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07/03/2011

Récréation (38)

 

Le bêtisier des forces de l'ordre (4) 

  • Mort sur le coup, l'homme avait déjà été victime d'un accident identique l'an dernier.

  • N'ayant pas été reconnu coupable de cette agression, le suspect a été gardé en détention jusqu'à ce qu'il avoue son agression.

  • N'ayant pu abuser de la jeune femme, il la viola sauvagement.

  • N'écoutant que son courage, la policière fut obligée de battre en retraite.

  • Ne s'étant pas arrêtée au stop, la voiture accéléra brusquement au moment du freinage.

  • Non seulement la mère n'est pas morte comme le prétendent ses enfants, mais il a même été prouvé qu'elle est en vie.

  • Nos soupçons furent éveillés par la canne noire que le soi-disant aveugle portait sous le bras.

  • Nous avons donc pu constater qu'il n'y avait rien à constater.

  • Nous avons enregistré sa plainte en sachant déjà que nous ne ferions absolument rien.

  • Nous avons été obligés de constater le décès avant que le mort nous décrive son agresseur.

  • Nous avons répondu à la personne interrogée que notre rôle n'était pas de le condamner mais juste de l'obliger par tous les moyens à avouer qu'il n'avait pas commis le geste.

  • On ignore les raisons qui ont poussé le désespéré à se faire assassiner.

  • Ouvrant le coffre du véhicule, nous y avons trouvé uniquement du vide.

  • Pendant tout l'interrogatoire, l'homme n'a cessé de nous dévisager avec ses propres yeux.

  • Percé de plusieurs balles, le cadavre flottait quand même dans la rivière.

  • Personne n'ayant donné les ordres nécessaires, il n'était pas difficile d'y obéir.

  • Personne ne connaît l'identité de la victime qui vivait depuis près de dix ans dans le village et se nomme Jean Pierre P...

  • Pour finir, l'interpellé avoua le vol ainsi que quelques autres meurtres.

  • Pour ne pas se rendre à notre convocation, la dame essaya vainement de nous faire croire que son mari était mort le jour même, ce qui était exact.

  • Pour sortir, il est clair que l'homme avait d'abord dû entrer.

  • Prétendant être amnésique, l'homme déclina son identité et fournit tous les détails nécessaires à l'arrestation de son agresseur.

  • Quand le contrevenant a crié : "Espèce de gros con !" dans son dos, le brigadier de service a aussitôt cru se reconnaître et a verbalisé.

  • Quand nous avons découvert son corps, le suicidé avait l'air soucieux.

  • Raide mort, nous l'avons quand même eu vivant.

  • S'il avait encore eu sa tête, il n'aurait eu aucun mal à décliner son identité.

  • S'il n'avait pas obtempéré immédiatement, l'homme n'aurait sans doute pas obtempéré.

  • Sa tête étant fêlée, son sang coulait sur lui en vagues gigantesques.

  • Sans aucune preuve matérielle valable, nous avons eu le regret de devoir le relâcher vers de nouveaux délits.

  • Sans se démonter, l'homme démonta l'arme devant nous.

  • Selon ses dires, l'homme est mort vers 16h30.

  • Ses explications étaient si embrouillées que nous avons dû le relâcher faute d'avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses explications.

  • Seule l'autopsie pourra dire si l'homme est encore vivant.

  • Seuls quelques dégâts matériels furent notés sur le cadavre.

  • Si l'appel n'a pas obtenu de réponse, c'est qu'il est parvenu au poste vendredi en fin de matinée alors que le permanent de service venait de partir se coucher comme tous les jours à la même heure.

  • Si la fenêtre du bureau des inspecteurs n'avait pas été fermée, elle aurait été ouverte, ce qui lui aurait permis de s'enfuir, ce qui n'était heureusement pas le cas

  • Si nos gendarmes n'étaient pas intervenus, le viol n'aurait sûrement jamais eu lieu.

  • Son alibi ayant pu être vérifié, nous avons été obligé de constater que le suspect ne pouvait être présent à l'heure dite sur les lieux du vol qu'il avait commis.

  • Son crâne défoncé parlait pour elle.

  • Soudain, la voiture recula pour mieux avancer.

  • Sous couvert d'anonymat, tous ses crimes étaient signés.

  • Sous le coup de la colère, l'homme mangea une pomme en ricanant.

  • Strangulé à coups de marteau, le cadavre gisait dans la rivière.

  • Tombé du cinquième étage dans une plate-bande, l'enfant se releva comme une fleur.

  • Toutes les entrées de la femme étant verrouillées, les deux cambrioleurs la pénétrèrent par le toit.

  • Trop sourd pour nous entendre, l'homme avait fini par devenir aveugle.

  • Un violent coup de marteau l'avait cloué au lit pour deux jours.

  • Un violent coup sur la tête semblait indiquer une mort naturelle.

  • Victime de pédophilie, l'homme boitait depuis sa naissance.

 

Commentaires

on a du mal à le croire

Écrit par : Paul-Emic | 08/03/2011

"Personne n'ayant donné les ordres nécessaires, il n'était pas difficile d'y obéir."

Cette phrase devrait être l'épitaphe de toute communauté humaine de moyenne ou grande taille.

Écrit par : Un Fan | 08/03/2011

Paul-Emic > Lapsus, rapports tappés en vitesse, phrases sorties de leur contexte et autres, sans doute. Les agents des forces de l'ordre ne sont pas des littéraires.

Un Fan > Il ne reste plus qu'à attendre...

Écrit par : Pharamond | 08/03/2011

Les commentaires sont fermés.