24/08/2015
Le jeu des deux images (231)
Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.
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Musique (384)
Till Death
The Dark Woods
The Album Leaf
Window
Uppermost
Love
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23/08/2015
Histoire... (125)
C’est de cette façon qu’en juillet 1962, on traita les rapatriés d’Algérie
Il m’apparaît comme instructif, pour les générations qui n’ont pas connu, ou mal connu, ces événements tragiques, de faire souvenir de quelle manière ont été accueillis ces Français lors de leur arrivée.
26 juillet 1962, le maire de Marseille, le socialiste Gaston Defferre, accorde une interview au quotidien Paris-Presse l’Intransigeant. Sujet : l’arrivée massive des rapatriés d’Algérie. 53 ans plus tard, il m’apparaît comme instructif, pour les générations qui n’ont pas connu, ou mal connu, ces événements tragiques, de faire souvenir de quelle manière ont été accueillis ces Français lors de leur arrivée, contre leur gré et emportés par le vent de l’Histoire, dans leur pays, leur patrie, la France. Le « bafouilleur marseillais », Gaston Defferre, ne se prive guère de donner son avis : « Ils fuient. Tant pis ! En tout cas, je ne les recevrai pas ici. D’ailleurs, nous n’avons pas de place. Rien n’est prêt. Qu’ils aillent se faire pendre où ils voudront ! En aucun cas et aucun prix je ne veux des pieds-noirs à Marseille. » À la question « Voyez-vous une solution aux problèmes des rapatriés à Marseille ? », il répond : « Oui, qu’ils quittent Marseille en vitesse ; qu’ils essaient de se réadapter ailleurs et tout ira pour le mieux. » Mais Gaston Defferre n’est pas un cas isolé. Un sondage IFOP début juillet indique que 62 % des métropolitains refusent toute idée de sacrifice à l’égard des Français d’Algérie. Voici d’ailleurs un rapport découvert lors de l’ouverture des archives : « Les Français d’Algérie qui débarquent en métropole font l’objet d’une froide indifférence, ou même d’appréhensions. On ne les connaît pas. On ne sait d’où ils viennent ni si ils sont “vraiment” français. Jugés premiers responsables du conflit qui vient de se terminer et qui a coûté la vie de trop nombreux soldats métropolitains, ils ne semblent pas “mériter” que l’on porte sur eux le regard compatissant que beaucoup espèrent. » Conseil des ministres du 18 juillet 62, Louis Joxe s’exclame : « Les pieds-noirs vont inoculer le fascisme en France. Dans beaucoup de cas, il n’est pas souhaitable qu’ils retournent en Algérie ni qu’ils s’installent en France. Il vaudrait mieux qu’ils aillent en Argentine, au Brésil ou en Australie. » Pompidou, Premier ministre, appuie cette idée : « Pourquoi ne pas demander aux Affaires étrangères de proposer des immigrants aux pays d’Amérique du Sud ou à l’Australie ? Ils représenteraient la France et la culture française. » De Gaulle : « Mais non ! Plutôt en Nouvelle-Calédonie ! Ou bien en Guyane, qui est sous peuplée et où on demande des défricheurs et des pionniers ! » Le 22 juillet 1962, Gaston Defferre poursuit ses anathèmes sur Paris-Presse :« Français d’Algérie, allez vous faire réadapter ailleurs. Il faut les pendre, les fusiller, les rejeter à la mer… Jamais je ne les recevrai dans ma cité. » Dans le centre de Marseille, une inscription sur un grand panneau : « Les pieds-noirs à la mer. » À l’aéroport d’Orly, la direction interdit aux pieds-noirs d’emprunter l’escalier mécanique parce qu’elle estime que leurs valises et leurs ballots volumineux sont une gêne pour les autres voyageurs. Pas l’once d’une compassion parmi les responsables politiques français:« L’intérêt de la France a cessé de se confondre avec celui des pieds-noirs », dit froidement de Gaulle, le 4 mai 1962, en Conseil des ministres. Un autre jour, à Peyrefitte qui lui expose « le spectacle de ces rapatriés hagards, de ces enfants dont les yeux reflètent encore l’épouvante des violences auxquelles ils ont assisté, de ces vieilles personnes qui ont perdu leurs repères, de ces harkis agglomérés sous des tentes, qui restent hébétés… », le Général répond sèchement : « N’essayez pas de m’apitoyer ! » Parlant d’Edmond Jouhaud, l’un des généraux putschistes du 13 mai 1958 : « Ce n’est pas un Français, comme vous et moi, c’est un pied-noir. » Voilà, tout est dit. Ceux qui ne savaient pas le savent à présent. Quant à ceux qui n’ont jamais voulu savoir, qu’ils croupissent dans leur ignorance. Manuel Gomez |
Source : Boulevard Voltaire
15:26 | Lien permanent | Commentaires (6)
R.I.P.
LE NATIONALISME EN DEUIL : EMMANUEL RATIER NOUS A QUITTÉS Le journaliste éditeur Emmanuel Ratier est décédé ce 19 août, à l’âge de 57 ans. Archiviste et journaliste d’investigation, il avait poursuivi le combat commencé par Henry Coston et Yann Moncomble, lui aussi disparu trop tôt, dénonçant sans relâche les manœuvres de la maçonnerie, du lobby juif, des officines de toute sorte, cercles affairistes, groupes de déviants sexuels, mafias, dévoilant les coulisses du régime, notamment dans sa lettre confidentielle Faits & documents. Il avait rédigé plusieurs ouvrages sur des sujets totalement ignorés par les grands médiats : Les Guerriers d’Israël : enquête sur les milices sionistes, Le Vrai Visage de Patrick Gaubert, Mystères et secrets du B’naï B’rith, Ras’l’Front : anatomie d’un mouvement antifasciste, etc. Il est également l’auteur d’une monumentale Encyclopédie politique française, éditée par sa propre maison d’édition, autant de livres qui ont contribué à former plusieurs générations de militants. Il est également l’auteur en 1999, avec Patrick Parment, d’un Éphéméride nationaliste, très largement utilisé aujourd’hui par de nombreuses personnes. Emmanuel Ratier a toujours lié son destin à celui du combat nationaliste. Il avait adhéré durant les années 1970 au Parti des forces nouvelles (PFN) et son organisation juvénile, le Front de la jeunesse (FJ). Après un passage au Centre de formation des journalistes et à l’Institution d’études politiques de Paris, il avait rejoint les rédactions de plusieurs journaux de droite nationale : Le Figaro magazine, Le Spectacle du Monde, National Hebdo, Le Crapouillot ou Valeurs actuelles. Emmanuel Ratier fut rédacteur en chef de Minute et dirigea Magazine Hebdo. Depuis les années 2000, il animait un Libre journal sur Radio Courtoisie et avait repris la librairie Facta à Paris. L’année dernière, il avait publié Le Vrai Visage de Manuel Valls, qui dévoilait de nombreux aspects ignorés – volontairement – par les médiats du système à propos de l’occupant de Matignon. Le nationalisme perd une grande figure, un homme qui a voué sa vie au combat, mais dont l’héritage aidera longtemps ceux qui veulent la France pure. Son travail, reconnu même par ses adversaires, rappellera toujours aux Français non reniés, au-delà des circonstances, qui sont leurs véritables ennemis. Erwin Vétois |
Source : Jeune Nation
D'après Wikipédia Emmanuel Ratier aurait eu une crise cardiaque en faisant de la spéléologie en famille. C'est une grande perte pour notre camp, ses recherches, ses analyses, ses propectives et son abnégation manqueront.
10:17 | Lien permanent | Commentaires (6)
22/08/2015
En noir
Je sais : les jeux vidéos, grands consommateurs de temps et de neurones, sont à utiliser avec précaution et modération. Mais ne serait-ce que pour leur noirceur voici deux titres qui sortent du lot (ce qui ne veut pas dire que je les conseille, n'y jouant pas moi-même) :
Hatred dans lequel vous contrôlez un tueur de masse qui liquide tout ce qui bouge à New-York :
This war is mine où vous tenterez de survivre en tant que civil pendant une guerre civile :
18:22 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le jeu des deux images (230)
Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.
16:42 | Lien permanent | Commentaires (9)
21/08/2015
Leg
Lors d'une discussion récente quelqu'un me disait en substance qu'il était impossible à un système social et politique de se pérenniser à travers les âges, qu'en conséquence les changements que nous vivons actuellement étaient normaux et que l'humanité trouvera bien à plus ou moins longue échéance un équilibre comme elle l'a toujours fait. Ce à quoi j'ai convenu mais en ajoutant que l'on se devait de léguer aux générations suivantes un ensemble de valeurs et un patrimoine spirituel et tangible afin qu'ils puissent affronter les épreuves de leurs temps et transmettre un héritage à leur tour à leurs enfants. Les changements et les adaptations se feront d'autant mieux que leurs aïeuls n'auront pas fait table rase du passé. Quant à la stabilité et l'harmonie du monde futur j'avoue ne m'en soucier que modérément, l’espérance maximale d'une vie humaine ne dépassant pas de beaucoup le siècle, seul ce laps de temps a une réelle signification pour un individu : ces quelques années et la survie présumée des siens et de son groupe.
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