29/05/2015
Moloch
Notre pain quotidien de Nikolaus Geyrhalter
08:45 | Lien permanent | Commentaires (16)
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Notre pain quotidien de Nikolaus Geyrhalter
08:45 | Lien permanent | Commentaires (16)
Commentaires
et encore....dans votre docu ,les poules n'ont pas le bec coupé
il parait que ça se fait pour les empêcher de se becquetter.....
Écrit par : kobus van cleef | 29/05/2015
pas mal la bécane à eventrer les porcs sincèrement c'est du matos d'avant garde
remarquez, la machine à décerveller le français , c'est pas mal non plus
Écrit par : kobus van cleef | 29/05/2015
J'ai vu un jour un documentaire du même genre sur une usine de stylos à bille. J'en avais des sueurs froides. Imaginer ces millions d'Anne Frank se déversant sur le monde libre...
Écrit par : Jazzman | 30/05/2015
A rajouter à la galerie.....
http://lacollaborationaujourdhuienfrance.hautetfort.com/
Écrit par : Maxime | 31/05/2015
kobus van cleef > Dans sa description froide et clinique ce film donne la nausée. Je n'ai jamais été grand amateur de viande, un bon poulet rôti ou une côte de bœuf de loin en loin je suis pour mais je peux aisément ne pas en manger pendant de longue période et ce genre de documentaires ne m’incite pas à changer mes goûts culinaires.
Quand à la machine je crois que c'est la même.
Jazzman > De grâce, ne me tourmentez plus avec le pauvre petit fantôme d'Anne Frank. Voulez-vous un jeu des images dédicacés vous aussi ?
Maxime > Merci, je le rajouterai la prochaine fois.
Écrit par : Pharamond | 31/05/2015
Non non, pas besoin de jeu dédicacé, vous êtes for civil.
Voulez-vous vraiment que j'arrête avec AF ?
Parce que ça va faire fortement chuter la fréquentation de votre blog, particulièrement celle des internautes d'Amérique Latine...
Alors ? Dites clairement : Plus d'AF chez moi.
Ou avouez que vous faites du cinéma pour entretenir le sucepince, comme disent les homards partouzeurs.
Écrit par : Jazzman | 31/05/2015
Après avoir été victime de la guerre et d'avoir servie sans le vouloir les intérêts de son père et de personnes sans scrupules puis ceux du système, elle a droit à une juste tranquillité. Je serais un malotru d'abuser encore de son nom même pour récupérer quelques visites exotiques donc je serai ferme : plus d'AF chez moi.
Les homards partouzeurs entretiendront leur vice d'une autre façon. Non, mais !!
Écrit par : Pharamond | 31/05/2015
AF, ça pourrait aussi être "action française" ou"Aktion vronzaise "( spezial crédite to John Littel et ses bienveillantes)
Ou" anaphore franciscaine " vous savez, "moi président...". qu'il fallait traduire par "vous, cocus jusqu'au trognon"
Écrit par : kobus van cleef | 01/06/2015
Merci Maxime pour votre lien.
Écrit par : téléphobe | 01/06/2015
kobus van cleef > Vous avez lu "les Bienveillantes" ?
Écrit par : Pharamond | 01/06/2015
hélas trois fois hélas
je me suis fadé ce paveton , assez indigeste
on pourrait croire que l'auteur , le très polémique goncourable (? goncouru ? goncouriste ? bref , peu importe ) Littel a procédé de la façon suivante , un soir , rond comme un polaque, il a pris une feuille et fait le portrait de l'anti héros , l'homme méprisable par excellence
colonne de drouate ( oui de droite , y a pas de hasard , merdalafin !); les points négatifs : nazi , Hallemand , juriste , incestueux
colonne de gauche : les points positifs ....là , le mec s'est gratté le ciboulot.....keske je vais bien pouvoir trouver.....ha ben , fastoche , homo , beau et jeune ( quoi , c'est synonyme ? pas forcement , regardez en vronze....non? bon , oubliez )
et roule ma poule , y a assez de matière pour faire un roman
bon, reconnaissons qu'il n'est pas passé par Amsterdam , mais il aurait pu
pas de bol, les raisons qui devaient pousser à détester le perso principal sont celles qui l'ont distingué ....s'il faut croire Stag , l'esthetique des costards Hugo Boss , l'inceste et le parricide/matricide....bref ,je développe pas
non, le plus beau, ce qui me l'a fait apprécier , ce furent les cris d'orfraie qui ont salué sa publication et notamment cette converse entre danny cohn-bendit et l'auteur dans le monde-des-livres ou les nouvelles littéraires ....:
"votre livre est odieux -clamait le rouquin pustulleux toucheur de petites filles - , trois fois je l'ai jetté contre le mur , trois fois ,je suis allé le ramasser!"
que ça ai pu énerver le libertaire Habsolu , celui qui clame chaque jour "à chacun sa merde, ne vous interdisez rien" au point qu'il aie eu envie :
1) de casser la gueule à son écrivaillon
2) d'envisager l'interdiction du pensum
c'est, pour reprendre ses termes , assez jouissif
bon, au final , la mélopée des chambraairs , ça va , même sur le mode descriptomasturbatoire, mais ça lasse , putain , ça lasse.....
dans ma vie d'homme , j'aurais été témoin de pas moins de trente programmations de "nuits et brouillard" d'autant de "shoa", de plusieurs dizaines de milliers d'articles sur ce sujet dans la presse quotidienne , pas même spécialisée et d'un nombre inouï de causeries sur ce thème à vronze cul.....
comme un personnage célèbre d'Edika , auteur de bédé assez confidentiel, je pourrais dire "je bouffe de la....., je chie de la ...., je suis un .....teux de la tête aux pieds !"
Écrit par : kobus van cleef | 01/06/2015
Bravo, moi je suis dans l'impossibilité physique de lire de tel livre. Le thème, l'auteur, le tapage médiatique, les quelques extraits que j'ai pu lire... non vraiment je n'y arrive pas.
A l'époque de sa sortie, une collègue bobo avec qui je m'entends assez bien m'avait demandé si je l'avais lu car c'était le livre du moment à lire absolument, il nous permettait de mieux comprendre le fascisme ; je lui ai répondu que les visites des égouts ne figuraient pas dans mes passe-temps. Elle n'a rien répondu ne sachant comment le prendre.
Écrit par : Pharamond | 02/06/2015
Ha vous, vous connaissez pas Edika
La réplique célébre "je bouffe du carrefour je chie du carrefour je suis un carrefoureux de la tête aux pieds, un carrefoureux de la tête aux pieds, merde !" est, à mon sens, celle qui traduit le mieux l'exaspération du Pékin moyen emmerde tous les putains de jours de sa bon dieu d'existence
Écrit par : kobus van cleef | 03/06/2015
Si, une connaissance gaucho-marginale-tête-à-claques me l'a fait découvrir il y a bien des années. J'avoue avoir trouvé la chose hilarante à certains passages mais mon exploration est restée assez superficielle et j'ignorais cette pensée philosophique au combien juste.
Écrit par : Pharamond | 03/06/2015
Ça peut être amélioré, comme pensée
"Je bouffe deu l'europeu, je chie deu l'europeu, merde cong, je suis ung putaingue d'europeengue de la tête o pieds, congue, merde !"
"Je bouffe du vivrensemble, je chie du vivrensemble..."
"Je bouffe des valeurdelarepublik, je chie des valeurdelarepublik, y a pas plus republicon que moi, merde !"
Et on peut en trouver beaucoup, beaucoup d'autres
Écrit par : kobus van cleef | 03/06/2015
Beaucoup, mais tout se recoupe et veut dire à peu près la même chose que nous vivons un totalitarisme de la pensée flasque.
Écrit par : Pharamond | 04/06/2015
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