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23/01/2012

Le jeu des deux images (146)


Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte. Cette énigme nous est aimablement proposée par PdL.

146a.jpg

 

146b.png


Commentaires

Je suis presque sûr d'avoir trouvé mais je laisse jouer les autres.

Écrit par : Pharamond | 23/01/2012

Nestor Halambique?

Écrit par : milou | 23/01/2012

Couché ! Vilain chien !

Écrit par : Pharamond | 23/01/2012

Léon Degrelle: le mouvement Rex et Tintin qui lui ressemble.

Écrit par : Garine | 24/01/2012

Léon Degrelle: le mouvement Rex et Tintin qui lui ressemble.

Écrit par : Garine | 24/01/2012

Voui
La médaille représente Godefroi de Bouillon

Écrit par : PdL | 24/01/2012

"Et je dirais même plus..." Degrelle a prétendu que Hergé l'a pris comme modèle (cf. son livre Tintin mon copain).
J'ai le pdf sur mon disque dur (avec illustrations !), si ca intéresse quelqu'un...

Écrit par : PdL | 24/01/2012

Je pensais moi aussi à Léon Degrelle.

Écrit par : Pharamond | 24/01/2012

La tintinophilie objective a fait justice des prétentions bien trop exclusives de Modeste Ier. Certes, la figure de globe-trotter du jeune Degrelle a pu contribuer à inspirer le personnage de Tintin, parmi bien d'autres figures réelles ou imaginaires. Mais le caractère humble du héros, comme son altruisme, ne le font guère ressembler au condottiere orgueilleux (qui reste par ailleurs un personnage intéressant). Ajoutons qu'Hergé était de tempérament plutôt pacifiste, et que les inclinations politiques ou idéologiques qui transparaissent dans les Tintins de sa grande époque furent surtout influencées par le milieu social belgo-catholique-moyen de ses origines familiales : anticommunisme symétrique d'une méfiance envers le monde de l'argent, hostilité envers les dictatures totalitaires et expansionnistes, loyalisme monarchique, universalisme chrétien surtout, qui font prendre à Tintin la défense du faible, Chinois, Indien des plaines ou du Pérou victimes de l’agression des forts, jaunes ou blancs. Sa collaboration purement artistique au Soir de l’occupation n’enlève rien à ces tendances, au contraire : on pourrait presque dire que dans la grande mêlée qui opposait alors les « ploutocraties » aux « dictatures », d’une certaine manière, Hergé était neutre. Et puis comme beaucoup « d’occupés », il n'avait pas tellement le choix. D’ailleurs, mise à part le capitalisme anglo-saxon égratigné dans l’Etoile mystérieuse, les albums de la guerre sont surtout animés par un principe d’évasion qui atteste l’absence d’engagement de l’auteur, sans doute largement subie.

Écrit par : Nathanaël | 25/01/2012

Merci pour toutes ces précisions, le forfanterie de Degrelle n'étant pas une légende ni son courage d'ailleurs il s'est sans doute attribué plus qu'il ne devait mais une certaine ambiguïté n'en demeure pas moins chez Hergé même si tout ce que vous dites est vrai.

Écrit par : Pharamond | 25/01/2012

Les commentaires sont fermés.