statistiques web gratuite

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

23/12/2013

Le jeu des deux images (198)

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte. Cette énigme nous est proposée par Nathanaël (si je ne me trompe pas de pseudo).

198a.jpg

 

198b.jpg

Commentaires

Une chèvre ? ah, ah, ah !

Écrit par : Le Brebis Galleux | 23/12/2013

Roland Magdane?

Écrit par : Anton | 23/12/2013

Woodrow Wilson qui nationalisa les chemins de fer US et fut un des diktateurs du traité de Versailles.

Écrit par : le blaireau-garou | 24/12/2013

Le Brebis Galleux > Les chèvres ne sont pas (encore) des personnalités ;-)

Anton > ?

le blaireau-garou > Jolie réponse ! il n'y a qu'à laisser Nathanaël nous la confirmer ou pas. Personnellement, je n'avais aucune idée.

Écrit par : Pharamond | 24/12/2013

Non, il ne s'agit pas du calamiteux apôtre des Quatorze points, mais oui, il fallait bien identifier le tracé du réseau ferroviaire US et une vue certes inspirée du Versailles de Louis XIV (tiens, curieuse coïncidence numérique !), mais...

Écrit par : Nathanaël | 24/12/2013

Rockfeller ?

Écrit par : Le Brebis Galleux | 24/12/2013

... ni le rejeton Rockfeller, certes héritier du pétrole et du rail, avant d'être après bienfaiteur de Versailles, ce qui somme toute compensa à peine les ravages et pillages perpétrés par l'USAF et la soldatesque yankee sur le patrimoine français, notamment sur la basse Normandie, ci-devant "Toscane française" (La Varende). Mais passons.
Il est un personnage plus étroitement lié à la première image, sinon à la deuxième.

Écrit par : Nathanaël | 24/12/2013

"Les chèvres ne sont pas (encore) des personnalités" et Philippe Seguin, et Thierry Roland?

Écrit par : Le Blaireau-Garou | 24/12/2013

Roland Magdane! (toujours pas?..)

Écrit par : Anton | 24/12/2013

Or donc, il ne s'agit ni :
- d'une chèvre (?)
- de R. Magdane (?)
- de W. Wilson
- de Rockfeller Jr

Écrit par : Nathanaël | 25/12/2013

Un indice, peut-être ?

Écrit par : Pharamond | 25/12/2013

Je pense à Auguste Bartholdi et / ou Gustave Eiffel dont la statue de la Liberté a largement influencé les ingénieurs civils des chemins de fer étasuniens.

Écrit par : Martin-Lothar | 26/12/2013

Point de Barttholdi ni d'Eiffel.
Une indice est demandé. Il en avait été discrètement glissé un : "une vue certes inspirée du Versailles de Louis XIV" (voir supra). Ajoutons, en forme d'insistance : on doit s'intéresser au détail même d'un certain Versailles que montre l'image 1.

Écrit par : Nathanaël | 26/12/2013

Bigre ! j'ai beau me creuser le crâne...

Écrit par : Pharamond | 26/12/2013

Oui, moi je sèche aussi. Nathanaël, un nouvel indice SVP, surtout sur la photo 1 (hein ?) qui est peu lisible (mais c'est peut-être fait pour ?)

Écrit par : Martin-Lothar | 26/12/2013

La première photo semble être l'escalier des ambassadeurs à Versailles, or l'ambassadeur en France des USA vers la fin de l'Ancien régime était Benjamin Franklin qui l'a peut-être monté. Je pense donc qu'il s'agit de Ben Franklin.

Écrit par : Symmaque | 26/12/2013

Mr Franklin was not yet born au temps du railway, mais Symmaque a pertinemment reconnu l'escalier des ambassadeurs... que le prophète du Nouveau Monde ne gravit certainement pas, pour être cette fois né trop tard.
Et voilà non pas un, mais de nouveaux indices.

Écrit par : Nathanaël | 26/12/2013

... enfin je m'embrouille (et je vous embrouille aussi) : c'est le chemin de fer qui n'était pas encore né au temps de B. Franklin. Cafouillages et déraillages.

Écrit par : Nathanaël | 26/12/2013

Première image : l'escalier des ambassadeurs de Versailles ou une de ses copies auquel serait lié le personnage à découvrir.
Seconde image : une partie du système ferroviaire américain, ce qui tendrait à signifier que ledit personnage est attaché à son développement.
Conclusion : toujours rien.

Écrit par : Pharamond | 26/12/2013

M. le rédacteur, vous brûlez. Ayant posé une alternative à propos de la première image, adoptez résolument la seule option possible. La solution est au bout, ou mieux encore, au croisement avec la deuxième image.

Écrit par : Nathanaël | 26/12/2013

Lafayette (me voilà ^^ ) ?
Mirabeau ?
J'en ai marre….

Écrit par : Martin-Lothar | 26/12/2013

Non, M. Lothar. Mirabeau, Lafayette, ni plus ni moins que Franklin, ne durent quoi ce soit aux chemins de fer US, quand bien même les trois connurent le décor Versaillais, mais après tout pas celui que montre la vue 1. En revanche...
Flûte, là, c'est donné !

Écrit par : Nathanaël | 26/12/2013

Je crains que le personnage ne nous soit inconnu ou que la période hiverno-festive ne soit guère propice à la réflexion, je m'avoue donc vaincu et donne ma langue au chat.

Écrit par : Pharamond | 27/12/2013

A votre guise.
La vue 1 est une photographie où l'on reconnaît, reproduit presque à l'identique, l'escalier des ambassadeurs de Versailles, construit sous Louis XIV, mais que Louis XV fit démolir afin d'aménager les appartements de ses filles. L'original n'existait évidemment plus au temps de la photographie.
C'est là qu'intervient la seconde image. Elle aboutit au fameux Boni(-face) de Castellane, rejeton de bonne famille désargentée et modèle du dandy proustien, qui épousa vers 1900 une fille Gould, plus que correctement dotée par un père roi du rail américain. Boni puisa sans vergogne dans la fortune conjugale pour se payer un luxueux caprice en faisant ériger sur l'avenue Foch le "palais rose", sorte de petit Versailles de marbre et de bronzes. L'hôte particulier, qui abritait même un opéra, était agencé autour d'un hall fastueux conçu comme une réplique de l'escalier aménagé pour impressionner les ambassadeurs accrédités auprès de Louis le Grand. Mais le temps passa et à l'aube des années soixante-dix, restait un pastiche passé de mode, mais point encore assez pour imposer son charme désuet. La rapacité de la promotion immobilière fit le reste. Un mien ami sauva alors sur le triste chantier quelques débris de moulures, corniches et cimaises promis aux gravats.
On regrettera certainement qu'ait ainsi disparu, au profit d'indigents immeubles de rapport, le seul ensemble français pouvant encore donner une idée du célèbre escalier, où l'on a pu voir comme une chapelle profane vouée au culte de la puissance monarchique du Grand siècle.

Écrit par : Nathanaël | 27/12/2013

S'agirait-il de Cornelius Vanderbilt, qui a fait fortune dans le chemin de fer et fait construire des demeures s'inspirant de l'architectures de Versailles ?

Écrit par : Symmaque | 27/12/2013

mon commentaire est arrivé trop tard ....

Écrit par : Symmaque | 27/12/2013

Nathanaël > En cherchant dans le net des infos sur les copies du fameux escalier j'ai bien trouvé le lien avec le sieur en question et son caprice immobilier mais je n'arrivais pas à faire le rapprochement avec les chemins de fer US. Tant pis. Sinon, merci pour l'énigme et votre magistral cours d'histoire .

Écrit par : Pharamond | 27/12/2013

Pharamond : je réponds pour Nathanaël : ce dandy de Boniface de Castellane épousa la fille de Jay Gould qui était un des magnats des chemins de fer étasuniens. Et il fit construire le "palais rose" avec l'argent de cette femme qui était si laide et si riche qu'on la disait "belle, mais vue de dot".

Écrit par : Martin-Lothar | 27/12/2013

Je me suis mal exprimé dans mon commentaire, c'était en cherchant la solution de l'énigme que j'avais trouvé le nom de Boniface de Castellane grâce à sa copie de l'escalier versaillais mais je ne l'avais pas retenu parce que je n'arrivais pas à faire le lien avec les chemins de fer US. Mais vos précisions sont les bienvenues et, entre parenthèses, les photos de la fille de Jay Gould aperçues sur le net confirment la citation finale de votre commentaire.

Écrit par : Pharamond | 27/12/2013

Merci à M. Lothar d'avoir résumé l'argumentation un peu délayée dans ma prose abondante.
Je précise juste qu'un amateur du palais de Louis XIV aura remarqué sur la vue 1, outre sa forme photographique anachronique, un éclairage solaire provenant de l'étage, impossible sur le lieu authentique puisque l'escalier était entièrement enclavé. Le hall du Palais Rose s'éclairait en revanche en second jour sur une galerie donnant sur le jardin.

Écrit par : Nathanaël | 27/12/2013

Les commentaires sont fermés.