Rappel

Bon gré mal gré l'Empire romain avaient laissé des tribus barbares à la recherche d'une vie plus sûre et moins dure s'installer sur leur territoire. Au départ, elles protégeaient les frontières en exploitant la terre dans les zones exposées et nombres de leurs membres servaient dans l'armée que délaissaient les citoyens. Tout le monde avait l'air de s'y retrouver, on ne dédaignait pas à faire tuer ces nouveaux arrivants dans des luttes contre d'autres Barbares ou dans des guerres civiles pour s'emparer du trône impérial. Avec les années les Barbares de l'Empire finirent par accéder à des postes élevés dans armée et l'administration, à prendre conscience de leur puissance et en eurent assez de mourir pour des généraux arrivistes et un monarque de pacotille à l'abri dans son palais. Aussi, après quelque temps pendant lequel ils imposèrent leurs candidats au trône, ils finirent par déposer le dernier empereur pour installer un de leurs chefs à sa place mettant ainsi un terme à l'agonie de l'Empire romain.

Le tour de France des monuments (choix absolument arbitraire) : Croix (59)

La Villa Cavroi et ici

Men at work

 

Gustave Caillebotte

Les raboteurs de parquet

Au Proche-Orient rien de nouveau

Je viens de terminer la lecture de L'attentat de Yasmina Khadra, succès critique et commercial de l'année 2005. J'avoue que je n'en pense presque rien, si j'ai bien compris l'histoire, pour un Palestinien il sera toujours préférable de courir dans les champs de son enfance avec les chèvres plutôt que d'être chirurgien à Tel-Aviv. Sinon, pas grand chose, le relativisme qui plaît tant aux Occidentaux : un attentat suicide dans un restaurant n'est pas pire qu'une attaque de missile ciblée, et la curieuse habitude qu'a l'auteur de faire des remarques (à trois reprises, je crois) sur les profils des Israéliens. J'oubliais, Yasmina Khadra n'est pas une femme mais le pseudonyme d'un ancien militaire algérien, Mohammed Moulessehoul.

Hésitations

Pour le second tour, je me pose encore la question. Je pèse le pour et le contre, j’hésite, je tergiverse. Quoi que je fasse, je crains de le regretter ultérieurement. Peut-être certains trouverons que je prends l’affaire trop au sérieux, mais je suis malheureusement fait ainsi. Pourtant, il me faudra bien prendre une décision... Donc, demain irais-je voter « blanc » le matin ou l’après-midi ?

Méchant garçon (13)

- T'as vu, dans Libé il y a un article où il est expliqué que l'on peut dire des insultes de façon affectueuse ?

- Style : « Très cher fils de p... » ?

- Non pas ça bien sûr, mais...

- Excuse-moi, j'ai pas la tête à écouter tes conneries alors tu m'expliqueras ces subtilités un autre jour... Au fait, « conneries » : c'était affectueux.

Le tour de France des monuments (choix absolument arbitraire) : Ancy-Le-Franc (89)

Le château