26/03/2009
Gare au dandy !
19:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
Musique (109)
Shiny Toy Guns
19:36 | Lien permanent | Commentaires (0)
25/03/2009
Le tour de France du patrimoine (choix absolument arbitraire) : Paris (75)
19:23 | Lien permanent | Commentaires (0)
24/03/2009
À peine quelques minutes
Robert Cardinal
Toward Rutland
21:10 | Lien permanent | Commentaires (2)
Gauche
La majorité des individus exerçant dans l'enseignement et le journalisme est de gauche. Même si les chiffres varient selon les sources, la gauche – et l'extrême gauche – sont toujours les grands gagnants des intentions de vote de ces professions. Alors que la première nous lave le cerveau dans notre jeunesse et la seconde toute notre vie, la France demeure encore à droite. Faut-il que les idées dites ''progressistes'' soient contre nature pour être reniées de la sorte par le simple bon sens des électeurs !
20:14 | Lien permanent | Commentaires (6)
Il me semble (27)
Il y a deux manières d’exister : construire ou détruire. Soi-même ou les autres.
08:56 | Lien permanent | Commentaires (2)
23/03/2009
Sarkozerie (2)
"Sarkozy malmène le français" (Le Parisien/Aujourd'hui en France)
"En pleine Semaine de la langue française, le chef de l’Etat a gratifié ses auditeurs de quelques belles fautes de français. Involontaires ou calculées" écrit Le Parisien/Aujourd'hui en France.
"Bonnet d’âne, l’élève Nicolas Sarkozy ? Puristes de la grammaire et amoureux des belles lettres sont mis à la torture. En effet, à force de parler tous les jours, ou presque, le président commet parfois de redoutables fautes."
"Furieux contre ceux qui critiquent le bouclier fiscal, il s’est laissé aller mardi à un joli « télescopage syntaxique » devant des ouvriers d’Alstom, dans le Doubs : « Si y en a que ça les démange d’augmenter les impôts… » Ou, le même jour, à propos des études des élites : « On se demande c’est à quoi ça leur a servi ? »…"
"Sarkozy est aussi fâché avec les négations : « J’écoute, mais je tiens pas compte ! » (Provins, le 20 janvier.) Il prend des libertés avec les accords : « On commence par les infirmières parce qu’ils sont les plus nombreux » (Rambouillet, le 13 mars.) Sans compter quand il mange les mots (« ch’ais pas », « ch’uis », « m’enfin », « y a ») ou s’abandonne à un tutoiement intempestif (« Attends, attends ! »)."
"Sarkozy, ancien avocat, est pourtant un tribun hors pair, virtuose du langage. Le plus souvent, c’est dans les usines qu’il se lâche. Chez les linguistes, on s’interroge : faut-il y voir de l’empathie avec son public ou une stratégie pour « faire peuple » ? « Il s’exprime comme un homme de la rue. C’est un langage de publicitaire, fait pour frapper », déplore Fanny Capel, du collectif Sauver les lettres."
Gilles Klein le 22/03/2009 in Arrêt sur images
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