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29/10/2018

Têtard mon ami

Dans La forme de l'eau de Guillermo del Toro une femme de ménage muette se prend d'affection pour un amphibien victime de méchants militaires.

Dans Cold Skin de Xavier Gens deux hommes isolés sur une île entretiennent des relations plus qu’ambiguës avec une amphibienne.

Le métissage passe à la vitesse supérieure ; après tout qui peut le plus peut le moins, dit-on. 

Commentaires

Remarquons quand même, bibliques ou darwiniens, que nous sommes tous sortis des abysses les plus profonds un jour ou l’autre. Certes, il y a des milliards d’années, mais à l’époque, nous savions naturellement tous nager dans un monde titanesque pour le meilleur ou le pire sans qu’un Etat-Papa et un Gouvernement-Maman nous apprennent à nous noyer par solidarité.
Avez-vous reçu mes deux images ?

Écrit par : Martin-Lothar | 29/10/2018

Il est vrai, mais depuis nous avons changé. Outre le fait que nos ancêtres n'ont jamais ressemblé à ces créatures cousines de celle du Lagon noir, notre évolution explique que nous ne trouvons pas très sexy notre lointaine aïeule Lucy.

Pour les images ma boîte les avait mises avec les spams alors qu'elle conserve de nombreuses pubs... Heureusement que vous m'avez signalé votre envoi.

Écrit par : Pharamond | 29/10/2018

Il y a quand même une différence entre "La forme de l'eau", film amerloque bidon et "Cold Skin" qui se rapproche plus de Stevenson, Poe ou Vernes quant au scénario.
Quant au métissage (prôné entre autres par Sarkovici)... hélas... ;o)

Écrit par : téléphobe | 30/10/2018

Les commentaires sont fermés.