc :
https://www.youtube.com/watch?time_continue=220&v=m7Z4UkOjBaQ&feature=emb_logo
https://www.youtube.com/watch?v=xbZIiom9rDA
Écrit par : Pharamond | 14/04/2020
On pourrait poser le problème autrement : est-ce qu'une convergence d'intérêts et, partant, convergence de moyens et convergence de buts, peut être qualifié de "complot" ?
Est-ce que je "complote" avec mon voisin juif pour la disparition d'une tierce communauté qu'on ne peut souffrir ni l'un ni l'autre ?
Est-ce que je "complote" avec mon voisin mélenchonien dans l'exécration partagée d'une finance dévoyée par le clientélisme et la connivence ?
Est-ce que je "complote" avec mon voisin LREM pour stigmatiser ceux qui ne font aucun effort pour respecter les mesures sanitaires préconisées ?
Bref, créer des structures là où il n'y en a pas (cf les constellations du Zodiaque, par ex.) est le propre de l'Homme. Les véritables "complots" sont bien moins nombreux que les images que l'on s'invente.
And by the way, je déteste cordialement et le jazz, et le rap, et la musique dodécaphonique, et le r'n'b, et le ...... ;-)
Écrit par : Arthourr | 14/04/2020
Arthourr > A mon avis pour qu'il y ait complot il faut que le projet de nuisance soit secret et qu'il y ait une mise en oeuvre effective. Les conversations, les souhaits, les anathèmes, le calomnies n'en sont pas.
Écrit par : Pharamond | 14/04/2020
un meurtre devient assassinat par la préméditation établie ... et la tentative par un commencement d' exécution . Idem pour les complots .
Écrit par : EQUALIZER | 14/04/2020
Il n'y a plus grand chose de secret, ce n'est pas pour ça qu'il n'y a pas des saloperies de faites.
Simplement, elles se font au grand jour.
Tout le monde sait que les vieillards se font euthanasier au ritrovil.
Ce n'est pas secret, et c'est vraiment incroyable qu'il n'y ait aucune réaction.
Tout le monde sait que le protocole du Professeur fonctionne.
Tout le monde sait aussi qu'il y a un refus de l'appliquer.
C'est une convergence de faits criminels.
Qui visent qui et quoi ?
Nous et notre peuple.
Complot ou pas, les faits sont là.
Et ils sont têtus.
C'est un complot au grand jour, donc une guerre ouverte et totale.
Écrit par : Carine | 14/04/2020
Argh, le jazz est vraiment au mieux de la mauvaise musique d'ascenseur ou du fond sonore pour la radio FIP. Mais puisque nous en sommes à admettre nos "guilty pleasures", voici un des morceaux que j'écoute sans avoir les oreilles qui saignent, entre autres musiques de films et jeux :
https://www.youtube.com/watch?v=LbLlWLVXbro
Même pas honte ! ;-)
Evidemment, sans originalité, je sacrifie tout le reste pour la marche funèbre de Siegfried et le Liebestod.
Le complot, selon saint Littré, est une "résolution concertée secrètement et pour un but le plus souvent coupable". Or, les diverses bandes mafieuses qui se partagent le pouvoir ou qui y aspirent sont évidemment unies contre les peuples, mais peuvent se combattre les unes les autres, sur des points inessentiels, sans vrais chefs incontestés (apparents ou secrets), sans aucun centre de commandement. Dans cette mauvaise pièce de théâtre, aucun metteur en scène, et de mauvais acteurs, certains en vedette le temps d'un acte, quand d'autres font de la figuration, tous unis pour berner les spectateurs.
Collusion pourrait convenir : "intelligence de deux parties qui plaident, mais qui ne laissent pas de s'entendre pour tromper un tiers.", qui rend compte par exemple de l'umps devenue ce "macronisme" qui n'est en rien une doctrine mais l'attachement au crétin qui, temporairement, autorise l'accès à la gamelle.
De manière plus précise, "entente informelle" serait encore la moins mauvaise expression : une entente sans hiérarchie stricte, entre égaux unis par une même idéologie et un même dessein. Ce n'est pas exactement un réseau (qui suppose une hiérarchie, sauf à être organisé en cellules égales et indépendantes) ; c'est plutôt ce qu'un matheux appellerait un treillis de Boole.
Oligarchie de crapules m'apparaît plus simple et plus compréhensible. ;-)
Les images sont meilleures encore : troupeau, ferme des animaux.
Écrit par : Blumroch | 14/04/2020
@Phara : l' exemple que vous donnez avec ce morceau (mal)choisi exécuté au sax baryton est assez crispant . je distingue la bonne musique et la mauvaise . La "classique" n' est pas exempt de nanards épouvantables . J' ai encore une bonne oreille pour saisir les grilles d' accords , les scies et autres moulins ... Le rap -surtout "français"(?)- est inaudible par ses éructations , mais aux US on en trouve de qualité .. il n' y a pas pire que la variété type "the voice" ... et je tiens le MJQ pour un sommet du genre .. Vous savez que les sons entrent en résonance avec nos organes , que l' écoute des chants grégoriens ont un effet thérapeutique .. mais c' est encore une autre approche ...
Écrit par : EQUALIZER | 15/04/2020
Carine > Oui, une guerre ouverte et totale et mon petit doigt me dit qui seront les perdants.
Blumroch > Je mes souviens qu'on m'avait donné un jour une pile de romans "L'implacable" avec Remo Williams comme héros. Ce n'était pas de la grande littérature, mais c'était drôle et gentiment réac j'avais adoré. Quand le film est passé à la télé j'étais impatient de le voir et j'ai été déçu car outre la médiocrité de l'ensemble il avait réussit à greffer une histoire où le héros combattait des vilains d’extrême-droite.
Des gangs s'allient parfois provisoirement pour se partager un territoire et le mettre en coupe réglée.
EQUALIZER > Je suis assez perplexe quand je vois des personnes se détendre avec du free jazz.
Je n'y connais rien en musique et je m'en tiens à : j'aime ou je n'aime pas. Par contre à part le trio infernal cité plus haut je peux apprécier des morceaux dans tous les genres. Tenez, un de mes préférés :
https://www.youtube.com/watch?v=O87iUDZGDKs
Écrit par : Pharamond | 15/04/2020
@Pha ... pas ma tasse de thé ce morceau , comme quoi . Quant au "free jazz" j' en ai écouté pour me faire une idée (Ornet Colman) il y a si longtemps dans les débuts . Expérience non renouvelée . J' en reste au MJQ .. à ce propos j' ai pu échanger en parler avec Lucien Rebatet pour son livre "Une Histoire de la Musique" , le Jazz n' étant pas sa spécialité il renvoyait à Hugues Panassié (sur l'histoire du jazz) et disait que le MJQ pour lui était une musique hybride entre classique et jazz .. il comprenait que l' on puisse aimer ce genre . Les goûts musicaux on peut en discuter mais chacun a ses préférences . Et c' est bien ainsi .
Écrit par : EQUALIZER | 15/04/2020
EQUALIZER > Oui, c'est bien ainsi. Je comprends tout à fait que l'on puisse avoir des goûts différentes des miens, et c'est heureux, mais que l'on puisse se détendre en écoutant du Boulez ou du free jazz restera pour moi un mystère. C'est au-delà de aimez ou ne pas aimer ce genre de musique me donne l'impression que l'on puisse se délecter en reniflant un poisson pourri ou avoir chez soi des posters de tas d'ordures, ça agresse tout être normalement constitué.
Écrit par : Pharamond | 15/04/2020
@Pharamond : Quand j'avais vu le nanard, j'ignorais l'existence de romans. Seul le dynamique générique était à sauver, avec quelques remarques du mentor. Les scénaristes auraient-ils été meilleurs, qu'ils auraient pu lancer un honnête feuilleton de type *Equalizer*.
@EQUALIZER : J'ai bien précisé que nous étions là dans le domaine des "guilty pleasures", de ces oeuvres mineures qu'on apprécie *quand même* pour diverses raisons, souvent personnelles. ;-) L'important, ce me semble, c'est d'avoir toujours le sens des hiérarchies. Ainsi, même chez Wagner, y'a de longs passages dont je me passerais fort bien (dans les *Meistersinger* notamment).
Écrit par : Blumroch | 15/04/2020
free jazz et boulez n' entre pas chez moi ! je ne suis pas maso ! ;-)
Écrit par : EQUALIZER | 15/04/2020
Pharamond > J'en ai peut-être lu une douzaine de la série et toujours avec plaisir.
Dixit Wikipédia :
"L'Implacable a débuté comme une banale série policière, mais, dès le troisième tome, les histoires se tournent assez rapidement vers le fantastique, l'espionnage et la science-fiction, le tout agrémenté d'une féroce satire politique et sociale. Le personnage haut en couleur de Chiun dans les livres est l'instrument principal de cette satire. Raciste, puéril, boudeur, accro aux soaps, il porte un regard en complet décalage sur une Amérique folle et décadente. Quant à Remo, patriote quelque peu sommaire, ses arguments ne tiennent guère face à la sagesse millénaire orientale.
Il découle de cette opposition, des dialogues et des disputes savoureux."
https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Implacable
EQUALIZER > Ceux qui écoutent ça le sont peut-être bien.
Écrit par : Pharamond | 15/04/2020
@Pharamond : Si l'occasion se présente, j'en lirai donc un.
@EQUALIZER : Neither am I ! ;-)
Écrit par : Blumroch | 15/04/2020
Blumroch > Malheureusement je n'en ai plus à te proposer, vendus un jour de disette lorsque le papier écrit avait encore quelque valeur.
Écrit par : Pharamond | 15/04/2020
@Pharamond : Merci d'y avoir songé. Je viens de trouver une source alternative. ;-)
Eh bien, je ne te pensais pas si âgé, que d'avoir connu l'époque où les livres valaient encore quelque chose. Moi, oui, mais c'est parce que je suis *né* vieux. ;-)
Écrit par : Blumroch | 15/04/2020
Blumroch > Et pourtant j'ai connu cette époque. Pour me débarrasser des livres dont je ne veux plus je les mets dans le hall de mon immeuble avec une affichette "servez-vous".
Écrit par : Pharamond | 15/04/2020
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